Bruxelles vient d'ouvrir un parking sécurisé uniquement dédié aux camping-cars. Ce parking est situé 13, Rue Félicien Rops à 1070 Anderlecht (Bruxelles-Capitale).
GPS: 50.8262836 /4.2966627).
Peuvent stationner sur ce parking les camping-cars et fourgons aménagés de moins de 7,5 tonnes. Les voitures et caravanes en sont exclues. Il s'agit seulement d'un parking qui ne délivre aucun service. Il est donc recommandé d'y arriver avec le plein d'eau fait et les réservoirs des eaux usées et noires vides.
L'endroit est à seulement 1500m du RING (R0) et à 250m de deux stations de métro (Bizet et Veeweyde).
Pour accéder à ce parking, la réservation de votre emplacement est obligatoire. Elle s'effectue par téléphone au +32(0)486832610 ou par mail en cliquant ICI.
Vous recevrez un code d'accès quelques heures avant votre arrivée.
Ce code vous permettra d'ouvrir la grille d'accès et le portillon pour les piétons.
Le prix du stationnement pour 24 heures est fixé à 10 euros.
Chaque jour ouvrable, un agent de la ville passe sur le site pour rencontrer les occupants. La durée limite du stationnement est fixé à 72 h.
En principe, l'aire de stationnement est ouverte tous les jours. Toutefois, il est recommandé de se rendre sur le site internet ou la Page Facebook pour vous informer sur une éventuelle fermeture.
Le jour de l'arrivée, les camping-caristes peuvent s’installer entre 14h00 et 19h00. Le jour du départ, l'emplacement doit être libéré à 13h00 au plus tard.
ATTENTION ZFE !
Le parking camping-cars est situé dans la Zone de Basses Emission de Bruxelles. Les camping-cars immatriculés en France et dans les autres pays étranger (hors Belgique) doivent donc être impérativement enregistrés sur le site www.lez.brussels, rubrique dérogation pour recevoir la dérogation gratuite et valable 5 ans autorisant de circuler dans cet espace à faible émission polluante.
Pour enregistrer votre camping-car dans la base de données bruxelloise, munissez-vous de votre certificat d’immatriculation et d'un document attestant qu’il s’agit bien d’un camping-car (une photo où la plaque est visible suffit généralement). Au terme de l'opération, vous recevrez automatiquement un e-mail de confirmation de votre enregistrement. Ne cherchez pas à passer outre cet enregistrement, car à défaut vous risquez une amende de 150€ (même si le véhicule respecte les conditions d’accès de la LEZ). Par ailleurs, Toute informations inexactes lors de l’enregistrement est passible d’une amende administrative de 25€.
La barrière et la réception sont ouvertes
de 9 à 12h et de 14 à 22h.
Si la barrière est fermée à votre arrivée,
veuillez appeler le
+32 2 543 63 35
Adresse:
Warandeberg 52 1970 Wezembeek-Oppem - Belgique
En transport en commun
‣ STIB - Bus 76 - arrêt Gergel
‣ De lijn - Bus 316 - arrêt Sterrebeek Reigerslaan
Coordonnées GPS: 50°51'25"N - 4°28'55"E
GPS : 50.85694 - 4.48193
Les Plaisirs d'Hiver, le grand marché des fêtes de fin d'année, revient dans le centre de la Ville de Bruxelles. L'évènement s'organise sur la Grand-Place de Bruxelles et autour de la Bourse, sur la place de la Monnaie, sur la place Sainte-Catherine, sur la place de Brouckère et sur la place du Marché aux Poissons (Vismet).
Les Plaisirs d'Hiver, c'est aussi :
Marché de Noël à Bruxelles
Durant la période de Noël, la ville de Bruxelles organise l’événement «Plaisirs d’hiver» qui en plus du célèbre Marché de Noël de la Grand-Place attire les touristes pour les nombreuses manifestations parallèles qui sont organisées, parmi celles-ci vous trouverez des manifestations musicales et des concerts, des artistes de rue, une grande patinoire, des processions et parades. Le Marché de Noël de Bruxelles est parmi les événements les plus populaires de la ville pendant la période de Noël.
Capitale du Royaume de Belgique, Bruxelles est une ville cosmopolite, siège de l’OTAN et l’UE. La ville se dresse sur les rives de la Senne qui aujourd’hui est souterraine, et présente deux parties distinctes : la partie inférieure d’aspect flamand – qui constitue le centre historique et commercial – et la ville haute ou Coudenberg qui est d’empreinte française. La ville est remplie de magasins d’antiquités et de musées, et est célèbre pour les passionnés de timbres; les boutiques philatéliques de la Rue de Midi en font la capitale européenne des timbres. Parmi les beautés de cette ville, vous devez absolument visiter la magnifique Grand-Place, qui a été inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Marché de Noël à Bruxelles (Marché de Noël – Plaisirs d’Hiver): Le marché de Noël de Bruxelles est constitué de plus de 200 chalets autour de la magnifique Grand-Place de celle-ci, la Bourse, la Place Sainte-Catherine et le marché aux poissons. Dans les stands, vous trouverez de nombreuses idées de cadeaux et de riches propositions de la gastronomie locale.
La merveilleuse Grand-Place de Bruxelles est un spectacle de lumières de Noël. La place est éclairée comme un arbre de Noël géant, et abrite un sapin de Noël géant avec des animations lumineuses qui rendent toute la Grand-Place particulièrement belle. Habituellement une patinoire de glace est installé sur la place de la Monnaie.
(N° 25008)
Rue des Souchets
Salzinnes
5000 NAMUR (Namur)
Latitude : (Nord) 50.46783° Longitude : (Est) 4.85003°
Tarif : 2017
Stationnement gratuit
Services : 7,50 €
Type de borne : FLOT BLEU
Autres informations :
8 emplacements
Située non loin de la frontière avec la France et à quelques kilomètres au sud-est de Bruxelles, Namur est la capitale de la Wallonie, la partie de langue française de la Belgique. Parmi les attractions touristiques de la ville nous trouvons : la citadelle fortifiée qui domine la ville et la cathédrale, dont le clocher fait une partie du patrimoine mondial de l’UNESCO (et est partie des Beffrois de la Belgique et de la France).
64, Route Merveilleuse
Se déployant sur 8 hectares de verdure, la citadelle de Namur est l'une des plus importantes d'Europe. Elle compte de multiples souterrains, des galeries de défense, d'attaque, de vie sous les bombardements et occupe une position stratégique. Surplombant la ville sur un éperon rocheux de 190 mètres de hauteur, la citadelle domine le confluent de la Sambre et de la Meuse ainsi que les deux vallées : les fortifications bénéficient d'une vue splendide. Considérée comme une position dominante au Moyen Âge, la citadelle, aménagée au fil des siècles, finira par devenir une place forte enviée par toutes les puissances régnant sur la région. Elle est divisée en trois strates : Logis comtal en bas, Médiane pour la partie intermédiaire et Terra Nova en haut.
La citadelle de Namur se découvre à pied depuis le centre-ville (elle est fléchée), en petit train et depuis le printemps 2021 en téléphérique ! La sculpture monumentale Searching for Utopia représente une tortue géante dorée surmontée d'un humain. Visible de loin et prisée des photographes, elle décore le jardin depuis 2015.
Visite de Terra Nova et des souterrains. Le Centre du Visiteur Terra Nova est un bon point de départ de visite pour comprendre son histoire. Le mur flottant d’écrans et d’images permet de se plonger dans les cartes et vidéos, les images et témoignages sonores. La visite des 500 mètres de souterrains est vraiment recommandée, agrémentée de projections en 3D, effets sonores. Ils se parcourent en mode immersif, c'est interactif et ludique autant pour les enfants que pour les adultes. En parallèle au centre Terra Nova, le bâtiment héberge une cafétéria qui sert quelques snacks et des produits locaux de qualité à ramener en souvenir ou à déguster sur place.
Visite de la parfumerie Guy Delforge. À l'intérieur de la citadelle, l’atelier de parfumerie de Guy Delforge constitue une visite immanquable. Ce centre de création unique en Europe du Nord explique les différentes phases de la réalisation d’un parfum artisanal et naturel. La visite guidée ou en audioguide dure 1h. On explore les laboratoires avant d'entrer dans la salle de composition, casemate du XVIe siècle de l'époque de Charles Quint, où se trouve le fameux buffet d'orgue du parfumeur, et où se mélangent les senteurs. Viennent ensuite les galeries de macération où les parfums mûrissent pendant six mois. L'olfactorium enfin, permet de tester les différentes senteurs.
Parmi les autres points d’intérêts répartis sur le site, le visiteur découvrira le stade des Jeux, des balades variées ou encore la Tour du guetteur.
Histoire. Dès le Ier siècle, un port existait à la pointe de Grognon et les habitants entretenaient ici des relations commerciales avec le reste de l'Empire romain, comme en attestent des pièces de monnaie retrouvées sur le site. Entre le Ve et le Xe siècle, l'activité du port s'intensifie et la ville se dote de ses premiers remparts. Elle devient une place forte militaire pendant les dix siècles qui suivirent, c'est la période moyenâgeuse. Au château s’ajoutent la collégiale Saint-Pierre et des habitations de chanoines, la religion prenant beaucoup d'importance dans la société à cette époque. Du Xe au XVe siècle, vingt-deux comtes vont se succéder et gouverner depuis la citadelle car la ville est la capitale du Comté de Namur. Certains d'entre eux proviennent du Hainaut, de France et de Flandre. Certains se sont avérés plus conquérants et téméraires que d'autres, le comte Baudouin II de Courtenay sera même empereur de Constantinople ! Le sang bleu n'avait pas peur des délocalisations de pouvoir ! Yolande de Courtenay deviendra elle Reine de Hongrie et Blanche de Namur finira Reine de Suède. C'est à cette époque que la ville prospère, s'agrandit et se fortifie. Elle compte 8 000 habitants au XVe siècle. C'est Jean III, le dernier comte de Namur qui ruiné et sans héritier, la vendra contraint et forcé à Philippe le Bon, Duc de Bourgogne en 1421.
Pendant la période conflictuelle de conquêtes impériales entre le XVe et le XIXe siècle, la citadelle et la ville de Namur vont connaître un déploiement et une spectaculaire transformation en place forte massive, notamment par la construction d'une ceinture de neuf forts. La citadelle est alors dotée d'un réseau de souterrains si vaste que Napoléon Ier la surnomma la termitière d'Europe ! Ceux-ci constituaient une base militaire enterrée, où une armée pouvait subsister pendant un mois. Prise, reprise par les divers conquérants elle fit l'objet de toutes les convoitises. Les batailles et sièges qui s'y jouèrent connurent les évolutions des armes et des guerres. À mesure que les catapultes propulsaient des boulets de plus en plus loin, la citadelle s'agrandissait pour demeurer intouchable ! Les meurtrières, réserves de bière (l'eau pouvait être infectée de bactéries, jamais la bière !), de céréales, les salles d'armes, les différentes parties aériennes et souterraines furent longtemps un exemple d'organisation militaire. Elle passa sous le joug du Saint-Empire germanique, puis des Hasbourg d'Espagne et d'Autriche, puis elle fut reprise par la république française et l'Empire français de Napoléon (elle fut remaniée par Vauban) et enfin par les Pays-Bas. Elle ne connaîtra la paix qu'à l'indépendance de la Belgique en 1830. Au début du XIXe siècle, elle comptait encore 20 000 habitants. Finalement, Leopold II décidera de la démilitariser partiellement en 1891.
La citadelle de Namur sert de cave de garde au négociant et éleveur de vins Grafé-Lecocq.
Rue du Collège
La plus racée des églises namuroises avait ébloui Baudelaire. Pourtant, l’église qu’il avait admirée n’était pas celle que nous voyons aujourd’hui, restaurée, rendue à son aspect d’origine au n° 17 de la rue du Collège. Érigée entre 1621 et 1645, cette église du couvent des jésuites est un chef-d'œuvre baroque, remarquable témoignage de l'architecture religieuse du XVIIe siècle. Ateliers, conférences, expos ont marqué les 400 ans de la pose de la première pierre, célébrée le 23 septembre 2021. Fermée hors offices, une baie vitrée permet d'admirer sans toucher.
Cette place typiquement namuroise se cache derrière une ruelle la reliant à la place de l’Ange. Connue de tous les Namurois, elle a conservé le même charme depuis le XVIIIe siècle. Les terrasses des nombreux cafés et restaurants invitent à y faire une halte sous les tilleuls, autour de la pompe monumentale, avant de visiter l’église Saint-Jean-Baptiste. Construite au XVIe siècle en style gothique, l'édifice est une des plus anciennes églises de la ville. A l'intérieur, les autels de marbre noir contrastent avec le décor pâle des voûtes.
Rue du Beffroi
Cette tour en pierre de taille est surmontée d'un toit en ardoise en forme de bulbe. Autrefois, Namur possédait un beffroi plus ancien sur sa citadelle, mais après sa destruction au XVIIIe siècle, la tour Saint-Jacques a repris le flambeau. Édifiée en 1388, cette tour haute de 20 mètres faisait partie de la troisième enceinte urbaine. Deux fois plus haute à l'origine, elle protégeait une des portes d'entrée de la ville. L'édifice fait partie de la cinquantaine de beffrois régionaux (Belgique et Nord de la France) inscrits au Patrimoine mondial de l'Unesco.
7, Rue J. Saintraint
À l'origine, le bâtiment édifié entre la Sambre et le cœur de la ville, servait, semble-t-il, de refuge à l'abbaye de Villers-la-Ville. Au milieu du XVIIIe siècle, l'architecte thudinien Jean-Baptiste Chermanne le transforma en un magnifique hôtel particulier pour les comtes de Groesbeeck de Croix. Racheté par la Ville de Namur, le bâtiment changea a nouveau de destination et fut reconverti en musée des arts décoratifs en 1935. Il prit pleinement son essor dans les années 1950. Aujourd'hui, plus qu'un simple musée, Les Bateliers tendent à devenir un pôle muséal regroupant à la fois le musée des Arts décoratifs (du XVIIIe au XXe siècle) et, dans le futur, le Musée archéologique. Cette section est toujours en travaux à l'heure de publier ces lignes. Sur le plan architectural, le pôle mixe avec bonheur le contemporain et l'ancien, dont une chapelle magnifiquement restaurée ayant fait partie de l'école Saint-Jacques des Bateliers jusque dans les années 1980. La partie consacrée aux arts décoratifs est aménagée dans l'idée d'y conserver une impression immersive en rapport avec les lieux. Transporté au siècle des Lumières, le visiteur bénéficie déjà de cette refonte visible dans les murs et dans l'esprit. On y multiplie les thèmes et les expos (plusieurs sont organisées chaque année). Les manuscrits médiévaux, le peintre Albert Dandoy ou le très prometteur Circus We Are sont les prochains thèmes d'expos. Ce magnifique hôtel particulier sert régulièrement de décor au tournage de films dont l'un des plus retentissants fut Les Visiteurs : La Révolution. Plusieurs scènes sont d'ailleurs remontées chaque année à l'occasion du FIFF, le Festival du Film Francophone. Parmi les pièces du bâtiment restées volontairement dans leur jus, la cuisine avec sa grande cheminée et son four à pain témoigne remarquablement du XVIIIe siècle. Les écuries, une ancienne conciergerie occupée comme telle jusqu'en 2013, mettent en évidence de jolies mangeoires en pierre. Elles servent de lieu d'exposition comme l'ancienne remise à carrosses. Derrière, l'ancienne serre va devenir le théâtre d'un restaurant avec vue sur le jardin. Ce dernier, véritable havre de paix, est un petit bijou aménagé à la française, à la mode du XVIIIe siècle lui aussi. En son centre, un tulipier bicentenaire occupe majestueusement l'espace. Bientôt connecté au Musée Rops par leurs espaces verts respectifs, le pôle deviendra « L'îlot des Bateliers ». Leurs jardins, ouverts au public, seront accessibles en visite libre pendant les heures d'ouverture des musées.
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 12h et de 13h à 18h. Entrée gratuite. Expos temporaires sur page Facebook.
63, Rue des Brasseurs
Le téléphérique de Namur a été inauguré le 8 mai 2021. Composé de quatre groupes de trois cabines, il remplace, sur un nouveau tracé, le téléphérique fermé en 1997 après quarante années d'activité. Surplombant la Sambre, le téléphérique permet une montée rapide depuis la place Maurice Servais récemment rénovée jusqu'au sommet de la citadelle. Simple excursion à sensations (très modérées) ou mode de transport alternatif, toutes les raisons sont bonnes pour se payer une grimpette vers les sommets ou pour descendre en ville en profitant d'un parking gratuit. En cas de correspondance ou de rendez-vous, gardez toutefois à l'esprit que la file d'attente est parfois conséquente. La rançon du succès, en somme. Une fois en l'air, on profite du panorama vers les dernières réalisations architecturales en ville : le Delta (centre culturel provincial), la Confluence remplaçant avantageusement le chancre du Grognon, les travaux de la Halle al'Chair, futur office de tourisme de Namur et, au sommet, une vue rapprochée sur le Pavillon, implanté à côté de la station haute du téléphérique.
Le téléphérique en quelques chiffres
- 12 cabines de chacune 6 personnes
- 3,30 min de temps de parcours moyen
- 4 vitesses différentes en fonction de l'affluence pour une vitesse max. de 21,6 km/h.
- 103 mètres de dénivelé pour 650 mètres de longueur.
- 450 passagers max. par heure.
- Temps de trajet moyen : 5 minutes (4 mètres par seconde).
- 90 000 visiteurs sur les cinq premiers mois d'exploitation.
- 160 000 visiteurs environ pour la première année.
Place Saint-Aubain
Construite au début du XVIIIe siècle, son fronton courbe en pierre calcaire oscille entre sévérité classique et volupté baroque. La cathédrale Saint-Aubain remplace une collégiale fondée en 1047. Elle est devenue cathédrale en 1559, à la suite de la création de l'évêché de Namur par Philippe II. Détruite en 1740 par l'importante crue de la Sambre, elle est reconstruite sous sa forme actuelle de 1751 à 1767. L’intérieur est très lumineux, grâce à l'impressionnante coupole de croisée, et contient des œuvres d'art remarquables, comme des peintures de Anton van Dyck, de Jacob Jordaens et de Nicolaï (un élève de Rubens). On peut aussi évoquer les fonts baptismaux romans.
Le Musée diocésain et le Trésor de la cathédrale sont installés dans un bâtiment Renaissance à droite de l’église. Vous y verrez une riche collection de pièces d'orfèvrerie, dont la plus précieuse est sans nul doute la couronne reliquaire des Saintes Épines (qui contiendrait deux épines de la couronne du Christ). Également à voir, une châsse mérovingienne datant du VIIe siècle ainsi qu'un fragment de la Croix.
De l'autre côté de la place Saint-Aubain, transformée en parking, se trouve l’ancien palais épiscopal, devenu palais provincial. Deux ailes mansardées encadrent la cour classique dont on apprécie l’harmonie en jetant un coup d’œil par le portail. Ce grand palais urbain a été construit en style classique, entre 1728 et 1732.
A côté de la brasserie François, l’ancien hôtel Saint-Aubain vaut les meilleurs édifices classiques de Gand.
Avenue Baron Louis Huart
Siège de la démocratie en Wallonie, le Parlement est installé dans l'ancien hôpital Saint-Gilles, datant du XIIIe siècle. Changeant plusieurs fois d'affectation au cours du temps, il fut aussi un hospice de 1796 jusqu'à son démantèlement en 1965. Inauguré comme Parlement wallon (puis «de Wallonie») en 1998, il possède entre autres particularités le fait d'être une assemblée «à l'anglaise» où majorité et opposition se font face.
Ceci à cause de l'étroitesse des salles ne permettant pas l'installation d'un hémicycle.
Le bâtiment est classé depuis 1936.
avenue de la Plante
À quelques mètres du casino de Namur, un imposant rocher rappelle la figure du lieutenant-général Michel, commandant de la Position fortifiée de Namur en août 1914. Son profil a été sculpté en 1933 par l’artiste namurois Victor Demanet.
1, Place Saint-Aubain
Plus important bâtiment du XVIIIe siècle à Namur, le Palais provincial est le siège des institutions éponymes depuis 1830, soit depuis la création de la Belgique. Il impressionne autant par ses dimensions que par ses caractéristiques architecturales. Ancienne demeure épiscopale de 1732 jusqu'à la Révolution française, le Palais provincial est l'un des plus beaux édifices publics du XVIIIe siècle en Wallonie. Sa décoration intérieure vaut aussi le coup d'œil. Une rénovation profonde (toitures, charpentes, combles) a été achevée en 2022.
Rue du Pont
Bâtiment Renaissance (XVIe siècle), la Halle al' Chair servait à la corporation des bouchers. On débitait la viande à l'étage situé au niveau de la Sambre. Au rez, se trouvaient les étals et l'étage supérieur servait aux bureaux. Reconverti au XVIIe, le bâtiment devint un arsenal, un hôpital, un lieu de culte, une salle de théâtre avant de redevenir une boucherie au XVIIIe. Au début du XIXe siècle, la Halle est acquise par la ville et la Société archéologique y fonde son musée (1855). Après une importante rénovation, l'office de tourisme s'y installera bientôt.
7, Avenue Baron Louis Huart
Auparavant, relier le centre-ville de Namur à Jambes à pied n'était pas chose très aisée. Il y avait bien le pont de Jambes si on descendait de la Citadelle. Il existait aussi le pont des Ardennes, excentré et moins agréable pour les piétons. Depuis 2020, l'Enjambée est la quadrature du cercle si on est adepte de mobilité douce. Prolongement quasi naturel de la rue du Pont, cette nouvelle passerelle au design contemporain permet d'accéder à l'artère commerçante de Jambes en quelques minutes à pied. Longue de 184 m, elle enjambe la Meuse sur une largeur de 100 m.
Rue Saint-Jacques
Désacralisée, l'église Saint-Jacques est un édifice du XVIIIe siècle de style classique. Elle remplace une chapelle en bois du XIIIe siècle. Située sur le chemin de Compostelle, l'église était voisine d'un hôpital pour soldats étrangers grâce à sa situation en dehors de l'enceinte primaire de la ville. Les Frères de la Miséricorde reprirent la direction de l'hôpital en 1755, ils étaient en charge des condamnés à mort. L'hôpital est devenu hospice civil après la Révolution française. L'intérieur est décoré de stucs. Le bâtiment est actuellement à vendre.
Chaque année, pendant les fêtes Noël, une centaine de maisons en bois occupent la Place d’Armes, la Rue de Fer et le Grognon, dans le centre de la ville de Namur en Wallonie. Le marché de Noël à Namur offre avec ses chalets une large gamme de cadeaux et de gourmandises, des saveurs artisanaux et des articles de Noël. Pour égayer les visiteurs au cours des fêtes de Noël, il y aura également des concerts, des chorales, des bandes musicales et des spectacles folkloriques qui animeront les rues du centre de Namur chaque week-end. Il semble que le Père Noël se rendra à Namur chaque semaine …. Est-ce vrai ?
Le marché de Noël qui se tient habituellement dans les places d’Armes, de l’Ange et du Théâtre accueille des étals d’artisans et de marchands qui vendent leurs produits au thème de Noël ; vous y trouverez une belle crèche (Crèche).
Il y a de nombreux étals vendant de la gastronomie locale et l’inévitable vin chaud. Les événements de Noël de Namur ont lieu dans le centre-ville, entre la Rue de Fer, la place d’Armes et le Grognon. À Namur, vous trouverez des concerts, des spectacles de divertissement et beaucoup de jeux pour les enfants, et généralement une grande patinoire de glace est installée sur la place de l’Ange.
12 Rue de l'Ancre
6000 Charleroi
GPS : 50.415802, 4.442871
Immense parking situé à côté du palais des beaux-arts de charleroi, du beffroi et des arrêts de bus (le parking est réellement immense donc possible que des jeunes viennent pour faire des dérapages etc)
Charleroi, la plus grande ville de Wallonie, la partie de langue française de la Belgique, est nichée sur les rives de la Sambre, entre les villes de Namur et Mons. Charleroi est une ville industrielle, au milieu d’une région minière importante. Celle-ci a un passé intéressant. Elle a été fondée comme une forteresse au XVIIe siècle par les Espagnols, et dans les années suivantes sa fondation elle passa à plusieurs reprises de main, en raison de son position hautement stratégique. À la périphérie sud de Charleroi, dans un couvent du XIXe siècle se trouve un intéressant musée consacré à la photographie.
Le dimanche matin, place Charles II, place du Manège, rues du Dauphin, Chavannes, d'Orléans, boulevards Defontaine et Janson... et on en oublie certainement puisqu'il couvre une bonne partie des rues de la Ville Haute. Bref, en plus d'être l'un des plus pittoresques et des plus anciens marchés de Wallonie, c'est aussi l'un des plus grands à 50 km à la ronde. Celui-ci date de 1709. Encore aujourd’hui, il est le rendez-vous bavard et commercial des Carolorégiens.
place Charles-II
Bâtie au XVIIe siècle, exactement en 1667, lorsque les Français prennent la ville. Ils érigent alors une chapelle de garnison dédiée à Saint-Louis. Il ne reste qu'une seule pierre de cette chapelle ! C'est au XVIIIe siècle que l'église baroque sera agrandie et consacrée à Saint Christophe. Mais là encore, le bâtiment sera bombardé par les troupes révolutionnaires françaises en 1794. Il ne subsiste que le chœur et une partir de la nef ! En partie reconstruite, elle sera surtout agrandie dans les années 1950. Les ruelles adjacentes sont alors supprimées, des maisonnettes vétustes accolées aussi. Dans le même temps, l'orientation de l'église est modifiée : un nouvel axe perpendiculaire est ajouté, rendant le lieu de culte plus large que long. A la jonction des deux parties, un dôme de cuivre culmine à 48 m de haut. Le campanile qui abrite les cloches pointe lui à 32 m. L'église Saint-Christophe abrite une superbe mosaïque de verre doré de 200 m2 représentant l'Apocalypse selon saint Jean. Unique en Belgique, elle est réalisée par des maîtres vénitiens d’après les dessins de Jean Ransy. On peut également y découvrir un superbe ambon (pupitre) et un bénitier de verre ainsi que des appliques du même matériau, tous signés en 2012 par le sculpteur Bernard Tirtiaux, natif de Fleurus. Si l'édifice religieux est véritable petit bijou à l'intérieur trop méconnu, on soulignera aussi qu'il n'a jamais reçu le titre de basilique, contrairement à ce que pensent de nombreux Carolos. On a célébré en 2018 les 50 ans de sa restauration.
Ouverte du lundi au jeudi de 7h45 à 19h, vendredi de 7h45 à 18h, samedi et dimanche de 8h30 à 19h30
Marché de Noël de Charleroi. Les quelques 50 étals de ce marché de Noël remplissent généralement la place de la Digue. Là, vous trouverez des produits artisanaux de la Wallonie et la gastronomie locale. Les événements qui complètent l’Avent à Charleroi sont organisés surtout pendant les week-ends. Le centre du marché est généralement caractérisé par une grande tente où les visiteurs trouveront également une brasserie, un restaurant, de la musique live, du karaoké. Pendant les fêtes de Noël, seront organisés de nombreux spectacles de rue, parmi lesquels vous trouverez plusieurs bandes musicales. Avec le Marché de Noël de Charleroi, dans la petite chapelle de la Place Saint-Fiacre – qui doit son nom à la chapelle – sera installée une belle crèche. Sur Place Verte sera installée une grande patinoire à ciel ouvert de 700m2.
Marché de Noël au Bois du Cazier.
L’un de plus beau marché de Noël de la région est sans conteste celui du Bois du Cazier à Marcinelle. Le Bois du Cazier se pare de lumières et vous invite à découvrir son marché artisanal couvert. De nombreux artisans régionaux seront au rendez-vous. Sans oublier gourmands et gourmets ! Distribution de bonbons et atelier de maquillage pour les enfants.
Entrée libre au marché de Noël.
Heures d’ouverture: vendredi: 16h-22h, samedi: 12h-22h, dimanche: 10h-20h.