Marchés de Noël du Nord

Le monument préféré des Français. En 2014, à l'occasion des Journées du patrimoine, le monastère royal de Brou a été élu Monument préféré des Français.

Le monastère royal de Brou est un complexe religieux situé en périphérie sud de Bourg-en-Bresse, qui fut l’une des capitales de l'ancien duché de Savoie. Chef-d’œuvre du style gothique flamboyant, le monastère a été construit entre 1506 et 1512 et son église (Saint-Nicolas-de-Tolentin de Brou) de 1513 à 1532. Le monument est né de la volonté d'une puissante femme qui vécut à la fin du Moyen Age : Marguerite d'Autriche, dont le destin fut exceptionnel à plusieurs titres. Héritière par sa mère du duché de Bourgogne, elle est la petite-fille de Charles le Téméraire, dernier grand duc de Bourgogne. A l'âge de 3 ans seulement, elle est promise au dauphin Charles VIII, fils de Louis XI, dans une alliance matrimoniale qui vient mettre fin à 15 ans de guerre, mais elle sera finalement répudiée au profit d'Anne de Bretagne. La jeune Marguerite est ensuite promise en secondes noces à Jean d'Aragon, mais celui-ci meurt précocement quelques mois plus tard. Devenue veuve à 17 ans, elle épouse finalement le duc de Savoie Philibert II, dit Philibert le Beau, en 1501, dans une énième tractation diplomatique menée par son père qui souhaite une alliance avec la Maison de Savoie. C'est un mariage heureux et réussi, mais tristement éphémère : Philibert le Beau meurt en 1504 des suites d'un accident de chasse. Veuve pour la seconde fois, Marguerite refuse tout nouveau mariage et portera le deuil de Philibert II jusqu'à la fin de sa vie. Devenue propriétaire de plusieurs territoires et à la tête d'une fortune importante suite à ses mariages successifs, Marguerite d'Autriche dispose désormais de moyens financiers considérables. C'est pour honorer la mémoire de son défunt mari, et pour respecter le vœu de sa belle-mère, Marguerite de Bourbon, qu'elle décide de faire ériger ce monastère. Elle le conçoit comme un mausolée, destiné à abriter le tombeau de Philibert le Beau, puis le sien. La construction de l’ensemble commence en 1506 aux confins des frontières françaises, aux portes de Bourg-en-Bresse qui fait alors partie du duché de Savoie. Marguerite d'Autriche supervise le chantier depuis les Pays-Bas, dont elle doit assurer la régence à la mort de son frère. Le monument est une affirmation de son pouvoir et témoigne de sa volonté de renforcer les liens entre son héritage bourguignon et la région savoyarde qu'elle a rejointe par alliance. Pour la construction de son monastère royal, elle s'inspire de la Chartreuse de Champmol, à Dijon, et multiplie les emblèmes bourguignons et les références au duché de Bourgogne. L'illustration la plus notable de cette volonté de mettre en avant ses origines s'exprime par la haute toiture à deux versants, recouvertes de tuiles vernissée et colorées, à la mode bourguignonne. Remplacée en 1759 par le sculpteur Antoine-Michel Perrache, qui donna à la charpente une forme mansardée, la toiture retrouvera sa splendeur d'origine en 1998.

Au-delà de son architecture, qui en fait un joyau du style gothique flamboyant, le monastère de Brou est remarquable pour son intérieur, richement décoré et très bien conservé. Son chœur au décor magnifique, qui semble orné de dentelles de pierre, accueille les tombeaux de Philibert II, de Marguerite d'Autriche (dont la dépouille fut installée ici, aux côtés de celle de son mari en 1532, soit deux ans après sa mort des suites de la gangrène) et de Marguerite de Bourbon, la mère de Philibert II. Leurs dépouilles reposent sous des gisants de marbre de Carrare, celui de Philibert II occupant la place d'honneur, au milieu du chœur. Son tombeau a la particularité de présenter deux gisants de marbre : la première représentation le montrant vivant, les yeux ouverts, portant les insignes de sa charge (il est vêtu de son manteau d'hermine et porte sa couronne de duc de Savoie), et la seconde représentation, au niveau inférieur, le montre les yeux clos, quasi nu et dans l'attente d'être ressuscité. Le tombeau de Marguerite d'Autriche présente la même originalité, avec ses deux gisants installés sous un baldaquin monumental qui rappelle ses origines impériales. Les tombeaux sont extraordinairement ouvragés et peuplés de multiples statuettes très bien conservées. Dans les retables, les vitraux, et les sculptures ornementales, on retrouve de nombreuses traces du couple que formaient Philibert II et Marguerite d'Autriche.

Particularité unique en France, le monastère comporte trois cloîtres à étages de style différent. Dans l'un d'eux, Marguerite, qui avait prévu de terminer son veuvage au monastère, avait fait installer ses appartements privés. Les trois pièces, qu'elle n'eut pas le temps d'occuper, ont été réaménagées et présentent désormais un espace d'exposition dédié aux différents aspects de sa vie. Les bâtiments monastiques de Brou abritent, en outre, le musée municipal et ses riches collections d’art français, flamand et italien du XVe au XXe siècle, dont la Sainte Famille de Jan de Beer, le Portrait de Marguerite d'Autriche de Bernard van Orley, ou encore L'Evanouissement d'Esther de Jean Jouvenet. Brou possède également de nombreux exemples de la peinture de style troubadour et de paysages du XIXe siècle. Plusieurs salles sont enfin dédiées à l'art décoratif où l'on peut découvrir du mobilier régional ou les faïences de Meillonnas. Tout est admirable dans ce monastère qui s'investit auprès de tous les publics avec des visites, ateliers et stages de sensibilisation à l'art, l'archéologie et l'architecture. L’église et les trois cloîtres sont classés au titre des monuments historiques.

Fermé le 1er janvier, le 1er mai, le 1er novembre, le 11 novembre et le 25 décembre. Ouvert tous les jours. D'octobre à mars : de 9h à 12h et de 14h à 17h. D'avril à juin : de 9h à 12h30 et de 14h à 18h. De juillet à fin septembre de 9h à 12h30/ 14h à 18h. Moins de 26 ans. Adulte : 9,50 €. Groupe (20 personnes) : 7,50 €. Tarif réduit : 7.5 €. Label Tourisme & Handicap. Boutique. Visite avec audioguide : 3 € en supplément du droit d'entrée.

Patrimoine Unesco

Inscrite sur la Liste du Patrimoine Mondial par l’UNESCO depuis 1982, la Saline royale d’Arc-et-Senans est le chef-d’œuvre de Claude Nicolas Ledoux, architecte visionnaire du siècle des Lumières.

Manufacture destinée à la production de sel, la Saline royale a été créée de par la volonté de Louis XV et construite entre 1775 et 1779.

Elle constitue un témoignage rare dans l’histoire de l’architecture industrielle.

Aujourd’hui la Saline royale se réinvente autour du projet Un Cercle immense, qui enrichit le parcours de visite de 5 hectares.

"Osez et vous réussirez ! L'exemple que vous donnerez fera éclore de nouveaux préceptes qui épureront les anciens" - Claude Nicolas Ledoux L’Architecture paru en 1804. L'architecte concepteur de ce site inscrit au patrimoine de l'Unesco dès 1982. Construit sous Louis XVI, de 1775 à 1779, cet édifice avait pour fonction, de cuire les eaux salées acheminées depuis Salins par un saumoduc. Le sel était à l'époque un bien de premier ordre car indispensable à la conservation des aliments, à l'agriculture. Édifiée en demi-cercle, constituée de 11 bâtiments, la Saline royale fonctionnait comme une usine intégrée où vivaient le directeur et les ouvriers. Elle a fermé ses portes dès 1895. En 1927, le département du Doubs en a fait l'acquisition, engageant sa remise en état. Depuis 1996, elle a repris une place prédominante dans la vie régionale grâce à ses musées, ses expositions, ses concerts, son architecture et ses jardins... Premier site d’origine industrielle au monde à bénéficier de cette reconnaissance par l’Unesco. A ne pas manquer pour une simple visite ou même pour un séjour puisque la Saline royale dispose d’un hôtel 3 étoiles. Au sein du monument, vous pouvez explorer 4 expos permanentes sur le lieu et son créateur, le sel et le patrimoine mondial avec comme nouveauté un parcours de visite numérique. C'est temporairement l’œuvre de Charles Belle qui sera à l'honneur cette saison. 

 Et n'oublions pas les jardins de 5 ha et leur festival : un véritable laboratoire des métiers du paysage sous l'impulsion de Gilles Clément.

Ouvert toute l'année. De novembre à mars : ouvert de 10h à 12h et de 14h à 17h ; D’avril à juin et septembre-octobre de 9h à 18h ; en juillet - août de 9h à 19h. Gratuit jusqu'à 6 ans. Adulte : 12,50 €. Enfant (de 6 à 15 ans) : 7,50 €. Étudiants, jeunes de 16 à 25 ans, demandeurs d’emploi, minima sociaux, handicapés : 9 €.Librairie. Visite guidée. Restauration (en été seulement. Traiteur). Boutique.

LES ARCADES

Les arcades de Remiremont datent des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. Avec son architecture unique, c'est un lieu très agréable. Témoins d'une époque aujourd'hui révolue, elles sont uniques et ont chacune des formes différentes. Elles magnifient la rue Charles de Gaulle, principale artère commerçante de la ville. Vous pouvez d'ailleurs les admirer des deux côtés de la rue. C'est agréable d'aller y flâner, en particulier lorsque la ville s’anime dès les premiers rayons de soleil. C'est d'ailleurs à cette période que les arcades deviennent joliment fleuries.

ÉGLISE ABBATIALE SAINT-PIERRE

10, place Henri-Utard 

Construite à l’emplacement d’une église romane à partir du XIe siècle, l’église abbatiale est un monument à ne pas manquer. D’abord pour le contraste qu’elle présente entre la simplicité de sa nef de style gothique et la richesse de son chœur. Celui-ci présente en effet un retable en marbre noir et calcaire blanc ainsi qu’une statue en bois du XIe siècle symbolisant une vierge. Cette église possède une remarquable crypte à voûtes d’arêtes ainsi que des peintures murales.

MUSÉE DE L'IMAGE

 03.29.81.48.30

Cité de l'Image, 42, quai de Dogneville 88000 Epinal

Le musée rassemble une collection de 110 000 images et bois provenant des centres imagiers français et étrangers. La salle d'exposition permanente retrace l'histoire de l'imagerie populaire, du XVIIe siècle à aujourd'hui : images religieuses, de propagande, publicités… Les lieux bénéficient d'une scénographie moderne et de nombreuses œuvres d'art contemporain. Chaque année, des expositions temporaires approfondissent ces thématiques. Le musée proposait dernièrement une exposition intitulée «Aux origines de la bande dessinée : l'image populaire».

9h30-12h et 14h-18h, fermé lundi matin. Adulte : 6 €/4,50 €. 6-18 ans : 1 €. Famille 10 €.

IMAGERIE D'ÉPINAL

42 bis, quai de Dogneville 88000 Epinal

C’est en 1796 que Jean-Charles Pellerin créa l’Imagerie telle que nous la découvrons aujourd’hui. L’Image est gravée dans une planche de bois et l’impression est réalisée au moyen d’une presse à bras, du nom d’un certain Gutenberg. Au fil des ans, l’Imagerie d’Épinal a su diversifier et moderniser sa production. L'établissement a fait l'objet d'un réaménagement pour permettre une visite avec tablette tactile qui vous immergera dans les techniques anciennes et modernes de fabrication des images et celles du pochoir et du coloriage sur de vieilles machines remises.

Ouvert toute l'année. En visites en autonomie avec histopad (tablette). Adulte : 11 €, - de 18 ans : 1 €, gratuit pour les moins de 6 ans, groupe (16 pers. min.) : 4,50 €. Billet famille : 10 €

LA MAISON ROMAINE

2, rue de Nancy 88000 Epinal

La ville d’Épinal est propriétaire de cette somptueuse demeure depuis 1902. Retour sur l'histoire de ce site qui appartenait autrefois à une riche héritière : c’est en 1892 que Mme Leclerc-Morel, ayant hérité de la fortune des Grands Moulins de Strasbourg, décide de faire construire une villa de style pompéien. Les plans de la maison subissent quelques adaptations à cause du climat vosgien. La propriétaire ne verra jamais son projet aboutir puisqu'elle se retrouve ruinée quelques années plus tard. La ville y voit alors l'opportunité d'y installer la bibliothèque municipale de 1906 à 2008. Elle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Aujourd'hui, elle accueille des entreprises du Pôle Images.

CHÂTEAU D'ÉPINAL

La Colombière 88000 Epinal

Du château d’Épinal, il ne reste plus que quelques vestiges et le grand parc. Celui-ci, ancienne propriété du trésorier Christophe Doublat, est accessible par la Tour chinoise du XIXe siècle. Du XIIe au XVIIIe siècle, ce qui était au départ une tour en bois va progressivement devenir le château de la ville. Il devint alors une enceinte fortifiée surplombant la vallée de la Moselle. La guerre de Trente Ans et les guerres de Louis XIV signent la fin de son prestige.

Aujourd'hui, le château accueille un parc animalier, des vignes, des aires de jeux et un manège.

BASILIQUE SAINT-MAURICE

Place Saint-Goëry 88000 Epinal

Vêtue de grès, la basilique Saint-Maurice fut érigée entre les XIe et XIIIe siècles. Consacrée en l’an 1051 par le pape Léon IX, elle fut classée au titre des Monuments historiques en 1846 puis élevée au rang de basilique mineure en 1933. Extérieurement, le portail des Bourgeois vaut le coup d’œil, ainsi que les tours, les gargouilles et les riches ornements sculptés (statuaire). Parmi les éléments importants du mobilier, citons une Vierge à la Rose du XIVe siècle, une Mise au Tombeau de la fin du XVe siècle et des tableaux du XVIIe siècle.

PLACE DES VOSGES

Cœur historique de la cité au Moyen Age, bourgeois, banquiers et commerçants, en bons patriotes, venaient y régler leurs affaires. De nos jours, cette place demeure un lieu de passage incontournable pour les habitants et les visiteurs. Sans oublier les nombreuses terrasses accolées aux arcades anciennes, dont les plus récentes remontent au XVIIIIe siècle. Ne manquez pas la charmante maison du Bailli, construite en 1604, pour le compte d'un riche papetier. De style Renaissance, avec ses oriels et ses fenêtres à meneaux, elle vaut le coup d'œil !

ÉGLISE NOTRE-DAME-AU-CIERGE

Avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny 88000 Epinal

Construite initialement en 1900, achevée en 1939, l'église a été totalement détruite lors de la Deuxième Guerre mondiale. Reconstruite entre 1956 et 1958, l'église incarne parfaitement l'architecture religieuse contemporaine. À l'intérieur, la grande verrière du chœur réalisée par Gabriel Loire, maître-verrier, attirera votre attention. Le portail de l'église représente, autour de la croix du Christ, les 4 évangélistes et leurs symboles.

Le lieu est classé monument historique en 2011.

ROSERAIE DE LA MAISON ROMAINE

Rue de Nancy 88000 Epinal

La roseraie de la maison romaine située au bord de la Moselle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques.

Sur 3 000 m², vous pourrez admirer plus de 6 000 rosiers de 550 variétés différentes dans un jardin à la française.

Vous serez également subjugué par la maison romaine elle-même. En effet, en 1892, Mme Leclerc-Morel, héritière de la fortune des Grands Moulins de Strasbourg, fit construire cette splendide demeure de style pompéien.

QUARTIER DU CHAPITRE

Rue du Chapitre 88000 Epinal

Le quartier du Chapitre se situe autour de la basilique Saint-Maurice. La rue du Chapitre est bordée d'hôtels particuliers et de maisons canoniales ayant appartenu aux chanoinesses. Etabli jusqu'à la Révolution française, le cloître des chanoinesses est le point de départ de cette rue qui conduit aux anciennes fortifications.

Au bout de la rue, au détour d'un jardin, se dévoilent trois tours et près de 75 m de remparts, vestiges témoignant de l’importance des fortifications médiévales. A l'époque, on dit même que l'enceinte abritait autant de tours que la cité de Carcassonne !

Les découvertes des fouilles sont exposées dans un musée, portant le même nom que la rue. Plus loin, en arrivant rue d'Ambrail, on découvre l’ancien hôtel du général Doublat datant du XVIIe siècle. Son portail en bois fut maintes fois franchi par l’impératrice Joséphine. Puis poursuivez jusqu'à la place Edmond-Henry (anciennement place du Poids) où, durant le Premier Empire, le palais de justice occupa les locaux de l’ancien couvent. Pour clore la balade, ne manquez pas l'adorable lavoir Saint-Goëry, pittoresque au possible, accessible par les rues Jeanmaire et Friesenhauser.

PARC DU COURS

Place Foch 88000 Epinal

Créé en 1763 au sud de la ville par le duc Stanislas, le parc du Cours est situé en bordure de la Moselle. C'est un véritable havre de paix à l'abri des bruits de la rue Gambetta. Certains arbres ont été coupés par les Allemands en 1870 pour réfection de leurs attelages, et ont été remplacés par des essences nouvelles. Ce parc de style anglais compte également 25 massifs de fleurs. Cette balade se termine sur le Champ de Mars, grande place qui accueille la fête foraine et toutes les manifestations importantes comme la fête de la Musique ou encore Rue et Cie.

TOUR CHINOISE

19, rue d'Ambrail 88000 Epinal

La Tour chinoise fait partie intégrante de la richesse patrimoniale d’Épinal. Vous gravirez les 80 marches de son escalier à l’italienne pour découvrir le jardin médiéval du château qui domine la ville. De là s’offre à vous une belle vue panoramique sur la cité des images. L’édifice fait partie d’un vaste ensemble paysager créé par Christophe Doublat au début du XIXe siècle. Devenue propriété de la Ville d’Épinal en 1891, la tour reliait grâce à son escalier intérieur, sa propriété d’habitation au parc du château alors jardin privé.

Ouvert toute l'année. Du lundi au samedi à partir de 7h30 (dernière visite à 18h). Visites libres. Gratuit.

LE PLAN D'EAU DE BOUZEY ET L'ÉTANG DE LA COMTESSE

A 8  km d’Epinal, le lac de Bouzey (140 ha) est un endroit particulièrement agréable pour passer une journée en pleine nature. Ce grand lac artificiel, qui date de la fin du XIXe siècle, sert de réservoir pour le fonctionnement des écluses du Canal de l’Est. Terrain de jeu idéal pour les enfants, et pour les plus grands, il est l’endroit idéal pour pratiquer toutes les activités nautiques d’usage (canoë, bateaux à pédales, voile…). Des espaces sont spécialement aménagés pour la baignade tandis que plus loin, pêcheurs et flâneurs peuvent savourer la tranquillité des berges. Le lac est aussi le point de départ de nombreuses randonnées à pied, à cheval, et à vélo  : une piste cyclable de 15 km a d’ailleurs été créée entre l’étang et le port de la Cité des images. Paradis des ornithologues, le plan d’eau de Bouzey est aussi un point de passage essentiel pour de nombreuses espèces d’oiseaux migrateurs.

Pendant toute la saison des fêtes de fin d'année, du 3 décembre 2021 au 2 janvier 2022,

la ville d'Epinal met à l'honneur les Fêtes de Saint Nicolas.

Retrouvez donc de nombreuses animations : le village de Saint Nicolas, la patinoire, les illuminations, le défilé... 

La ville d'Epinal, située dans les Vosges, arbore ses plus beaux habits de lumière pour vous faire vivre une période magique pendant tout le mois de décembre.  

Le Village et le Marché de Saint Nicolas à Epinal 2021

Village de Saint Nicolas (3/12 au 2/1)

Le village de Saint Nicolas s'installe sur la Place des Vosges (à proximité du grand sapin) et sur la Place de l'Âtre

Inauguration du village le vendredi 3 décembre à 17h. 

Marché de Saint Nicolas (26/11 au 31/12).

C'est sur la place Pinau, la place des Quatre Nations et dans la rue Léopold Bourg qu'est installé le Marché de Saint Nicolas,

On y trouve des produits gourmands et pour les fêtes (champagne, vins, bières, fruits secs et confits, chocolat, spécialités régionales) et des idées cadeaux (artisanat d'art, décorations, jouets, bijoux, cadres et tableaux).

Un spectacle en vidéo mapping animera la place Edmond Henry tous les jours du 3 décembre au 2 janvier.

St-Nicolas, la patinoire en plein air et nombreuses animations en continu.

le Défilé de la Saint-Nicolas ???????? avec son feu d'artifice.

Traditionnel temps fort de cette séquence festive et féérique, le cortège de la Saint-Nicolas retrouvera ses droits et son public le samedi 3 décembre prochain dans les rues du centre-ville.

https://www.jds.fr/manifestations-et-animations/noel/marche-de-noel-saint-nicolas-epinal-116330_A

Assister à l'un des plus grands défilés Saint Nicolas de Lorraine ? Rendez-vous aux festivité St-Nicolas à Epinal : plus de 60 chars, près de 3km de cortège, des aubades et un feu d'artifice final tiré sur le Pont Sadi Carnot offert par la Ville d'Epinal.

Rendez-vous pour le lancement des festivités de Noël à Épinal : Samedi 3 Décembre 2022 Saint Nicolas défilera dans les rues de la préfecture des Vosges, dans la bonne humeur des fêtes de fin d’année 202

>> Défilé Saint Nicolas à Epinal et Feu d'Artifice final

>> Samedi 3 Décembre 2022

Le défilé de Saint-Nicolas, rassemble une soixantaine de chars, musiques et groupes.

- 17h30 : Apparition du Saint-Nicolas, Place Edmond Henry.

- 18h : Au départ de la place des Vieux Moulins, le défilé rassemble une soixantaine de chars d'associations, de groupes, de clubs locaux, mais aussi des fanfares et autres surprises.

- 20h00 : Le traditionnel feu d'artifice accompagnera la disparition de Saint Nicolas sur le Pont Sadi Carnot. Plus de 30 minutes de spectacle pyrotechnique.

> Parcours du Défilé

Le défilé de la Saint Nicolas sillonnera les rues d'Epinal. Depuis la rue du Vieux Moulin vers le pont Sadi Carnot

Attention : les rues seront fermées à la circulation.