Nonières

(N° 26520)

 

Les Collanges

07160 NONIERES

Latitude : (Nord) 44.90904° Longitude : (Est) 4.47198° 

Tarif : Gratuit

Type de borne : Artisanale

Services :

 

Tables de pique-nique

Autres informations :

7 emplacements


Le Cheylard

Situé à 430 m d'altitude, entouré de collines boisées et de terrasses, Le Cheylard est une ville dynamique, au confluent de deux rivières : la Dorne et l'Eyrieux. 

L'ancienne voie de chemin de fer vous offre de magnifiques balades et points de vue pour rejoindre la base aquatique Eyrium, blottie dans son écrin de verdure.

Un espace de charme où l'eau, l'air et la nature se conjuguent avec soleil et détente, pour le plaisir de toute la famille.

 

la place Saléon Terras ombragée qui invite le visiteur à se rafraîchir et à se détendre, autant d'éléments agréables qui rendent cette ville conviviale et attrayante.

La gastronomie variée se réfère souvent aux produits locaux pour vous faire découvrir l'authenticité du terroir. Les fins gourmets découvriront les délices de la région avec leurs festivals d'arômes et leurs couleurs, ils apprécieront les tables des restaurateurs, les producteurs locaux, sans oublier l'étal du marché.

Outre ses atouts touristiques, Le Cheylard est aussi toute une mécanique d'or et d'étoffe, puisant son énergie dans l'activité industrielle au diapason de l'art, de la mode, du goût, toujours à la pointe des savoir-faire. Connues dans le monde entier, ses activités industrielles : le textile de forte et longue tradition dans la région, le bijou, la mécanique, font du Cheylard un fort pôle industriel agréable à vivre. Découvrez L'Arche des Métiers, vitrine des savoir-faire industriels des Boutières.

Lieux et monuments

L'Arche des Métiers : présente l'ensemble des savoir-faire et des métiers du bassin du Cheylard.

Le château de La Chèze : place-forte protestante au xvie siècle. Il est actuellement en restauration.

Le château de Gastefer ou château Bleu : construit par M. François Saléon-Terras.

La vieille ville du Cheylard.

La fontaine sur la place de l'Église : offerte par Just Saléon-Terras (conseiller départemental-maire) suite à l'adduction de l'eau et de l'électricité aux habitants du Cheylard.

La Palisse : quartier du Cheylard où se concentrent les grandes surfaces, le stade de football, la salle des fêtes.

La base aquatique Eyrium.

L'amphithéâtre de la vieille ville.

Une pierre tombale en eau et lumière orne la place du Serre.

Pont de Chervil

L’inauguration de la ligne La Voulte - le Cheylard.

L'inauguration de la ligne La Voulte-Le Cheylard le 13 septembre 1891 fut une journée mémorable, avec la présence du ministre des transports, du préfet, de 150 invités. Peut-être trop chargé,

le train tomba en panne avant Chalencon :

« Qu’y a-t-il ?

- Nous n’avons plus de vapeur.

- Eh bien, faites en, de la vapeur

- Oui, mais nous n’avons plus d’eau... »

Une heure plus tard, on avait parcouru 400 mètres de plus. Le préfet était tout rouge... Le train en détresse était alors à 2 km de la gare de Chalencon. Le chef de train y partit en sautillant de traverse en traverse et par téléphone alerta la gare du Cheylard...

 

Le pont de Chervil

La poursuite des travaux du Cheylard à Saint-Julien-Boutières (décembre 1902), puis à Saint-Agrève (mai 1903) et de Lamastre au Cheylard (juillet 1903) donna au réseau du Vivarais son aspect définitif, avec environ 120 km dans l’Ardèche et 80 dans la Haute-Loire. Sur ces tracés, le relief tourmenté obligea à construire de nombreux ouvrages d’art et murs de soutènement, en particulier dans la partie d’Intres à Saint- Agrève où se succèdent tunnels et viaducs, dont celui de Bon Pas, le plus haut du réseau avec ses 25 mètres, et le tunnel en courbe qui le précède. À hauteur de La Roche-en-Chalencon, la voie traverse l’Eyrieux par deux fois dans une de ses partie les plus pittoresques. C’est là aussi que se trouve le premier tunnel, aprés le viaduc du Moulinas.

Le succès fut au rendez-vous, puisque 664 000 billets furent vendus en 1913 et encore 679 000 en 1929. Les voitures de voyageurs (trois classes pour les voitures de l’origine), étaient des réductions des matériels des grandes compagnies, trés modernes pour l’époque, avec déjà des bogies à la place des essieux parallèles. En plus des voyageurs (qui mettaient deux heures pour faire les 47 km de La Voulte au Cheylard...), le train acheminait des marchandises, surtout du bois. Les locomotives à vapeur Mallet arrivaient à hisser 300 tonnes de marchandises sur les pentes à 1% de la ligne de l’Eyrieux et elles passaient même l’hiver avec la neige souvent présente dans la région de Saint-Agrève.

Les premiers déficits d’exploitation, dès la fin de la guerre de 1914-1918, annonçaient les difficultés à venir. La Compagnie essaya de lutter contre la hausse des coûts salariaux, puis contre la concurrence des transports routiers, en achetant des autorails de Dion-Bouton dès 1935. Mais elle était peu soutenue par les pouvoirs publics dans cette compétition et la condamnation tomba en 1968 ; le dernier convoi partit le 31 octobre 1968, fin de 75 ans d’activité au service de la population de ce pays des Boutières, véritable service public qui avait vu la mise en place de trains de « marché » pour les foires hebdomadaires, le développement des autorails touristiques dans les dernières années, etc. Pourtant, tout n’était pas terminé, car il y eut le miracle du Mastrou qui accueillit ses premiers voyageurs sur Tournon-Lamastre le 22 juin 1969 grâce à une équipe d’amateurs dynamiques et efficaces. Une partie du matériel roulant a été récupérée par ces pionniers, mais ceci est une autre histoire.

Cet itinéraire de la vallée de l’Eyrieux était pratiquement laissé à l’abandon depuis 40 ans (les rails y avaient été déposés en 1969). Il est depuis peu en cours d’aménagement en voie verte, aménagement déja réalisé de La Voulte à Chalencon, avec la pose de barrières de sécurité et d'équipements touristiques (panneaux d’information, bancs, etc.)

La gare de Chalencon se situait au Pont de Chervil, à 34 km de celle de La Voulte et 13 du Cheylard.

Les bâtiments existent encore 

Le bâtiment de la gare a été transformé en habitation et loué, mais extérieurement peu de choses ont changé ; l’horloge de la façade a été restaurée à l’identique, le hangar surélevé subsiste...

Nous pouvons visiter un aménagement intéressant : un tunnel sous la voie sert de passage à un ruisseau affluent de l’Eyrieux ;

son gabarit important, comme le bel appareillage en pierres, témoigne de la qualité des travaux réalisés il y a plus d’un siècle. 

Chalençon

le plus panoramique

Depuis le village, le panorama sur la vallée est grandiose. Accroché au rebord méridional du plateau de Vernoux-en-Vivarais, le village de Chalencon se dresse sur un cône rocheux qui domine la vallée de l'Eyrieux. Le bourg traditionnel, ravissant avec ses ruelles pavées et ses vieilles demeures seigneuriales en pierre de granit aux fenêtres à meneaux, s'enroule autour de l'église. Du sommet du village, le regard se perd dans un océan de verdure où se mêlent châtaigneraies centenaires, prairies, rochers escarpés et terrasses en pierres sèches cultivées. Au-delà, on aperçoit le Vercors, les Alpes, le Gerbier de Jonc et le mont Mézenc. Idéale pour vous immerger dans cette nature généreuse, la Dolce Via, en contrebas du village. 

Lieux et monuments

  • Église Saint-Pierre d'implantation romane.
  • Temple protestant datant de 1823.
  • La tour de Diane, tour ascenseur d'une maison marchande.
  • La chaise de justice gardée à la mairie.
  • La chaire du Désert démontable actuellement gardée au temple.
  • L'ancien couvent des sœurs de Nazareth.
  • La porte de ville de Chalencon dite porte de Besse (du nom de la seigneurie de Besse dont le territoire allait jusqu'aux anciennes fortifications de la baronnie de Chalancon) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 31 mai 192717.

Lamastre

(N° 948)

 

Place Pradon

07270 LAMASTRE

Latitude : (Nord) 44.98701° Longitude : (Est) 4.57972° 

Tarif : 2021

Electricite : 2.5 €

Eau : 2.5 €

Type de borne : plateforme

Services :

Boulangerie - Restaurant- Supermarche - Commerces

Campingcar8 M - Informations Touristiques

Electricité : 10 ampères, 1h, 1 prises

Plein d'eau : 100 l

Autres informations :

Ouvert A l'année

20 emplacements

Durée maxi: 2 jour(s)

Moyen de payment : Jeton

Tel: +33 4 75 06 48 99

SITE INTERNET

Jetons à l'office du Tourisme, aux heures d'ouverture ou par carte bancaire


Transports

De Lamastre part le petit train du Vivarais, train à vapeur traversant les gorges du Doux, de Lamastre à Tournon, également connu sous le nom de « Mastrou ». À cause de difficultés financières le Mastrou n'a pas circulé entre 2008 et 2013.

En attendant la reprise du train touristique, un vélorail prototype a été mis en place chaque été.

Ce fut un franc succès dès la première année ! La remise en service du Mastrou est effective depuis juillet 2013.

En effet, des travaux ont été réalisés depuis, notamment sur le site de Lamastre où un atelier permettant la réhabilitation de nombreux matériels roulants (voitures pour transporter les futurs voyageurs, wagons divers et locomotives) a été construit.

La gare de Lamastre a été entièrement réhabilitée.

Lieux et monuments

  • Château de Peychelard (ruines).
  • Château de Retourtour (ruines).
  • Château d'Urbillac.
  • Temple protestant.
  • Église Saint-Domnin.
  • Chapelle des Saints-Os, dans le quartier de Machevile.
  • Les Chopes du Moulin, micro-brasserie installée dans une ancienne minoterie (minoterie Mandon).

Desaignes

le plus médiéval

Toujours dans la vallée du Doux, toujours dans le paysage vallonné et verdoyant de l'Ardèche verte, Désaignes, ancienne place forte féodale du Vivarais, dévoile un centre historique parfaitement préservé. Ruelles, échoppes, vieilles maisons gothiques, remparts, l'ensemble moyenâgeux inscrit aux Monuments historiques ne peut laisser indifférents les férus d'histoire qui apprécieront les trois portes d'accès monumentales, datées de 1380. Celle du Bourg de l'Holme, donnant sur la place du village, a conservé ses mâchicoulis et son échauguette où se postait le guetteur. Commune du Parc naturel régional des monts d'Ardèche, Désaignes conserve une vie rurale active qui façonne les paysages alentour : vergers, cultures en terrasse et superbes pâturages paradis des troupeaux de chèvres, dont l'élevage est une spécialité locale. Tout comme le châtaignier, arbre roi de la forêt ardéchoise dont la commune abrite un spécimen millénaire : le châtaignier de l'Hermet, considéré comme le plus gros et le plus vieil arbre d'Ardèche.

Lieux et monuments

  • Le château de Désaignes, qui date du xive siècle. Parmi ses éléments d'architecture : un escalier à vis, une chapelle et de belles cheminées. Le musée municipal est aujourd'hui installé dans ses murs et ses caves accueillent un point de présentation et de dégustation des produits régionaux. Le musée reprend des éléments de la vie rurale d'autrefois ainsi que l'histoire du village. Du côté ouest du château, le long de la rue des Remparts se trouve une grille mobile en fer forgé classée monument historique.
  • Trois châteaux privés des xve et xvie siècles.
  • Bloc sculpté provenant de l'ancienne église. Inscription : « Ma maison est la maison d'oraison A 1608 Noel Bore[l] IHS ».
  • Temple protestant : au centre du bourg, il est adossé à la forteresse du xie siècle dont il a gardé le donjon pour clocher. Construit entre 1820 et 1844, il remplace un premier temple détruit en 1684 sur ordre de l'évêque de Valence. on peut y voir de belles fenêtres romanes ainsi qu'une pierre gravée, provenant du premier temple et placée au-dessus de la porte : « Ma maison est la maison d'oraison ».
  • Église de style roman et néo-roman.
  • Nombreux fragments du rempart qui entourait jadis la ville.
  • Portes médiévales : la porte du Bourg de l'homme (classée monument historique),
  • la porte Fornat 
  • la porte Janot.
  • Fontaine Barbière.
  • Ponts : du Buisson (1746), de la Fabrique ou du Massoire (1886) et du Syalles (1900).
  • Fermes et hameaux typiques de l'habitat rural dispersé.

Le village est inscrit au patrimoine historique depuis 1972 et labellisé Village de caractère depuis 2007.

Boucieu le Roi

le plus doux.

Ancienne petite cité royale créée au XIIIe siècle par Philippe le Bel, alors roi de France, Boucieu-le-Roi se niche au creux des monts du Vivarais, un petit bout d'Ardèche préservé, réputé pour ses châtaigneraies. Érigé sur un promontoire rocheux surplombant un large méandre du Doux, ce village de quelque 300 âmes invite à la méditation. Tant et si bien, qu'au XVIIIe siècle, un prêtre missionnaire décida de s'y arrêter pour fonder l'ordre du Saint-Sacrement. Un héritage religieux marqué par un chemin de croix de 39 stations qui traverse le village, et le musée Pierre Vigne, logé dans l'ancien château seigneurial. À ne pas manquer également : le pont du Roi construit en 1492 au-dessus du Doux, la Maison forte du bailli qui abritait la cour royale de justice du Haut-Vivarais, située au bout de la rue principale et, pour le plaisir des yeux, le panorama sur la verdoyante vallée du Doux.

Patrimoine architectural

Depuis 2008, Boucieu-le-Roi est titulaire du label « Villages et cités de caractère », qui regroupe les plus beaux villages d'Ardèche.

Monuments classés

  • La maison du Bailli ( Inscrit MH (1927)) : ce bâtiment, datant du xve siècle, propriété privée, n'est pas ouvert au public. Sa façade est flanqué d'une échauguette, petite tourelle construite en encorbellement et munie de petites ouvertures qui permettaient de surveiller les alentours.
  • Le Pont du Roi ( Inscrit MH (1927) ce vieux pont, datant à l'origine du xve siècle, a été en grande partie reconstruit au cours du xviiie siècle, une troisième arche ayant été rajouté durant cette période Il est toujours emprunté par la circulation des véhicules franchissant le Doux et permet de rejoindre le bourg voisin de Colombier-le-Vieux.

Autres monuments

  • l'église St Jean l'Evangéliste, de style gothique, a été consacrée en 1492. Celle-ci héberge la tombe du prêtre missionnaire Pierre Vigne" qui date du xviie siècle
  • La maison forte (musée) Ce bâtiment imposant, présenté comme le château seigneurial dominant le bourg, date du xive siècle et abrite le musée de Pierre-Vigne
  • La chapelle Notre-Dame située à l'entrée du village édifiée en 1712 par le prêtre et missionnaire Pierre Vigne. Celle-ci a bénéficie d'un travail de restauration en 1935.
  • Les vieilles maisons du bourg Il s'agit d'un ensemble de maisons composant l'ancienne bastide et située dans la rue principale et les ruelles avoisinantes dont la maison à « aître » qui est un petit parvis (ou avancée) situé à l'avant d'une maison médiévale locale
  • Le « Grand Voyage de Pierre Vigne » Ce grand chemin de croix édifié durant la première moitié du xviie siècle selon l'idée du missionnaire Pierre Vigne est composé de trente cinq stations chapelles, décorées de sculptures. Les monuments actuels de ce site ont été reconstruits après le saccage survenu au cours de la Révolution française.
  • Ruines du pont romain (deux restes de pile d'un pont sur la rive gauche du Doux) sont situées à 300 mètres du pont de Boucieu, en limite de la commune de Bozas.

Dunière sur Eyrieux ?

Découvrez, au coeur de l'Ardèche, entre Le Cheylard et La Voulte-sur-Rhône, la vallée de l'Eyrieux, un territoire verdoyant aux paysages préservés alternant villages typiques, châtaigneraies et cultures en terrasses. Une destination à apprécier le temps d'un séjour repos ou en s'adonnant à une activité de loisirs en plein air telle que la randonnée pédestre sur sentiers balisés, le canoë-kayak sur l'Eyrieux, la baignade et la pêche en rivière ou encore le vélo le long de la Dolce Via et de ses 45 kilomètres de voie douce aménagée...

L'occasion aussi d'emprunter l'itinéraire de la corniche de l'Eyrieux, une belle route en crête, avec entre autre un magnifique panorama sur les vallées de l'Eyrieux et du Rhône depuis les ruines perchées du château de Pierregourde


Beauchastel

 Adresse :

D86

07800 Beauchastel

 France

 

GPS :

N 44.822201, E 4.807880

 

Nombre de place(s)10

Prix du stationnement :gratuit

 

Parking gratuit au bord de l'eau, près de la centrale hydroélectrique. Sans service. Bien pour une pause casse-croûte ou une balade au bord de l'eau.


le plus méridional

Accroché au rebord du plateau de Vernoux, au carrefour des vallées du Rhône et de l'Eyrieux, le vieux bourg de Beauchastel a été construit au XIIe siècle par deux seigneurs inspirés. Entouré de hauts remparts et accessible par des portes fortifiées, l'ensemble défensif détruit pendant les guerres de religion, conserve de cette glorieuse époque, la tour de l'ancien château et d'anciens quartiers médiévaux restaurés par quelques bénévoles amoureux du patrimoine ardéchois. Vieilles maisons en schiste et en galets de l'Eyrieux imbriquées, ruelles étroites, escaliers tortueux, passages couverts, Beauchastel, protégé du mistral et très ensoleillés, prend des airs de village provençal à la belle saison. Un village attachant à découvrir à la lueur des lampes torches et en compagnie de Marianne Mercœur. En contrebas, en rive droite du Rhône, on aperçoit la partie moderne du village construite sur un plateau.

Patrimoine religieux

  • Église du xixe siècle

Lieux et monuments

Ancien village médiéval de Bellum Castrum, place fortifiée. En 1179, les premiers seigneurs, les Retourtour et les Briand, pour se défendre des envahisseurs, font ériger un donjon, des tours et des remparts que l'on franchit par des portes fortifiées. Le bourg est construit sous l'ancien château. Pendant les guerres de religions le village est ravagé, en 1622, sur ordre de Louis XIII, les fortifications de Beauchastel sont rasées ; les remparts et les tours de défense disparaissent. Malgré ces démolitions, le site du village conserve jusqu'au début du xxe siècle son aspect médiéval qui s'enrichit d'éléments architecturaux de la Renaissance.

  • L'ancien château datant du xiie siècle couronne le village. Il se limitait sans doute à ce donjon protecteur à base carrée dont il ne reste qu'un pan de mur. Il est détruit en même temps que le village lors des guerres de religion.
  • Église du xviiie siècle (1761).
  • Maison du patrimoine (juin 1990) fermée.
  • Usine hydroélectrique sur le canal de dérivation du Rhône.