Mercredi 25 - Jeudi 26 Septembre

Journée souvenir 14-18

Douaumont

Le village détruit

Douaumont est une ancienne commune française et une commune déléguée de Douaumont-Vaux située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. Le village fut détruit en 1916 pendant la bataille de Verdun et ne fut pas reconstruit

Tranchée des Baïonnettes

La tranchée des baïonnettes est un monument commémoratif de la bataille de Verdun en 1916. Le site est classé monument historique en 1922 et reconnu en tant que haut-lieu de la mémoire nationale en mars 2014. Il est situé sur le ban communal de Douaumont-Vaux.

Ossuaire et Nécropole Nationale

En face de l'ossuaire, la nécropole nationale de Douaumont rassemble 16 142 tombes de soldats français, majoritairement catholiques, dont un carré de 592 stèles de soldats musulmans. Le cimetière militaire contient également deux mémoriaux respectivement consacrés aux soldats de confessions juive et musulmane

Fort de Douaumont

Le fort de Douaumont est le plus puissant ouvrage de la place forte de Verdun. Enlevé par surprise 4 jours après le début de la bataille de Verdun, il sera occupé pendant 8 mois par l’armée allemande, qui en fera un abri pour ses troupes et un point d’appui essentiel pour poursuivre son offensive. Malgré plusieurs tentatives de reconquête, ce n’est que le 24 octobre 1916 que le fort sera repris.

Films et photographies d’époque, documents d’archives, commentaires et témoignages permettent aux visiteurs munis du guide multimédia, de mieux comprendre l’histoire de ce haut lieu.

A découvrir : une chambrée, la tourelle 155, la nécropole allemande où reposent plus de 600 soldats allemands…

Verdun

(N° 7613)

 

50 rue du Fort de Vaux

55100 VERDUN

 

Latitude : (Nord) 49.16028°

Longitude : (Est) 5.39917°

Tarif : Gratuit

Autres informations : 

Parking privé des Dragées Braquier

Bien pour passer une nuit tranquille avec possibilité d'achat au magasin d'usine


Citadelle souterraine

Construite en 1624, Vauban choisit de la renforcer et de la relier au système défensif qu’il vient de créer tout autour

de la ville de Verdun. Sous les ordres de l'ingénieur militaire Séré de Rivières, directeur du service du génie au Ministère de la Guerre, 19 forts sont construits autour de Verdun. En complément, de 1886 à 1893, on creuse sous la citadelle 4 km de galeries pouvant accueillir hommes et matériels en cas de conflit.

C’est en 1916, durant la Bataille de Verdun, qu’elle va jouer un rôle prépondérant : elle devient pour le commandement une base logistique d’une importance vitale pour le déroulement de la bataille.

Près de 10 000 hommes vivent en permanence dans ses entrailles travaillent à tous les services d’une armée en campagne : central téléphonique, entrepôt de nourritures et de munitions, cuisines, hôpital, boulangerie avec une production de 28 000 rations par jour et même un théâtre.

La citadelle va être le théâtre de deux événements émouvants :

le 13 septembre 1916, Verdun reçoit la Légion d'Honneur, la Croix de Guerre et six autres décorations des puissances

alliées et devient la ville la plus décorée de France.

Le 10 novembre 1920, deux ans après la signature de l'Armistice à Rethondes, sous la direction d’André Maginot, ministre des anciens combattants et grand blessé, le soldat Auguste Thin du 132e R.I. doit effectuer un choix crucial. Devant lui, huit cercueils ornés du drapeau tricolore contenant chacun le corps d’un soldat français inconnu trouvé sur l’un des huit grands champs de bataille de la guerre.

Avec un simple bouquet, il doit désigner celui qui sera inhumé sous l’Arc de Triomphe à Paris en mémoire de tous ses

frères tombés au combat. Lentement, Auguste Thin fait le tour des cercueils. La tâche est lourde. Puis, humblement, après avoir additionné les chiffres de son régiment, il dépose son bouquet sur le sixième. Le Soldat Inconnu est né.

Aujourd'hui, vous pouvez visiter une partie de ses galeries souterraines en "wagonnet". Tout au long d’un parcours reconstitution, des scènes réalistes vous feront découvrir la vie quotidienne des soldats dans ces galeries pendant la Bataille de Verdun. En fin de visite, vous assisterez à la reconstitution de la cérémonie du choix du soldat inconnu.

Retrouvez l'histoire du choix du Soldat Inconnu

Température intérieure : 7°

Il est préférable de réserver à l'avance votre visite par mail

citadelle@tourisme-verdun.com, téléphone au 03 29 84 84 42 ou en ligne.

La dragée Braquier de Verdun

 Sur la table des mariés, au baptême ou encore pour la communion, il y a une friandise que l’on retrouve à chacun de ces événements : la dragée ! Comment cette petite confiserie a réussi à devenir le symbole de la célébration ? Pour tout savoir, il suffit de se rendre à Verdun, le berceau de la dragée.

La dragée est la confiserie la plus ancienne de France. Elle a été créée en 1220 par un apothicaire de la cité de Verdun qui cherchait un moyen de faciliter la conservation et le transport des amandes qu’il utilisait.

Au départ, recherchée pour ses vertus curatives et digestives, elle était surtout réputée pour favoriser la fertilité, d’où sa présence sur les tables françaises à chaque événement familial : mariages, baptêmes, communions... A partir du 16ème siècle, on l’offre dans les cours princières.

Des amateurs prestigieux ont marqué la légende de la dragée : Napoléon 1er, le Président Carnot, sa Majesté Edouard VII Roi d'Angleterre, Son Altesse Royale le Prince de Galles, leurs Majestés le Roi et la Reine des Belges, le Président Charles de Gaulle.

Fondée en 1783, la société Braquier transmet la recette originale des dragées de génération en génération. Clé de la qualité de leurs dragées : la sélection rigoureuse des amandes, provenant d’Italie et d’Espagne. En plus des amandes, le coeur de la dragée peut renfermer des noisettes, de la nougatine, du chocolat, de la liqueur ou encore de la pâte d’amande.

Les statues

Au pied des remparts de la Citadelle, on découvre, seize statues monumentales en pierre. Elles se situent au carrefour des maréchaux, devant la Porte neuve. Pesant près de trois tonnes chacune, ces sculptures gigantesques représentent les grands maréchaux et généraux français de plusieurs époques : le Second Empire, la Guerre de 1870, la Troisième République et la Première Guerre mondiale.

L'allure sévère et la pose hiératique de ces hommes de l'Armée française ne fait que confirmer l'envergure de leur destin, entre honneur et combat.

Balade dans la ville

Cathédrale Notre - Dame

Premier établissement religieux dédié à la Vierge Marie, la cathédrale de Verdun est une des plus anciennes d'Europe.

Marquée par la guerre et les troubles dus à la situation géographique de l'Evêché de Verdun, la cathédrale de Verdun est le symbole d'une cité qui ne cesse de se relever de ses ruines. De ce fait, elle rassemble tous les styles architecturaux, du style roman rhénan au baroque :piliers du Xème s., crypte du XIIeme s., chapelles du XIVe - XVIe s.,

cloitre du XVIe s., décor baroque du XVIIIe s. Un incendie frappe la toiture de la cathédrale le 2 avril 1755, nécessitant une restauration de l'édifice. L'évêque de Nicolai et le chanoine Chaligny de Plaine, féru d'histoire de l'art, font pénétrer le style baroque dans la décoration intérieure de la cathédrale. Le baldaquin à la croisée du transept et du chœur Est fut installé à cette occasion.

La cathédrale porte dans ses pierres les traces des bombardements de la Première Guerre mondiale. Ne manquez pas la

visite de la crypte, véritable bijou roman et hommage aux soldats de 1916 (piliers ouest de la crypte).

Usine des Dragées Braquier

L'usine de Dragées Braquier fabrique la spécialité de Verdun depuis 1783. La Dragée est née à Verdun en 1220.

Située dans l'usine du Coulmier depuis 1871, la Maison Braquier perpétue la fabrication artisanale de la Dragée mais

propose aussi d'autres confiseries uniques telles que la Dragée Géante (qui change de couleur), l'Obus Braquier, les enrobés en chocolats, autres fruits secs, et bonbons cuits au sirop.

Stationnement nocturne permis aux camping-caristes et reconnu par France passion.

Visites audioguidées (français, anglais, allemand) pour individuels : du lundi au dimanche de 9h à 11h et de 14h à 18h.

Visites guidées pour les groupes (+ 20 personnes) :

- du lundi au jeudi : 9h30, 10h30 et 14h30

- le vendredi : 14h30, visite virtuelle

- le week-end et jours fériés : 10h et

15h, visite virtuelle.

Réservation visites groupes :

ets.braquier@wanadoo.fr

Chattancourt

Située sur le champ de bataille de Verdun, la Tranchée de Chattancourt est un lieu unique en son genre. 100 m de tranchée et d’abris ont été totalement reconstitués, chaque partie de la tranchée, abri ou gourbi, a été réalisée avec précision grâce aux manuels d’instruction, aux photos d’époque et aux témoignages des soldats.

Ainsi tout au long du parcours, le visiteur pourra se projeter dans la peau du Poilu grâce aux nombreuses explications et aux objets exposés. Un cheminement intéressant, aussi bien pour les adultes que pour les enfants qui vous permettra de comprendre la guerre des tranchées.

Verdun


Vendredi 27 - Samedi 28 Septembre

Reims


(N° 28600)

 

4 rue de Tinqueux - Terrain de Séjour du Bois d'Amour

51100 REIMS

 

Latitude : (Nord) 49.24921°

Longitude : (Est) 4.01203°

 

Tarif : 2019

Forfait C-C, 2 personnes, services, électricité : 12 €

Type de borne : EURO-RELAIS

Services : 


Douche

Sanitaires chauffés

Poubelles sélectives

Arrêt de bus à proximité et à 5 minutes du tram, arrêt Comédie

Prévenir du lundi au vendredi de 8h à 17h pour obtenir le code de la barrière

Autres informations : Emplacements gravillonnés

Tél : +33 3 36 04 05 85


Balade dans la ville

L'Opéra

La cathédrale Notre-Dame de Reims

est l’une des réalisations majeures de l’art gothique en Europe. Inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, cette cathédrale du XIIIe siècle présente des traits qui la rendent unique, notamment par son unité de style, sa luminosité et sa statuaire. En effet, Notre-Dame surpasse les autres églises par la richesse de cette dernière.

La Cathédrale du sacre des rois de France est un chef-d'oeuvre de l'art gothique édifié à partir de 1211. Fortement endommagée pendant la première guerre mondiale, la Cathédrale comporte également une prouesse architecturale du XXe siècle : une charpente en béton armé élaborée par l'achitectre Henri Deneux, ainsi qu'un riche ensemble de vitraux contemporains dessinés par Marc Chagall (1974), Imi Knoebel (2011 et 2015)...

Son histoire et son architecture remarquables lui ont valu d'être inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en 1991.

Un peu d'Histoire...

Reims, Cité des Sacres

Au total, 33 souverains furent sacrés à Reims. La cérémonie, longue de 5 heures, se poursuivait par le banquet du sacre au Palais du Tau et par un pélerinage auprès du corps de l'évèque Remi. A la fin du Ve siècle, Remi, évêque de Reims, baptise Clovis, roi des Francs scellant ainsi l'alliance entre l'Église et la monarchie franque.

En 816, Louis le Pieu choisit de revenir sur les pas de Clovis et décide de se faire sacrer à Reims.

Parmi les autres sacres marquants, ceux de Charles VII conduit par Jeanne d'Arc en 1429

(célébré chaque année par la ville à l'occasion des Fêtes Johanniques) et de Charles X, dernier roi sacré en 1825.

La reconstruction

Durant la première guerre mondiale, Reims, située sur la ligne de front, subit les bombardements allemands. Le 19 septembre 1914, la cathédrale brûle. Vingt années sont nécessaires à Henri Deneux , architecte des monuments historiques, et son équipe pour remettre en état l'édifice. En 1938, l'inauguration a lieu en présence de personnalités du monde entier.

La réconciliation Franco-Allemande

En 1962, une nouvelle page de l'Histoire s'écrit avec le général de Gaulle et le chancelier Adenauer qui entérinent la réconciliation de leurs pays devant la cathérale.

Le palais du Tau

Découvrez l'histoire de l'ancien palais de l'archevêque de Reims et le lieu de séjour des rois de France.

La résidence des archevêques de Reims jouxte la cathédrale depuis le XIIe siècle, mais il n'a revêtu l'aspect classique qu'il a actuellement qu'après les transformations opérées à la fin du XVIIe siècle par Jules Hardouin-Mansart et Robert de Cotte.

Le Palais du Tau abrite aujourd'hui le Musée de l’œuvre de Notre-Dame. Le trésor de la cathédrale et une partie de la statuaire d'origine de l'église y sont exposés.

Les pièces les plus remarquables du trésor royal sont le talisman de Charlemagne (IXe siècle) et le calice de saint Remi (XIIe siècle). Le reliquaire de la sainte ampoule renfermerait l'huile d'origine céleste dont était oint le nouveau roi lors de la cérémonie de son sacre.

Eglise Saint Jacques

Place Royale

La Place Royale, avec son architecture typique du XVIIIe siècle, fut construite en l'honneur de Louis XV.

La Place Royale, commencée en 1757, fut construite en l'honneur de Louis XV. Elle est typique de l'architecture du XVIIIe siècle : arcades et toits à balustres aux lignes horizontales. Le fronton de l'ancien Hôtel des Fermes - l'actuelle sous-préfecture - fait référence aux activités commerciales de Reims.

Fontaine Subé

La Fontaine Subé, un monument emblématique de Reims.

Installée au coeur de la place d'Erlon, cette fontaine monumentale, oeuvre de l'architecte André Narjoux, a été inaugurée en 1906.

Aux quatre coins de son piédestal, quatre statues symbolisent les rivières qui arrosent la région : la Marne, la Vesle, la Suippe et l'Aisne.

La victoire ailée de bronze, prise par les soldats allemands en 1941, a été remplacée à l'identique en 1989 grâce à une action de mécénat.

Immeuble Kodak

permis de construire délivré le 27 octobre 1930 qui autorise la construction d’un immeuble à destination d’habitation et de commerce. Réalisé pour son propre compte par l’entrepreneur, architecte Lucien Gillet. L’entrepreneur a demandé l’autorisation de construire un cinquième étage. Il en compte sept actuellement. L’un des immeubles les plus élevés du centre ville pour la période de la reconstruction en 1930. Tous les matériaux dont utilisés, la pierre, la brique, le béton. Les styles les plus divers se côtoyant; le style haussmannien, Art Déco et régionaliste sont les plus courants. La ferronnerie occupe une place importante dans le décor de l’architecture.Les dômes d’angle seront préconisés par la ville pour marquer les croisements des rues. Ils seront parfois remplacés par des belvédères.Tout le rez-de-chaussée est sur poteaux en ciment armé et brique.Les balcons sont en ciment armé et pierre avec garde-corps en fonte.Des oriels sur cinq étages en béton.Les deux derniers étages sont en retraits derrière les terrasses, ils semblent être des ajouts postérieurs. Au 4e étage sur une assise de cinq larges bandes horizontales de brique, les murs de béton sont percés de fenêtres simples. L’angle à pan coupé est coiffé d’un belvédère.Un attique à balcon à colonnettes en béton termine la construction.

La basilique et l'ancienne abbaye Saint-Remi

Après la cathédrale, qu'elle égale presque en taille, la basilique Saint-Remi est l'église la plus célèbre de Reims.

La basilique Saint-Rémi Cette basilique romano-gothique est l'une des plus remarquables réalisations de l'art roman dans le Nord de la France. Longue de 126 m, elle impressionne par sa profondeur et le sentiment d'intimité qu'elle procure.

Elle a été construite au XIe siècle pour abriter la sainte ampoule ainsi que les reliques de Saint-Remi, l'évêque qui baptisa Clovis en 498. Son tombeau (1847) occupe le centre du chœur.

La sobre nef romane et le chœur gothique (fin du XIIe siècle) à quatre étages constituent un ensemble impressionnant de légèreté et d'harmonie. La façade fut construite en même temps que le chœur.

Visite libre. Consultez les heures d'ouverture sur le site de l'Office du tourisme.

Le bouligrin

Édifiées en 1927 par l'architecte Émile Maigrot et l'ingénieur Eugène Freyssinet, les Halles du Boulingrin sont nées suite à un concours d'architecture lancé en 1922 pour la construction d'un marché de gros et de détail, puis furent désaffectées en 1988. La voûte de béton faiblement armé qui surplombe les étals à 19,85 mètres de hauteur est épaisse de 7 cm seulement. Classées monument historique, elles ont été réhabilitées et remises en service en 2012.

Cardo Maximus

Le cardo maximus est la voie d'axe nord-sud la plus importante d'une ville romaine (des termes latins cardo pour « pivot » ou « gond de porte », employé en termes d'orientation géographique pour désigner l’axe nord-sud autour duquel semble pivoter la voûte céleste1 et maximus pour « le plus grand » : superlatif de magnus). Dans la centuriation romaine, le cardo maximus était l'axe nord-sud qui structurait la cité dès sa création. Ensuite, le cardo était une des voies principales au cœur de la vie économique et sociale de la ville. À la croisée du cardo et du decumanus (axe est-ouest) d'une cité, on trouvait généralement le forum.

Hommage aux Résistants

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, les mouvements de Résistance ont demandé qu'un monument soit érigé derrière la sous-préfecture, place Anatole France, rebaptisée dès 1945 place des Martyrs de la Résistance, où des fleurs étaient déposées à l'occasion de chaque manifestation patriotique.

   En 1945, le conseil municipal issu des élections provisoires et le maire, Michel SICRE, ancien président du Comité départemental de libération nationale constitué à la Libération, ont décidé de faire ériger sur la place des Martyrs de la Résistance, un " Monument à la gloire des patriotes résistants morts pour la France au cours des années 1940-1945 ".

Le cellier

Le cellier d'expédition Mumm, dit Le Cellier, est un ancien lieu d'élaboration du champagne, actuellement lieu culturel de Reims.

Il a été construit en 1898 sous la direction de l'architecte rémois Ernest Kalas pour la société de champagne Jules Mumm. De nombreux artistes ont été conviés pour la décoration : des mosaïques réalisées par Auguste Guilbert-Martin, sur des dessins de Joseph Blanc et d'Octave Guillonnet. Les cariatides ont été réalisées par Joseph Wary sur des dessins d'Émile Peynot ; elles représentent quatre vertus du vin : Virtus, Ingenium, Amor et gaudium.

L'Hôtel de Ville

Bâti en partie entre 1627 et 1636 et achevé au XIXe siècle, l'hôtel de ville présente des éléments décoratifs de style Renaissance : ordres antiques, niches.

Les colonnes torses et le fronton à volutes reflètent l'esprit baroque de l'époque. Les toits pentus et les hautes cheminées sont typiques du XVIIe siècle. Campanile inspiré des beffrois du Nord.

Statue équestre de Louis XIII sur le pavillon central. Blason de Reims sur le balcon.

Hôtel Le Vergeur


Dimanche 29 Septembre

Soissons


(N° 18289)

 

Avenue du Mail - Camping Municipal **

02200 SOISSONS

Latitude : (Nord) 49.39289°  Longitude : (Est) 3.32696° 

Tarif : 2017

C-C, 2 personnes : 10,00 à 16,00 €

Emplacement : 3,05 €

Électricité : 3 à 4 €

Taxe de séjour + 18 ans : 0,20 €

Type de borne : Autre

Services :

Accès handicapés - Dépôt de pain

Alimentation de dépannage

Lave-linge - Sèche-linge

Piscine

Autres informations :

Ouvert du 01/04 au 30/10

8 emplacements réservés aux C-C

Tel : +33(0)323 745 269

officedetourisme@ville-soissons.fr

http://www.tourisme-soissons.fr/


Le vase et l'église brisés

Impossible de parler de Soissons sans parler d'histoire. La ville est fondée par les Romains, mais à partir de l'effondrement de l'Empire romain (5e siècle), Soissons devient pour deux siècles la capitale des Francs (peuple envahisseur qui a donné à la France son nom) et plus particulièrement des rois mérovingiens (première lignée de nos rois). Soissons est célèbre pour son vase brisé, mais vous découvrirez que son attraction principale est son église "brisée".

CATHÉDRALE. Sans son clocher nord

Comme souvent, cette cathédrale a été construite sur une ancienne cathédrale. Sa construction débute au 12e siècle et durera trois siècles, mais ne sera jamais achevée (clocher nord). Lors des bombardements allemands de la Grande Guerre, elle a été bien détruite, mais reconstruite... Enfin sans finir le clocher nord!

Palais de l'Intendance -Palais du "préfet" du Roi

Aujourd'hui hôtel de ville de Soissons, ce palais était l'hôtel particulier (édifié en 1775) de l'intendant du roi (Louis Le Pelletier de Montefontaine). Sous l'ancien régime, la France est découpée en territoires appelés généralités, administrées par des intendants. À la révolution, on garde plus ou moins cette organisation: les généralités deviennent des départements, et les intendants des préfets. Quand on vous dit que rien ne change!

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