(N° 32425)
La FERME ERREKA
2105 Itsasuko errebidea
64250 ESPELETTE
Latitude : (Nord) 43.3251° Longitude : (Ouest) -1.44277°
Tarif : 2021
Electricite : 1.00 €
Emplacement : 10.00 €
Type de borne : artisanale
Services :
Restaurant
Electricité : 10 ampères, 24h, 2 prises
Autres informations :
Ouvert A l'année
5 emplacements
Moyen de payment : CarteBancaire
Tel: +33 5 59 93 80 29
plats à emporter
produits fermiers
Itsasuko Erribidea > Mirador de Souraïde > Espelette > Ustaritz >
villa Arnaga > Le pas de Roland > Itsasuko Erribidea : 38 km
25, place du marché
C'est la vitrine de l'AOP piment d'Espelette : dans le cadre de son activité de promotion de l'AOP, le syndicat des producteurs de piment d'Espelette a créé un centre d'interprétation dédié à la valorisation du piment.
Cet espace a pour objectif de valoriser le travail des hommes et des femmes, le terroir, les caractéristiques organoleptiques.
Ce lieu présente notre épice en produit d'exception.
Vous trouverez le piment d'Espelette sous ses 3 formes (en poudre, en corde, en frais).
55, place du Jeu-de-Paume
Lurretik (« terroir » en basque) est une boutique qui possède une belle authenticité quand on y entre.
Poutres animées de piments d’Espelette, mobilier ancien pour présenter les produits de ces producteurs qui ont eu envie de mettre en avant le piment dans tous ses états, cordes, purée, poudre, confitures vous invitent à découvrir tous les produits.
Vous y trouverez des produits du terroir, charcuterie, sardines, confit de canard, chocolats, confitures et biscuits...
Les usages anciens sont perpétués avec la mise en corde et le séchage traditionnel en façade.
Elle est considérée comme l’une des plus belles du Pays Basque.
Sa situation auprès du petit pont roman et le ravissant cimetière arboré (voyez les stèles discoïdales) qui se serre autour d’elle en fait déjà un bijou.
Son clocher donjon Renaissance est particulièrement remarquable.
Dans l’église, ne manquez pas d’observer comment s’appuie la nef (gros contreforts), la chaire à panneaux, le retable baroque doré à colonnes torses et alcôves (XVIIe) et enfin les trois étages de galeries.
Elle recèle un riche mobilier, dont plusieurs éléments classés monuments historiques au titre objet :
contient un tombeau style Art déco réalisé pour Agnès Souret, la première Miss France (1920), habitante d'Espelette et née à Biarritz en 1902 ; ce tombeau a été inscrit MH par arrêté du 18 septembre 2006
monument emblématique de la commune, fut bâti vers l'an mil par les barons du même nom et légué aux habitants d'Espelette en 1694 par la baronne Juliana Henriquez.
En 1997, des investigations archéologiques révélèrent les vestiges d'une forteresse de la fin du Moyen Age. Inscrit aux Monuments historiques,
il abrite aujourd'hui 3 expositions permanentes :
Séchage des piments.
Espelette a reçu le titre de Village coquet de France en 1922 et celui de Prestige de la France en 1955.
Espelette est célèbre pour ses cultures de piment, dont la variété locale a hérité du nom de la commune : piment d'Espelette. Ainsi, dans de nombreux cafés et restaurants de la ville, des grappes de piments sont mises à sécher au plafond, occupant parfois tout l'espace disponible. À partir du mois de septembre, le village devient pittoresque avec des guirlandes de piments sur les façades et balcons des maisons.
Le village est aussi réputé par l'élevage des pottoka. Une foire pour ce petit cheval est organisée les derniers mardis et mercredis de janvier.
Lieux et monuments
Ustartiz compte quatre monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques et deux lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel. Par ailleurs, elle compte 18 objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques
ancien siège de la mairie - autrefois connu sous le nom de Gaztelua, est l'ancienne demeure des vicomtes du Labourd et des ducs d'Aquitaine.
Son aspect féodal — le château possédait à chaque angle une tour en poivrière — a disparu au xixe siècle.
Une inscription, gravée dans une plaque en pierre, rappelle aujourd’hui le passé historique de la bâtisse :
« Hemen Lapburtarrek beren Biltzarrak egiten zituzten »
(« Ici, les Labourdins tenaient leurs assemblées »).
(xviie siècle), surplombant une colline, est la demeure d’une des plus anciennes familles de nobles du Labourd.
Maison noble citée en 1193 (Hatze), le château fut reconstruit sur l'emplacement d'une maison forte du Moyen Âge, et est classé au patrimoine national.
Les Haitze sont connus depuis 1168, Bonnet de Haitze est cité par les gentilshommes labourdins en 1193.
Parmi les plus illustres membres de la famille Haitze se trouvent Sanz d’Haitze, évêque de Bayonne au xiiie siècle, et André de Haitze, maire d’Ustaritz durant seize années entre 1795 et 1832.
Pierre de Haitze, fils de Bernard et de Placide, seigneur d’Haitze et de Berriots, meurt sans descendance en 1798.
Son frère André de Haitze, ancien gouverneur de Socoa, devient seigneur d’Haitze et Berriots. Mort sans postérité en 1838, il légua ses biens à son neveu André de Laborde Noguez dont les descendants s’attachent aussi à valoriser ce lieu
du xviie siècle, se dresse au quartier Hérauritz.
Le 19 juillet 1838, Joachim Turmann, propriétaire du château, fait donation du sol et du mur de la chapelle ancienne de Sainte-Catherine aux habitants du quartier d’Hérauritz, par acte passé devant maître Pascal Dassance, notaire à Ustaritz, charge pour les habitants de reconstruire cet immeuble dans un délai d’un an.
Le 30 septembre 1786, le chanteur Pierre-Jean Garat, encore peu connu, s’y produit.
xixe siècle.
propriété communale, occupe une place centrale dans le village, entre Bourg Suzon et quartier Hiribehere, à proximité de l’église Saint-Vincent, construite en 1864.
Les commanditaires en étaient Bernard dit Baptiste Duhart et son épouse Dominique-Rosalie Ainciondo.
Ils firent construire en 1873 cette demeure, de style néo-Renaissance, dans leur village natal d’Ustaritz après avoir fait fortune au Chili et lui donnèrent le nom d'un port houiller chilien, centre de leur activité commerciale.
Les façades extérieures à la modénature raffinée sont insolites, le faisant ressembler à un château de la Loire en miniature, la qualité de la décoration intérieure et extérieure est rare et détonne dans le paysage local.
dans le quartier Hérauritz, fut quant à lui, construit par Sauveur Halty, à son retour du Mexique en 1874.
Sa silhouette néo-Renaissance domine le quartier de la Guadeloupe à l’extrémité d’un parc qui longe la côte séparant Hiribehere de Hérauritz.
Côté Hérauritz, la grille d’entrée majestueuse laisse la place à une allée bordée de chênes centenaires (espace boisé classé).
Il fut la demeure du Dr Souberbielle, maire d’Ustaritz de 1910 à 1939.
Il a connu brièvement une activité d’hôtel-restaurant dans les années 2000.
dans le quartier Hérauritz, fut quant à lui, construit par Sauveur Halty, à son retour du Mexique en 1874.
Sa silhouette néo-Renaissance domine le quartier de la Guadeloupe à l’extrémité d’un parc qui longe la côte séparant Hiribehere de Hérauritz.
Côté Hérauritz, la grille d’entrée majestueuse laisse la place à une allée bordée de chênes centenaires (espace boisé classé).
Il fut la demeure du Dr Souberbielle, maire d’Ustaritz de 1910 à 1939.
Il a connu brièvement une activité d’hôtel-restaurant dans les années 2000.
dans le quartier Elizahegi, est un manoir de style écossais construit en 1860 par Jean Olhagaray, un entrepreneur originaire de Villefranque parti exploiter la mine d’argent de Sinaloa au Mexique.
On peut d’ailleurs toujours voir sur la façade du château l’écusson portant l’équipement avec lequel il a construit sa richesse : un pic, une masse, une pelle et un panier d’osier.
L’écrivain Philippe Jullian en fait une description dans son ouvrage Château-Bonheur en 1960.
œuvre du sculpteur Christiane Giraud, constitué de neuf pierres dressées en cercle et d'une dalle gravée qui indiquent avec précision les positions du soleil au lever et au coucher, lors des solstices et équinoxes.
La neuvième pierre indique la direction du lever du soleil le jour de la Saint-Martin.
Kapito Harri désigne le lieu où se tenaient les assemblées plénières des habitants d’Ustaritz sous l’Ancien Régime.
(Harrisko Kurutzea), dans la forêt qui longe la D 250, porte la date de 1713. D’une hauteur de 2,5 mètres, elle fut sans doute dressée, en cet endroit à l'écart du village, en mémoire des soldats anglais faits prisonniers durant la guerre de succession d'Espagne, puisque les non-catholiques ne pouvaient être ensevelis dans le cimetière du village.
datant du xixe siècle
la construction débuta en 1859, sous la direction de l’architecte Charles Besoin — et édifice protégé du patrimoine national, se caractérise par une structure en fonte utilisée pour les galeries en bois.
Ce fut un des premiers bâtiments construits avec ce matériau, d'avant-garde pour son époque.
Elle est construite sur un plan en croix latine, avec une nef flanquée de deux bas-côtés, qui s’achève par un chevet pentagonal encadré de deux sacristies.
Elle possède un clocher porche carré surmonté d’une flèche. Les peintures du chœur sont l’œuvre d’André Trébuchet et datent de 1946.
au lieu-dit Arrauntz, date du xviie siècle,
son clocher ayant été ajouté à la fin du xixe siècle et modifié au xxe siècle.
Comme dans beaucoup d’églises du Labourd, deux étages de galeries en bois ont permis d’augmenter la capacité d’accueil de l’édifice religieux.
L’écrivain et auteur dramatique Jean-Joseph Ader repose dans son cimetière.
contient de nombreuses stèles discoïdales, datant pour certaines d'entre elles des xiie et xiiie siècles.
Elles furent regroupées et mises en valeur près de l'emplacement de l'ancienne église, à l'initiative de l'association Lauburu, à la fin des années 1970.
Le cimetière recèle également une croix inventoriée par le ministère de la Culture.
une voie du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui traverse les Pyrénées le plus à l'ouest et par le col le plus bas (col de Belate, 847 m).
C'est la voie antique qu'empruntaient les pèlerins descendus à Bayonne, soit le long de la côte sur la voie de Soulac, soit parce qu'ils y débarquaient, pour rejoindre le Camino francés le plus rapidement possible.
Autrefois utilisées par les bateaux de marchandises pour remonter le cours de la Nive, les berges sont aujourd'hui essentiellement utilisées par les riverains et les pêcheurs.
Un agréable « ruban » goudronné qui s'étend d'Ustaritz à Bayonne sur 11 km vous attend pour une balade à vélo, en trottinette, à pied et pour les plus sportifs en mode « jogging ».
Accessible à tous, ce parcours sans difficulté offre des paysages remarquables et aussi la traversée d'une ferme avec ses animaux, d'un centre équestre, etc.
N'oubliez pas de faire une halte à la guinguette Pasarela
Une plongée au cœur de l’histoire des Rostand à Arnaga durant la Belle-Epoque.
L’ambiance de la vie à Arnaga est récréée : l’intimité des Rostand, leur vie quotidienne, l’enfance de Maurice et de Jean, les relations avec les personnalités proches de la famille…
Des archives exceptionnelles, des objets inédits, des correspondances, des photographies offrent un voyage dans cette période insouciante et effervescente.
Un parcours de visite comme une rencontre avec une famille d’écrivains.
Adultes : 8€50
Prendre son temps. Prendre un grand bol d’air frais. S’évader pour quelques heures le long d’une boucle de la Nive, cette rivière sauvage qui prend sa source au sud d'Estérençuby et rejoint l’Adour à Bayonne.
Ici, le Pays Basque s’offre dans sa plénitude et son authenticité.
le charmant petit village d’Itxassou, célèbre pour ses cerises noires, constitue le point de départ de cette promenade incontournable de 3km environ.
Très appréciée des marcheurs et des amoureux de la randonnée, cet itinéraire est facile et accessible à tous de par son faible dénivelé, un peu moins de 70 mètres. Bordant la Nive, la route goudronnée permet aux personnes à mobilité réduite et aux tout-petits en poussette de profiter pleinement de la beauté des paysages de la gorge enclavée dans la vallée.
Le long d’un muret en pierre, la gorge se dévoile dans toute sa splendeur avec ses eaux vives et transparentes, entourée de collines boisées qui culminent à plus de 300 m de hauteur.
Ici, la magie est partout… dans les reflets turquoise de la rivière, aux détours du chemin dominé d’arbres centenaires et de la nature luxuriante.
Après 2km de marche, on atteins le fameux Pas de Roland qui marque les derniers mètres de cette promenade enchanteresse : un rocher immense creusé d’un passage étroit qui traverse un trou taillé dans la pierre.
LES LÉGENDES DE CET ENDROIT MYTHIQUE, SUR LES TRACES DU CÉLÈBRE HÉROS MÉDIÉVAL
Selon la légende, Roland, le neveu de Charlemagne, passa par ce site en août 778 en se dirigeant à cheval vers le col qui lui permettra de repousser les Sarrasins (en réalité la milice Vasconne basque) en Espagne avec l’aide de son armée.
Toutefois, un gros rocher infranchissable lui barra le passage. Une première légende raconte que cette cavité fût creusée par un coup de sabot du cheval de Roland.
Une seconde relate que ne pouvant poursuivre son chemin, Roland brandit son épée (du nom de Durandal ) et tailla un passage lui-même pour franchir cet obstacle avec ses soldats. Mythe légendaire ou affaissement naturel agrandi par l’homme pour y faire passer un sentier muletier ?
Le mystère demeure. Malheureusement, la légende conte aussi que le brave Roland trouva la mort peu de temps après cet épisode, le 12 août 778 au col dit « Col de Roncevaux » aux pieds de l’Espagne, au cours d'un affrontement contre les Sarrasins.