Chamborigaud est toute dans son viaduc. Cet ouvrage incontournable et grandiose, impossible à manquer, se fond dans ce paysage aux rudes crêtes et domine de 46 mètres la vallée du Luech. Construit au XIXe siècle, ce viaduc est un chef d’œuvre d’architecture avec ses 41 arches, ses 384 mètres de longueur en courbe de 200 mètres de rayon. Mais il peut aussi traduire toute l’histoire de cette commune.
Simple hameau pendant des siècles, placé sur la voie Régordane, Chamborigaud n’est devenue officiellement une paroisse qu’au XVIIe siècle.
L’existence du village est pourtant attestée dès 1345, mais ce n’est qu’entre 1702 et 1705 que la commune entre dans l’Histoire, lorsque ses habitants s’opposent aux dragons du Roi-Soleil durant la guerre des Camisards. Le village prend ensuite de l’importance au milieu du XIXe siècle avec l’exploitation minière qui se développe dans la région. Toute une série d’infrastructures lourdes est alors mise en place. Pendant près d’un siècle, la vie s’organise autour de la mine, générant autant de malheurs que de richesses.
Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, le déclin du charbon entraîne l’exode de nombreuses familles. Écoles et commerces ferment.
Le viaduc N 44.30595 E 3.98729
PARTICULIER
Adresse :
Cago Fère
30450 Génolhac
France
GPS :
N 44.343410 E 3.960798
Coin sympa aménagé par un particulier, tout plat vue magnifique, et départ pour aller se promener en forêt... est venu nous accueillir ... possibilité d avoir des légumes du jardin, le top!
Nombre de place(s) 8
Prix des services : gratuit
Prix du stationnement : gratuit
Ouverture/Fermeture : Ouvert toute l'année
Génolhac, un village à découvrir
Génolhac est un village médiéval dont l’histoire remonte au XI°s. Secoué par la Guerre des Camisards, chacune de ses ruelles raconte cette histoire troublée et fascinante. Niché au creux des montagnes cévenoles, Génolhac dispose de tous les atouts pour ravir les amoureux de nature préservée, d’authenticité et de calme.
Sur place, vous trouverez un de nos bureaux d'information touristique qui saura vous conseiller pour organiser votre séjour. Pour connaître les horaires et les infos pratiques, c'est par ici !
Pour découvrir le patrimoine de Génolhac, suivez le parcours culturel dessiné par les “plaque rouges” tout au long des ruelles médiévales pour en percer tous les secrets !
Au cours d’une balade au cœur de la ville, l’histoire de Génolhac est retracée à travers ses monuments et ses rues. Pour en découvrir toute la substance, continuez la lecture ci-dessous !
Partez à la découverte des principaux monuments de Génolhac
L'église
Construite au XI°s par le seigneur de Génolhac pour ancrer son pouvoir sur le territoire, cette église romane fut largement modifiée au fil des siècles, notamment au XVI° s lorsqu'elle hérite de son fameux « clocher-peigne » suite à sa destruction partielle dans le cadre des Guerre de Religion.
Le Temple
Bâti sur les ruines d'un couvent Dominicain du XIV°s à l'Aube de la Révolution Française, le temple de Génolhac compte parmi les plus important des environ, et ce, dû à une forte population protestante dans ce village, bastion de la résistance Camisarde.
Les ruelles médiévales
Flânez dans les ruelles médiévales de Génolhac pour y dénicher tous ses trésors, témoins d'une Histoire aussi riche que complexe. De son église romane à ses sculptures murales, partez à la découverte de ce patrimoine médiéval plein de diversité.
Le « Pont de Joany » (aqueduc médiéval)
Cet aqueduc médiéval du XIV° s fût le théâtre d'un événement majeur de la Guerre des Camisards ; l'assassinat du chef huguenot Joany par les Dragons royaux. Aujourd'hui ouvrage d'art de la fameuse Voie Régordane, cet aqueduc est en cours de restauration.
Le hameau du Pont de Rastel
Même si ce hameau fait partie de la commune de Génolhac, il est si proche de Chamborigaud que certains le considèrent comme un quartier du village. Jadis demeure de l'écrivain Jean Pierre Chabrol, le Pont de Rastel ne cesse de surprendre par son dynamisme. Ce petit hameau de paysans- mineurs, accessible par un magnifique pont du XVI° siècle accolé à une ancienne magnanerie, propose des animations quasi-permanentes.
Le marché de Pays
Chaque samedi, Génolhac vous offre son marché de Pays, où tous ses producteurs viennent partager avec vous leurs produits de qualité. Pélardons, miels, charcuteries, olives... toutes les saveurs des Cévennes s'offrent à vos papilles.
L'Histoire de Génolhac
Parmi les premiers seigneurs de Génolhac, on compte Bermond d'Anduze, neveu du comte Raymond VII. C'est donc sous son règne, en 1234, que la région bascule politiquement dans le Catharisme. Louis IX et le pape matent rapidement cette alliance des ennemis de la foi chrétienne et rattachent le Languedoc au Royaume de France en 1242.
Suite à cela, Guillaume IV de Randon, souhaitant asseoir son pouvoir dans sa seigneurie, demande la construction d'un couvent. En 1302, après une bataille politique acharnée, les Dominicains s'installent enfin à Génolhac.
Avec la Guerre de Cent Ans, ce sont les Anglais qui tentèrent d'envahir les terres de Génolhac. Rebelles dans l'âme, les Cévenols revendiquèrent leur appartenance au Royaume de France et repoussèrent les Anglais. Malheureusement, Génolhac subit de plein fouet les ravages de la Peste Noire en 1349.
Suit une période plus prospère: la Renaissance. Le relâchement des mœurs qui s'ensuit amène Luther à exiger un retour aux racines du christianisme. Les Cévenols adhèrent en masse à cette nouvelle religion: le Protestantisme.
Les Huguenots tentent alors de s'imposer autour du Mont Lozère, mais sont pourchassés et brûlés sur place publique. Durant la Guerre des Camisards, on peut notamment retenir les actes héroïques et très controversés de Jouany, chef camisard, et les 12 000 hommes qui furent tués.
Étape sur le chemin de Stevenson, Le Pont-de-Montvert, bourg typique niché sur les bords du Tarn, au pied du mont Lozère, constitue une halte appréciée des randonneurs et des amateurs d'authenticité. Un ensemble pittoresque à souhait, avec ses ruelles étroites, ses maisons de granit et son vieux pont en dos d'âne flanqué d'une ancienne tour à péage…
À visiter : la Maison du mont Lozère, située au Pont-de-Montvert, qui abrite un musée sur l'histoire naturelle et humaine du massif du mont Lozère.
Ispagnac - Cascade de Runes : Aller 29 km
Cette cascade est divisée en deux sauts et mesure près de 60 mètres de haut dans son intégralité. Vous devrez garer votre voiture sur le parking en direction du pont de Monvert depuis le village. Continuez à pied sur le chemin qui vous mène au sommet de la cascade, puis en bas.
Comptez 40 minutes de marche aller/retour sur un chemin escarpé. Il est possible de se baigner même si l’eau reste fraîche toute l’année. Au départ du sentier, vous observerez une pierre avec un dessin de dragon qui se mord la queue. La légende raconte que des vikings en errance sur le mont Lozère l’auraient gravée.
N 44.41292 E 3.58926
Le Cham des Bondons est un plateau calcaire près de Florac et du Mont Lozère. Il présente la deuxième plus grande concentration de menhirs en France, après Carnac en Bretagne. Ces menhirs ont été érigés vers 3000 avant J.-C. et il en reste aujourd’hui 154.
Ils sont répertoriés par groupe et des sentiers fléchés permettent de les découvrir lors de jolies promenades. Une trentaine de tertres funéraires se trouvent également sur le site.
Ispagnac - St Et. de Valdonnez : Aller 16 km
Lieux et monuments
L'ensemble patrimonial du village de la Fage (dont son clocher de tourmente, un four à pain et une croix à bénitier) est classé monument historique.
Antrenas - Marvejols : Aller 5 km
Antrenas
48100 Antrenas
France
GPS :
N 44.580890, E 3.266207
Nombre de place(s) 3
Prix du stationnement : gratuit
Sortie n° 38 de l'A75 à 2 kms direction Marvejols et Mende, petit village rural.
Vue imprenable sur le territoire du Gévaudan. Tous les services à 3kms à Marvejols.Robinet d'eau potable sous la mairie.
PARKING + AIRE N 44.554100 E 3.287050
Sous le règne de Henri IV, Marvejols était une ville royale et la capitale du Gévaudan.
Monuments et lieux touristiques
Les trois portes fortifiées
Bâtiments religieux
Musées
Autres
Surnommé le petit Versailles du Gévaudan, le château de la Baume est situé au coeur du Massif central, à près de 1200 mètres d'altitude, dans un cadre sauvage et préservé, sur la commune de Prinsuéjols. Classé Monument Historique, ce superbe édifice de granit, constitué de deux parties - l'une du XVIIe siècle et l'autre du XVIIIe -, abrite un intérieur richement décoré, de style Louis XIV et d'inspiration italienne. Meubles, boiseries, tableaux et tapisseries sont autant d'attraits à admirer au fil d'une visite guidée. L'occasion aussi de découvrir l'histoire d'une des baronnies les plus importantes du Gévaudan !
Adresse :
Sainte-Lucie
48100 Saint-Léger-de-Peyre
France
GPS : N 44.606098, E 3.284750
Nombre de place(s)15
Prix des services :Aucun service
Stationnement possible sur le parking du Parc des Loups du Gévaudan Accès : D809-La Rouvière - D253 - Fléchage
En plein cœur du Gévaudan, ce parc accueille plus d’une centaine de loups de 5 sous-espèces différentes. Le but des propriétaires est de changer l’image négative de l’animal. Vous commencez votre visite par un espace muséographique. On y traite de la place du loup dans les publicités et dans les contes. Des documents sur la bête du Gévaudan sont aussi exposés.
Vous entrez ensuite dans le parc animalier ou les canidés sont divisés en 5 groupes selon leur origine. Vous observerez des loups d’Europe, du Canada, de Sibérie, de Mongolie et des loups arctiques
Lieux et monuments
Église Saint-Alphonse de Rieutortet.
Église Sainte-Marie
Typiquement dans le style du roman auvergnat, l'église romane a été construite aux xie et xiie siècle, puis remaniée au xive, en granite "de la Margeride" (gros feldspaths bien visibles = dents de cheval) avec quelques éléments de basalte et de tuf volcanique, sous ses toits de schiste. Elle développe un plan harmonieux de nef unique, compris par un transept sur lequel se greffe l'abside principale précédée d'une travée droite et de deux absidioles.
Le clocher octogonal coiffe la croisée. À l'intérieur, la coupole couvre la croisée délimitée par quatre fortes arcades doublées que supportent des colonnes massives.
Le pourtour polygonal de l'abside est enjolivé d'une galerie de petites arcatures en plein cintre. Voûtes en berceau, sauf pour la nef, refaite en ogives à l'époque gothique. Un christ du xvie siècle et du mobilier polychrome du xviiie.
Le portail, à double voussure en plein cintre, s'ouvre au midi sur la place du village : trois de ces chapiteaux sont sculptés de feuillage, le quatrième, remarquable, présente le combat d'un sagittaire et d'un lancier.
Elle dépendait d’une fondation monastique de Saint-Victor de Marseille. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1921.
Maison Charrier
Maison familiale de Marc-Antoine Charrier, elle est aujourd'hui occupée par l'Office du tourisme et divers services communaux. Elle se trouve au sud de l'église, près du pont sur le ruisseau de Nasbinals, affluent du Bès.
Cascade du Déroc
Il s’agit d’un des sites naturels les plus remarquables de l’Aubrac. L’affluent du Bès et les eaux du lac des Salhiens viennent se précipiter sur le rebord de basalte sous lequel s’est formée une grotte constituée d’orgues basaltiques
remarquables par leur géométrie. Il est possible d’accéder au pied de la chute d’eau par un sentier qui contourne la falaise. En détournant votre regard de la cascade, la jolie Vallée de la Gambaïse.
Lac des Salhiens
Situé à proximité du ruisseau Bès, le lac des Salhiens s’étend sur 4 hectares. Son exutoire forme un cours d’eau qui donne quelques mètres plus bas la Cascade du Déroc. Ses berges marécageuses rendent son accès difficile et dangereux.
Pont des Nègres
Il enjambe la rivière des Plèches. La truite Fario qui prend, sur l’Aubrac, une robe sombre, localement appelé « negras » est à l’origine du nom du pont des Nègres. En contrebas, vous observerez une formation basaltique semblable à celle de la Cascade du Déroc. La chaussée de prismes basaltiques témoigne de l’activité volcanique passée. Le nivellement de ces prismes atteste la présence d’un glacier il y a plus de 10 000 ans. Ce site peut faire penser à la Chaussée des Géants en Irlande.
(N° 7296)
Rue de la Poste
Place du Foirail
48130 AUMONT AUBRAC
Latitude : (Nord) 44.72157°Longitude : (Est) 3.28489°
Tarif : Gratuit
Tous les commerces
Autres informations :
Ouvert toute l'année mais interdit tous les jeudis et vendredis soir en juillet et août, à cause du concours de pétanque
10 emplacements plats limités à 48h.
Bâtiments et lieux publics remarquables
Le bourg, autrefois fortifié, conserve des maisons des xvie et xviie siècles, façades de pierre de taille, aux rez-de-chaussée voûtés s'ouvrant en arceaux. Au-dessus d'une niche vitrée, une pierre sculptée vient peut-être du prieuré : certains y ont vu un svastika, d'autres, plutôt le trigramme JHS (Jesus Hominum Salvator : « Jésus, sauveur des hommes »).
Bâtiments religieux
L'église Saint-Étienne : c'est un ancien prieuré bénédictin, remontant à 1061, attesté en 1123, au cœur de la baronnie de Peyre. Très remaniée, des xiie et xiiie siècles, elle a conservé son chœur roman et plusieurs chapelles latérales gothiques. Le chevet est en cul-de-four avec des nervures en arc brisé et, à l'intérieur, les chapiteaux sculptés des troncs de colonnes reposant sur des culs-de-lampe. Autres culs-de-lampe à figures humaines au bas des ogives des chapelles et des nervures de la nef. Le clocher, achevé au xixe siècle, est excentré, au sud-est du chœur. Mobilier et vitraux modernes.
Autres
De la fontaine à la rue de l'église, on peut suivre la rue du Barri-haut ("barri", mot occitan, désigne un faubourg) la place de la Croix (celle d'une mission du xixe siècle), le Chemin Royal et la place du Cloître.
Au-dessus de la place du Foirail le monument du Sacré-Cœur est une statue représentant Jésus, statue dite du « Christ Roi », haute de plusieurs mètres elle domine le village sur une hauteur nommée Truc del Fabre. Cette statue, œuvre d'un sculpteur Marcel Courbier, a été érigée en 1946 par le curé du village. Elle commémore le fait que la guerre de 1939-1945 n'a pas fait de victime dans le village. Tous les ans, en été, une messe est célébrée au pied de la statue.
On peut aussi y admirer une statue représentant la bête du Gévaudan.
Adresse :
Javols
48130 Javols
France
GPS : N 44.691399, E 3.344880
Terre plein stabilisé sans services à coté de la salle des fêtes communale de Javols et du stade de foot à 5 minutes de ce beau village antique Romain (Anderitum). Un magnifique musée à visiter, bref, une jolie étape.
Adresse :
Javols
48130 Javols
France
GPS : N 44.693897, E 3.344218
Prendre à gauche la direction du village et juste avant le petit pont Eiffel rouge, à droite entre une petite route et un ruisseau, un espace herbeux entretenu. Peu de passage, très calme.
Prix du stationnement : Gratuit
Le village de Javols est construit à l’emplacement de l’ancienne capitale gallo-romaine des Gabales : Anderitum. Le musée de Javols présente les découvertes archéologiques faites sur le site. Un circuit en extérieur vous fait parcourir l’ancienne cité en une heure environ.
Des panneaux explicatifs racontent l’histoire des fouilles et les principaux points d’intérêt d’Anderitum. Une application connectée à des casques de réalité virtuelle vous permet également de découvrir la cité antique comme elle était à l’époque. Une expérience fun à ne pas manquer !
(N° 1449)
Accès/adresse :
Rue du Pontet
48200 Saint-Chély-d'Apcher
Latitude : (Nord) 44.80297° Longitude : (Est) 3.27302°
Tarif : 2021
Electricite : 4 € à 8 €
Eau : 2 €
Type de borne : plateforme
Services :
Electricité : 10 ampères, 24h, 1 prises
Plein d'eau : 10 mn
Autres informations :
Ouvert A l'année
5 emplacements
Durée maxi: 7 jour(s) ou plus
Moyen de payment : CarteBancaire
Tel: +33 4 66 31 03 67
La borne de service et le stationnement des ccars se trouvent maintenant Espace du Pontet, un peu plus loin que l'aire ancienne. Les coordonnées sont 44°48'11'' N et 3°16'22'' E Les places délimitées sont des emplacements de voitures mais on y stationne sans problème le camping-car
Bâtiments et lieux publics remarquables
Bâtiments religieux
Adresse :
6081 Avenue de Saint-Chély d'Apcher
48120 Saint-Alban-sur-Limagnole
France
GPS : N 44.778459, E3.380808
À côté du complexe sportif. Au fond du chemin derrière le stade de foot parking sur bitume ou herbe. Pas de réseau. Respecter l'environnement. Merci
Nombre de place(s) 5
Prix du stationnement : gratuit
Ouverture/Fermeture : Ouvert toute l'année
Effectivement allez au fond du chemin. Places de parking bitumé. Très bien et calme. Vue dégagée sur le village
Lieux et monuments
Adresse :
D7
48120 Sainte-Eulalie
France
GPS : N 44.800301, E 3.479950
Parking du parc des bisons, très calme pour la nuit, table pique-nique, jeux pour enfants, boutique, snack...
Partez à la rencontre du plus gros mammifère terrestre d’Europe en venant visiter la Lozère ! Le bison est présent à l’état sauvage dans le nord du continent, mais il a été réintroduit en Margeride. Baladez-vous au milieu de ces mastodontes qui vivent en semi-liberté dans un parc de 80 hectares. Vous visiterez une partie du parc à pied, l’autre en calèche ou en traineau l’hiver.
À noter aussi qu’un espace muséographique vous conte l’histoire du bison à travers le monde.
Lieux et monuments
Curiosité :
En dehors du village direction de Laval Atger, la chapelle Saint-Méen est ouverte à la visite. Elle est connue pour son eau guérisseuse, si l'on trempe son mouchoir dedans.
(N° 24052)
Avenue du Puy N88
43420 PRADELLES
Latitude : (Nord) 44.7754° Longitude : (Est) 3.8874°
Tarif : 2020
Electricite : 2.00 €
Type de borne : plateforme
Campingcar8 M
Electricité : 10 ampères, 24h, 70 prises
Plein d'eau : >200 l
Ouvert A l'année
70 emplacements
Durée maxi: 7 jour(s) ou plus
Moyen de payment : Especes
Tel: +33 4 71 00 85 49
Aire privée très calme sur le terrain d'une boucherie charcuterie, clôturée et fermée par un portail la nuit
pour obtenir électricité il faut aller chercher une clé au magasin de la salaison
16 km
À l'arrivée à Arlempdes, village médiéval de la Haute-Loire, à 30 kilomètres au sud du Puy-en-Velay, le visiteur est tout de suite charmé par la vue spectaculaire qui s'offre à son regard au détour d'un virage : ce petit bourg typique aux maisons en pierre, classé parmi les plus beaux villages de France, est perché sur un piton volcanique qu'entoure un méandre de la Loire.
Entouré de coulées basaltiques, ce site aux allures de carte postale et au charme intemporel est un véritable petit bijou des gorges de la Loire. Sur les hauteurs du village, au sommet de l'éperon rocheux, on découvre, après avoir emprunté un sentier, les vestiges du château édifié au Moyen Âge par les seigneurs de Montlaur, qui offrent encore aujourd'hui un très beau panorama sur le paysage sauvage alentour. En contrebas de l'ancienne forteresse, la poterne d'entrée du village du XIe siècle, l'église Saint-Pierre, un édifice roman à nef unique du XIIe siècle, doté d'un clocher à peigne à quatre arcades, et la croix en pierre sculptée du XVe siècle, comptent également parmi les attraits d'Arlempdes à ne pas manquer.
Classé parmi les plus beaux villages de France, Arlempdes prend place dans le département de la Haute-Loire, à une trentaine de kilomètres seulement de la fameuse ville du Puy-en-Velay. Ancienne cité médiévale pleine de charme, il se situe à proximité de la source de la Loire, à la limite des départements de l'Ardèche et de la Lozère, dans un magnifique écrin de verdure.
Dressé depuis le Moyen Âge sur son éperon rocheux, le village d'Arlempdes a d'abord été un site religieux et militaire à l'époque gallo-romaine. Il se développe ensuite autour de son château construit au XIIIe siècle, passant de mains en mains jusqu'au XVIe siècle.
Aujourd'hui, Arlempdes vit principalement de son activité touristique, dévoilant un patrimoine architectural et culturel d'exception. Dynamique, la cité dévoile également des évènements festifs qui attirent un grand nombre de visiteurs chaque année.
1 km
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
La chapelle Notre-Dame de Pradelles, construite en 1613, enjambe la route. C'est le seul édifice restant de l'ancien hôpital Saint-Jacques.
Il ne reste que des ruines de la chapelle Saint-Clément. Un ossuaire y est accolé. Une voûte en berceau brisé abrite deux sarcophages de pierre. La fontaine Sainte-Reine est toute proche.
La chapelle des pénitents de Pradelles date du xviie siècle.
Patrimoine civil[
7 km 400
Le centre-ville de Langogne vous laisse présumer du passé fortifié de la ville. Les vestiges de remparts qui entouraient l’église et le monastère des Bénédictins sont toujours présents. Les tours sont devenues des habitations. La ville est construite sur les rives du lac de Naussac, véritable mer intérieure de 1 050 hectares. Étendez votre serviette sur la plage ou adonnez-vous aux activités nautiques comme la planche à voile ou le kite-surf.
Et pour visiter la Lozère côté traditions, direction le musée vivant de la Filature des Calquières, la plus ancienne de France. Les animateurs vous y expliquent la transformation de la laine de mouton à l’écheveau prêt à tricoter.
Lieux et monuments
Bâtiments et lieux publics remarquables
De ce cœur de la ville partent de petites routes montantes. L'une d'entre elles, la rue Haute, fut sans doute un des chaînons d'une voie celtique menant à l'oppidum du mont Milan. Elle a conservé quelques souvenirs émouvants de son passé : fenestrons avec des vitraux à armature de plomb, dates sur des portails en pierres appareillées (1621, 1622, 1685, 1717, 1778), des enseignes rouillées, des anneaux de fer où l'on attachait les montures. C'étaient les rues des tisserands, des drapiers, des cardeurs, des fileuses. Cette activité textile a donné, pendant des siècles, une grande animation à ce quartier maintenant endormi.
Bâtiments religieux
Le Château de la Vigerie à Langogne
Musées
Le passé plus que millénaire de Langogne est depuis toujours lié à sa rivière, le Langouyrou, affluent de l'Allier : eau nourricière, eau des lavandières, eau guérisseuse, eau des tanneries, eau permettant d'actionner des martinets et moulins de la rue des Calquières. C'est depuis 1442 que l'on atteste la présence de moulins : moulins bladiers, moulins à foulons et c'est ici qu'au xixe siècle, l'ancêtre de la famille Engles est venu installer une filature. Découvrir la filature des Calquières, c'est renouer avec ses racines, avec le passé lainier si riche en Gévaudan, c'est découvrir l'histoire de l'eau, des hommes et d'un métier. La filature des Calquières, monument historique, en bordure du Langouyrou est alimentée en eau par un béal, dérivé du Langouyrou grâce à une digue 800 mètres en amont.
Histoire de Notre Dame des Neiges
Les hautes montagnes du Vivarais entre Loire et Allier abritèrent du 12ème siècle à la révolution française des monastères cisterciens : Mazan, Les Chambons, Mercoire en Gévaudan. Durant sept siècles, la vie cistercienne fut vécue dans ces maisons de prière et de charité jusqu’au jour où la révolution les détruisit et vendit les domaines.
L’un de ces derniers, le Mas de La Felgère, ancienne grange des Chambons fut racheté en 1791 par Jean Chalbos. Ses descendants décidèrent de le rendre à l’ordre cistercien et firent des offres à l’Abbaye Notre Dame d’Aiguebelle (Diocèse de Valence) qui refusa une première fois. Avec le soutien des évêques de Valence et de Viviers, l’offre fut à nouveau présentée au père Abbé qui finit par accepter de tenter l’expérience.
La fondation fut décidée le 5 août 1850, jour de la fête de Notre Dame des Neiges, qui est le titre de Sainte-Marie Majeure à Rome. Ce fut le nom heureux du futur monastère.
Le 13 août, Mgr Chartrousse, évêque de Valence signait l’acceptation officielle et le 25 un premier groupe de religieux partait à pied d’Aiguebelle emportant pour tout mobilier ce que pouvait contenir la charrette traînée par l’unique cheval. Le 28 au soir, les moines prenaient possession du domaine de La Felgère, de sa pauvre ferme et de l’auberge attenante, antique relais entre le Vivarais et le Gévaudan.
Onze années passèrent, temps nécessaire à l’établissement canonique de la Communauté et à la construction d’un monastère régulier. Le 16 juillet 1861, les religieux s’y installèrent au cours de festivités présidées par Mgr Foulquier, évêque de MENDE. Le monastère n’était encore qu’un prieuré à cause des difficultés financières entraînées par l’installation et la construction du monastère.
La situation matérielle s’améliore et le 16 juin 1874, le chapitre conventuel fut appelé à procéder à l’élection du premier Abbé : Dom Polycarpe Marthoud, prieur depuis 1858. La nouvelle abbaye comptait alors 90 membres.
En 1880, l’expulsion des moines fut décidée et fixée au début de novembre par le pouvoir républicain. Une chute de neige aussi rapide qu’imprévue l’empêcha. L’apaisement des esprits apporté par l’hiver, soulagea momentanément les religieux. Le Père Abbé, craignant un retour de la persécution, voulut assurer un refuge à sa communauté. Avec un groupe de moines, il fonda le prieuré d’Akbès en Syrie, qui exista jusqu’en 1920.
Le 16 janvier 1890, le Père Abbé eut la joie de recevoir Charles de Foucauld au nombre de ses novices. Il reçut le nom de Frère Albéric. Sa vie de trappiste dura 7 ans . Ordonné prêtre à Viviers le 9 juin 1901, il partit pour le Sahara où l’attendait une mort tragique le 1er décembre 1916.
Un incendie détruisit le monastère durant la nuit du 27 au 28 janvier 1912. Tout faillit sombrer, mais la communauté unie autour de son prieur fit front et prépara immédiatement la reconstruction. Deux ans après l’incendie, le nouveau monastère était debout et connu un nouvel essor. Mais les guerres apportèrent leurs cortèges de misères, de malheurs, de souffrances, de privations et de soucis.
En 1949, Dom Toussaint Louche fut élu Père Abbé. Il fut à l’origine du renouveau et des transformations opérées depuis. Son successeur élu en 1959, Dom Claudius Valour réalisa la construction de l’hôtellerie, la restauration des lieux réguliers et l’aménagement des caves et des locaux pour recevoir les nombreux hôtes et retraitants de l’abbaye. En 1982, il cède sa place de Père abbé à Dom Pierre Marie Fayolle.
Le 22 juillet 2003, le Père Hugues de Seréville a été élu Père Abbé.
Saint-Laurent-les-Bains, La Trappe et la Felgere
Adresse :
La Trappe et la Felgere
07590 Saint-Laurent-les-Bains
France
GPS : N 44.601200, E 3.936180
Parking gratuit et très calme de l'Abbaye de Notre Dame des Neiges - Eau gratuite, maison en pierre au fond parking. Barbecue en pierre juste derrière maison en pierre parking. Magasin du monastère, avec pleins de produit locaux ou fabriqué par les moines. Possibilité d'assister aux offices avec les moines trappistes, messe de 7:00 heures le matin. Merci aux moines Cisterciens pour leur accueil.
3 km
(N° 3300)
Abbaye Notre Dame des Neiges
07590 SAINT LAURENT LES BAINS
Latitude : (Nord) 44.6011° Longitude : (Est) 3.93607°
Tarif : Gratuit
Autres informations :
Le parking se trouve sur le terrain du monastère.
(N° 22315)
Rue de la Poste
48250 LA BASTIDE PUYLAURENT
Latitude : (Nord) 44.59125° Longitude : (Est) 3.90538°
Tarif : Non connu
Paiement par monnayeur
Type de borne : AIRESERVICES
Autres informations :
Ouvert 30/03 au 31/10
6 emplacements
mairie.labastide@wanadoo.fr
Tél. : +33 (0) 466 460 059
Lieux et monuments touristiques
Église Saint-Laurent de Puylaurent Anciennement de Saint-Laurent du Fraisse, l'église, construite au xiie siècle, dépendait du prieuré bénédictin de Prévenchères. L'entrée se fait au sud par un portail formé de trois voussures en plein cintre.
Un clocher-mur à deux baies surmonte le mur occidental. L'abside est ornée d'arcatures reposant sur des colonnettes aux chapiteaux ornés. La nef unique est voûtée en berceau et divisée en deux travées par un doubleau reposant sur des pilastres qui ont dû remplacer des colonnes.
Une chapelle voûtée d'ogives a été construite, sans doute au xvie siècle, sur la première travée sud. L'abside est voûtée en cul de four et ornée de six arcatures dont les chapiteaux des colonnes sont ornés (feuillages, figures).
Propriété de la Commune, l'église est inscrite, par arrêté du 24 juin 1976, aux Monuments Historiques24.
Le Palet de Gargantua
Improprement désigné comme dolmen, le Palet de Gargantua se trouve à quatre kilomètres au sud de La Bastide, à proximité du hameau du Thort. En bordure du chemin de Régordane, du côté ouest, au sommet du talus, il se présente comme une énorme table de grès, ayant la forme d'un polygone presque régulier, à sept côtés, reposant elle-même sur d'autres dalles de grès à plat beaucoup plus petites.
L'ensemble est posé sur un terrain très décomposé. Le substrat est formé de schistes très friables, à cinq cents mètres, à l'ouest, d'une zone granitique. La singularité de ces blocs fait penser que l'on a affaire à un dolmen. La tradition populaire le désigne sous le nom de « Palet de Gargantua » et sur le plan cadastral de la Bastide-Puylaurent, le lieu-dit s'appelle « Lou Palet ».
Il est placé au point où la Régordane franchit la ligne de faîte du Massif central, à vingt mètres environ du versant méditerranéen, sur la pente donnant vers l'Allier, versant Atlantique.
Le palet a pour dimensions 3,75 × 3,25 m selon les axes. Il a une épaisseur régulière de 0,32 m. La face supérieure de la table présente en son point central une cupule ronde de 0,10 m de diamètre, prolongée par une rigole longue de 1,10 m, large de 1 à 2 cm pour une profondeur identique, rigole aboutissant au bord de la table. Pour creuser cette rigole, l'homme a utilisé une fissure naturelle dans le blanc de grès, qu'il a agrandi et poli. À 0,40 m de la cupule centrale, en direction sud-ouest, on rencontre une seconde cupule, allongée, dont la partie centrale est étroite et plus profonde (6 cm) et qui est également polie.
Autrefois, on voyait une croix en pierre, maintenue par un socle en granit ou en grès qui occupait tout l'angle sud-ouest de la table. Le fait qu'une croix ait été posée sur cette table apparaît comme une marque de christianisation du monument. A-t-il auparavant servi de support à des cérémonies païennes ? La tradition, rapportée par les anciens, en fait une table à sacrifices.
Le toponyme « palet » est souvent lié à des monuments mégalithiques, dolmens ou menhirs, ainsi que leur attribution à Gargantua, le géant mythique définitivement attaché à la Régordane. Le fait le plus intrigant, c'est la présence de cette énorme table de grès sur un sol dont la nature géologique est absolument différente (schistes primitifs). Les grès d'où elle est tirée sont des arkoses (éléments constitutifs du granit, roulés et agglomérés par un ciment silicieux). Selon toute vraisemblance le Palet du Thort a été tiré de bancs de grès affleurant sur la « Champ » qui domine Saint-Jean de Chazorne entre les profondes vallées du Chassezac et de la Borne.
Un ancien chemin, qui correspond d'assez près à l'actuelle « route des barrages », parcourt ce plateau du sud-est au nord-ouest, s'élevant peu à peu de 910 à 1 000 m d'altitude en suivant la ligne du faîte du plateau pendant sept kilomètres. À La Molette, il rejoint la Régordane, en montant encore de 1 000 à 1 300 m pendant les trois derniers kilomètres qui le séparent du Thort. Le transport de cette dalle, sur environ dix kilomètres, était donc possible, même aux temps préhistoriques, compte tenu d'exploits de ce genre réalisés ailleurs par ces mêmes tribus de constructeurs de mégalithes.
Deux campagnes de sondages ont été réalisées en 1984 et en 1985 par le Groupe Alésien de Recherches Archéologiques. Il a pu ainsi être défini une fosse, en forme d'entonnoir conique, butant sur de gros blocs ayant pu servir à la limiter. Son remplissage a révélé quatre couches (du haut vers le bas). Sur un mètre d'épaisseur environ, les sédiments occupant la fosse étaient constitués de graviers, de cendres de débris de charbon de bois. Ils renfermaient un matériel archéologiques qui a permis une datation de ce remplissage :
des débris de tuiles plates à rebords et de tuiles demi-rondes, très fiables, de couleur rouge brique et jaune clair, identifiées comme étant des tuiles gallo-romaines ;
des fragments d'une céramique noire, indigène, modelée, ou grise, faite au tour. Un fond porte une inscription (XII) tracée à la pointe sèche (peut-être la signature d'ouvrier illettré) ;
un fragment de la panse d'un bol, à vernis rouge très adhérent, est typique : il s'agit de la céramique de La Graufesenque et prouve que le remplissage de la fosse couverte par le Palet a été effectué après le iie siècle apr. J.-C., donc qu'un creux abrité par le Palet existait à l'époque gallo-romaine. À quelle époque cette fosse fut-elle creusée ? Rien, dans les documents exhumés, n'a permis de le préciser. Aucun élément n'est venu étayer l'hypothèse que le Palet du Tort soit un dolmen. Il a donc pu être un monument à caractère cultuel. L'excavation sous le Palet a pu servir d'abri et héberger peut-être un de ces esclaves qui travaillaient pour le compte d'une exploitation métallurgique attestée à proximité. De toute façon, cette fosse a été comblée postérieurement à la période gallo-romaine.
Chasserades > La Garde Guérin > Villefort : 24 km
Adresse :
D906
48800 Prévenchères
France
GPS : N 44.478559, E 3.930887
Parking à 300 m du Village La Garde Guérin. Légèrement en pente.
La Garde-Guérin se situe sur la commune de Prévenchères. À proximité, une voie reliant Méditerranée et Auvergne était menacée par les « routiers », des pillards réunis en bande. Les Chevaliers Pariers se sont établis en communauté économique et militaire pour assurer la défense du tronçon. Aujourd’hui, on visite encore la tour, l’église, le château, le four à pain…
Les monuments
Rues et maisons
À l’intérieur du castrum, les rues sont pavées. Quelques belles maisons présentent sur la rue un mur pignon ajouré au rez-de-chaussée d’une porte simple ou jumelée et à l’étage d’une belle fenêtre croisée ou à meneaux. Des écussons datés de 1597 sont visibles sur certaines maisons.
La Tour
La tour de la Garde-Guérin, datée du xiie siècle, est en fait le donjon médiéval du castrum. De plan carré, haute de 21,50 mètres, elle a cinq niveaux et présente un appareil à bossage unique dans la région. Au pied de la tour sont visibles les vestiges du logis seigneurial ayant appartenu aux consuls nobles de la Garde-Guérin. Il n'est pas d'origine médiévale puisqu'il n'est pas répertorié au "vidimus" de 1364. On le daterait du xvie siècle mais il a été détruit par un incendie en 1722. En 1795, la tour Bernard d'Anduze s'écroule sur la maison forte Chabalier qui jouxtait le château.
L’église Saint-Michel
Cette église romane est remarquable par le soin apporté à sa construction et la richesse dans la sculpture de ses chapiteaux. Une statue de saint Michel, patron de l’église et du village, est placée à l’intérieur. Elle est en bois doré et date du xve siècle.
La croix du chemin de fer
Une croix en fer forgé érigée sur la place de l'église a été offerte en 1865 par l'entreprise de chemin de fer lors de la construction de la ligne Paris-Marseille par Clermont-Ferrand en compensation du tarissement d'une source causé par le creusement du tunnel d'Albespeyres long de 1,8 kilomètre.
Culture locale et patrimoine
Le barrage et retenue de Bayard sur l'Altier : d'une superficie de 127 hectares et d'une capacité de 37 millions de m3, il alimente l'usine hydroélectrique de Pied-de-Borne.
Le village du Pouget, à 3 km en direction du Mas de la Barque.
Maison gothique.