D' Alès à Sisteron

Lundi 21

84 - Carpentras

J’ai choisi comme première halte un France Passion à 5 km du centre ville de Carpentras

Domaine les Dominicains

GPS 44.08547 – 5.09034

 

Vue super sympa sur le Ventoux – Un accueil digne d’un camping cariste de plus s’en est un et de plus motard…Vous imaginez …Et un choix de confitures…je ne vous en dit pas plus !

Table - Banc - Transat délimite les emplacements .

D.4  – D.177.

Carpentras est située au coeur du Vaucluse, au pied du Mont Ventoux. Terre papale de 1229 à 1791, elle offre au regard du visiteur ses façades ocres pimpantes, ses ruelles fraîches, ses fontaines... C'est un lieu de villégiature privilégié pour qui veut savourer l'art de vivre comtadin !

Au coeur de la riche plaine agricole, Carpentras offre un terroir de qualité attesté par un marché hebdomadaire qui remonte à l'origine de la ville. La région toute entière est dévouée à la gastronomie et aux primeurs.

Les maraîchers cultivent la fraise, le melon... Le vignoble produit les vins AOC Côtes du Ventoux, et la truffe est mise à l'honneur lors du célèbre marché de la truffe de Carpentras qui a lieu tous les vendredis de fin novembre à début mars. Ne quittez pas la ville sans avoir goûté les spécialités sucrées: le berlingot et le fruit confit, préparés dans la pure tradition artisanale.

Carpentras, ville d'art et d'histoire

La ville doit l'essentiel de son originalité à son appartenance au Saint Siège, du 13ème au 18ème siècle. Son architecture s'inspire des modèles italiens et la présence des Juifs, protégés par les Papes, marque sa culture.

le circuit découverte piétonnier baptisé berlingot, en référence à la spécialité sucrée de la ville, jalonné de 21 lutrins en lave émaillée et vous permettra de découvrir le patrimoine de la ville.

  • la Synagogue la plus vieille de France (1367), toujours en activité, est un lieu empreint d'émotion qui témoigne de la civilisation judéo provençale passée et présente.
  • l'Hôtel-Dieu et sa pharmacopée du 18ème siècle conservée en l'état. Un grand chantier lui permettra d'accueillir bientôt le fonds de la bibliothèque Inguimbertine. Sa collection riche de 76000 volumes d’imprimés anciens et plus de 3000 manuscrits lui confère une renommée internationale.
  • l'ancien Palais Episcopal, devenu palais de justice.
  • l'Arc Romain, 

Carpentras, terre de saveurs

le marché de Carpentras: classé marché d'exception pour son ambiance et la qualité de ses produits, le marché provençal envahit la ville le vendredi matin avec ses 350 forains, dans un kaléidoscope de couleurs, de senteurs florales et fruitées. De fin novembre à début mars, découvrez l'univers feutré du marché aux truffes qui sert de référence à toute la région.

la confiserie du Mont Ventoux : vous apprendrez tout sur la fabrication artisanale du berlingot, petit tétraèdre strié de blanc, aux multiples saveurs.

la Cathédrale Saint Siffrein, de style gothique méridional,

le passage Boyer recouvert d'une immense verrière.

Hélas le lundi les boutiques sont fermées..

la Porte d'Orange, dernier vestige des remparts du 14ème siècle,


Mardi 22 Juin

84 - Le Barroux

Un imposant château du XIIe siècle, doté de tours rondes, domine les maisons du village de Le Barroux.

Ce château est ouvert à la visite.


Hélas c'est un peu ce que je craignais pour cette année compte tenu de la météo sur la zone de Buis les Baronnies la lavande commence tout juste sa floraison ....j'espère en voir un peu plus tard géographiquement et dans la saison...

05 - Orpierre

(N° 10770)

 

Flonsaine

Camping des Princes d'Orange ****

05700 ORPIERRE

Latitude : (Nord) 44.3111°  Longitude : (Est) 5.69622° 

Tarif : 2018

C-C, 2 personnes, électricité : 25 à 45 €

Taxe de séjour : 0,50 €
Services :

Piscines

Restaurant

Epicerie

Autres informations :

Ouvert du 30/03 au 4/11/2018

124 emplacements

Tel : +33(0)492 662 253

http://www.camping-orpierre.com


Blotti au pied de dents rocheuses, impressionnantes falaises verticales et situé sur la "route des princes d'Orange", Orpierre est un vrai village du Sud, avec sa placette ombragée de platanes et de tilleuls, occupée par des boulistes nonchalants, sur laquelle trône une jolie église à abside ronde.

Dans l'histoire, Orpierre fut successivement fief dauphinois, bourguignon, germanique et français (en 1713) : flâner dans ses fraîches ruelles, pavées et étroites (éviter les talons aiguilles !), vous semblera très agréable car vous ne manquerez pas d'admirer les restes d'un très beau patrimoine qui remonte au 16ème siècle.

Même s'il ne s'agit parfois que d'une façade Renaissance donnant sur le vide :

  • une imposante fontaine,
  • une prison seigneuriale,
  • un four "barral" où "chacun venait faire cuire son pain, moyennant taxes de fournages",
  • de vieilles portes
  • de belles proportions (17ème siècle),
  • de nombreux porches voutés et passages couverts…
  • Sans oublier la maison des Chalon-Arlay (1334-1530).

En empruntant tout simplement la Grand Rue, puis en traversant le "quartier des Manants", vous ferez un inoubliable voyage dans le temps...

Et même d'en haut, Orpierre ravit l'oeil, étalant ses toits de tuiles romaines avec, en arrière plan, les vertigineuses dents rocheuses.

Orpierre est incontournable pour les amoureux de vieilles pierres !


Mercredi  23 - Jeudi 24 Juin

Et toujours pas vu de Lavande en fleur !!!

04 - Sisteron


Camping

44 Chemin des Prés Hauts

Camping des Près Hauts à Sisteron

avec des grands emplacements limites par des petites haies, camping calme hors saison, ferme le 30 septembre, le prix hors saison est 15€20 sans électricité.

 

 

GPS : 44.214100, 5.936470

 

Prix des services : 2.99

Prix du stationnement : 15.20


Sisteron « Porte de la Provence », ville fleurie de 8000 habitants, à 485 mètres d'altitude, 135 km de Marseille et de Grenoble ainsi qu’à 180 km de Nice. Elle est la ville natale du poète Paul Arène (1843-1896).

Sisteron : perle de Haute Provence

Sur la Route Napoléon, au bord de la Durance et face aux falaises du rocher de la Baume, Sisteron est une halte privilégiée. "Ici un pays finit, un autre commence" car elle marque le passage entre la Provence et le Dauphiné, entre les Alpes et la mer.

Sisteron, terre singulière

La cité a des atouts naturels et historiques inestimables comme sa Citadelle et ses paysages enclavés dans un environnement typiquement provençal au bord de la Cluse de la Durance. Son ensoleillement exceptionnel (avec une moyenne de 300 jours de ciel bleu par an) confère un climat privilégié propice à une faune et une flore très diversifiée et exceptionnelle.

L’Histoire de Segustero

Village préhistorique il y a 4 000 ans, étape des Romains sur la voie Domitienne qui reliait l’Italie au delta du Rhône, évêché local dès le 6ème  siècle. Au 11ème siècle, ce château est la place forte du vaste comté de Forcalquier réuni au domaine des comtes de Provence, il est pour ces derniers la frontière du Nord.

Entre 1418 et 1445 a lieu le processus de rattachement du « village » de la Baume, situé de l’autre côté de la Durance.

De 1562 à 1594 les guerres de religions mettent en évidence l’importance militaire de la cité. Ces guerres voient protestants et catholiques se disputer la ville et sa forteresse, c’est alors que Jehan Sarrazin, ingénieur militaire, la renforce et imagine la citadelle actuelle. Le 15 août 1944 l’aviation anglo-américaine bombarde la ville, tuant une centaine de sisteronais et détruisant maisons et monuments.

 

L’ancienne cathédrale Notre-Dame et Saint-Thyrse ou plus communément appelée Notre-Dame-des-Pommiers (altération du mot "pomœrium" désignant l’espace entre les habitations et les remparts) mêle harmonieusement art roman et architecture Lombarde.

L’église, ancienne Cathédrale Notre-Dame-des-Pommiers

Cet édifice divisé en trois nefs aboutissant chacune sur une abside est bâti au 12ème siècle et est agrandi par la construction de plusieurs chapelles latérales entre la fin du 13ème siècle, le début du 14ème siècle et le 17ème siècle. Ce monument est classé au titre des Monuments Historiques en 1840 (première liste de classement de ces monuments).

Un groupe espicopal primitif

L’ancienne cathédrale est le seul témoin du groupe épiscopal primitif. L’ensemble est dominé à l’extérieur par un clocher comprenant une chapelle haute, coiffée d’une flèche érigée au 19ème siècle de notre ère et un second clocher, octogonal. Le dôme surmonte une coupole et présente une galerie ornée de délicates colonnettes.

Le portail principal est encadré à l’extérieur par de fines colonnes surmontées d’ornements humains, bestiaires et végétaux. L’édifice abrite de nombreux tableaux dont les plus anciens remontent au 16ème siècle de notre ère. L’œuvre majeure est un magnifique retable sculpté par Lalozière au 17ème siècle de notre ère et servant d’écrin à deux toiles du peintre Nicolas Mignard : la plus grande représente la Sainte Famille entourée d’anges musiciens et la seconde : le Père Eternel. Un riche ensemble de stalles en noyer avec miséricordes datant du 17ème siècle de notre ère complète cet ensemble. Plusieurs sculptures sont à découvrir, tel le mausolée de l’évêque Glandevès Cuges du 17 ème siècle ou une Vierge à l’enfant du 18 ème siècle. L’orgue de style romantique a été installé au 19ème siècle.

A proximité immédiate de la cathédrale, l’ancien couvent de la Visitation érigé au 17èmesiècle est situé à l’emplacement d’une partie du groupe épiscopal primitif. Sa chapelle ornée de magnifiques fresques abrite le Musée Terre et Temps ouvert gratuitement à la visite, d’avril à septembre.

 

Horaires d'ouverture à la visite

La cathédrale pourra de nouveau accueillir des visiteurs à partir du dimanche 23 mai 2021

Du 23/05/21 au 27/06/21

Du mardi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 18h

Le lundi et dimanche de 15h à 18h

Du 28/06/21 au 06/09/21

Du mardi au vendredi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30

Le lundi et dimanche de 15h à 18h

La cathédrale sera fermée les samedis.

La citadelle

La Citadelle de Sisteron, Joyau culturel de la Haute Provence

La Citadelle, monument historique remarquable et construite sur un éperon rocheux, domine la vallée de la Durance et offre un panorama saisissant de la Haute-Provence.

À l’origine bâtie comme frontière entre la région du Dauphiné et de la Provence. Déclarée monument historique, elle porte 8 siècles d’architecture et d’histoire sur un espace de 10 hectares.

Le rocher qui porte la Citadelle a de tout temps été fortifié. Il ne reste rien de l’oppidum romain, pas davantage du château-fort du haut Moyen-Âge, fait de palissades et de tours précaires. La forteresse qui couronne la ville aujourd’hui est un ensemble d’ouvrages d’époques très diverses, fruit de modernisations et de reprises successives. Le rempart supérieur, ou chemin de ronde, ponctué d’un puissant donjon, date du XIIIe, voire du XIIe siècle. Deux autres tours s’y élevaient, arasée pour l’une (à l’ouest), abaissée pour l’autre. À cette ligne de couronnement, on a adapté, au XVIesiècle – après les dommages des guerres de Religion – au nord et au sud, un étagement d’ouvrages bastionnés auquel venait s’attacher le rempart enserrant la cité depuis le XIVe siècle. La face sud comporte quatre enceintes fermées de portes bien défendues, pour certaines, par des ponts-levis. La face nord, que Vauban (1633-1707) appellera “l’Hiver” pour sa froidure, n’en compte que trois, très remaniées au XIXe siècle. Ces ouvrages, attribués sans raison à Jean Errard (ingénieur des fortifications de Picardie et d’Ile de France), sont plus sûrement l’œuvre de Jehan Sarrazin, ingénieur du roi dans la deuxième moitié du XVIe siècle.

En 1692, Vauban, après l’invasion de la haute vallée de la Durance par le duc de Savoie Victor Amédée II (1675-1730), conçut pour Sisteron un vaste plan de défense intéressant la ville et la forteresse. De l’ambitieux projet, faute d’argent, seuls la poudrière et un puits (au nord) furent réalisés.

De 1842 à 1860 – la Savoie et le Comté de Nice ne sont pas encore français – d’ultimes travaux tendent à mettre à jour la Citadelle. Se référant aux recommandations de Vauban, on relève les courtines, on ouvre les deux portes charretières de la face sud. Au nord, la deuxième enceinte est remaniée et une citerne aménagée pour recueillir les eaux pluviales. Des casemates s’élèvent, protégées d’escarpes. On creuse l’escalier souterrain reliant la forteresse à la porte nord de la ville.

Autres sites

Auditorium Louis-Jullien : ancienne chapelle des missionnaires de  la Croix

L’auditorium est installé dans la partie supérieure d’une chapelle construite à partir de la fin du 17ème siècle et inscrite aux Monuments Historiques en 1987. Celle-ci était incluse à l’origine dans un ensemble composé également de la maison des Missionnaires de la Croix (dont la façade conserve une double baie géminée sur chapiteau et colonne du 13ème siècle). Cet établissement était destiné à former de jeunes ecclésiastiques aux travaux des missions suite à la révocation de l’Edit de Nantes en 1685. L’intérieur de l’auditorium présente un décor remarquable de gypseries composé notamment de pilastres, chapiteaux corinthiens, chapelets, denticules.

Chapelle Saint-Marcel

A proximité du couvent des Dominicains se trouve Saint Marcel, ancienne église paroissiale du faubourg de La Baume.

Cet édifice classé Monuments Historiques en 1984, a été édifié au 12ème siècle, puis rehaussé au 17ème siècle (selon l’inscription mentionnant ‘’1644’’) et enfin agrandi au 18ème siècle. L’extérieur empreint de simplicité ne laisse pas deviner un décor intérieur riche. Cependant à l'intérieur vous trouvez notamment une vaste fresque datant du 17èmesiècle, un ensemble de stalles en noyer, un maître autel, un vitrail d’Eliane Manière et un chemin de croix de l’artiste Frédérique Maillart.

Au nord de la chapelle autour d’une placette agrémentée d’un porche, outre l’ancien hospice des moines de Chardavon, l’ancien refuge des évêques de Gap construit au 16èmesiècle se distingue par sa tourelle. La Baume a en effet été dépendant de l’évêché de Gap jusqu’à la fin du 18ème siècle.

Cloître Saint -Dominique

Face à la ville ancienne de Sisteron sur la rive opposée de La Durance, l’ancien couvent des Dominicains se situe au faubourg de La Baume, au pied du majestueux rocher. Il attire le regard par son imposant clocher roman effilé.

L’église actuelle date du 13ème siècle. Cet édifice est classé aux Monuments Historiques en 1963. Divisé en trois nefs aboutissant chacune sur une abside, il conserve, malgré de nombreux remaniements notamment suite aux Guerres de Religions et la Révolution Française, un ensemble gothique homogène parmi les plus importants des Alpes-de-Haute-Provence. Le clocher est surmonté d’une reproduction du ‘’ Diamant de la Reine Jeanne ‘’. Le cloître attenant, de vaste dimension à l’origine, conserve plusieurs enfeus. L'un d'eux encadre une fontaine, sur laquelle est inscrite la date de 1562.

Fortifications

5 tours, 3 portes, des tronçons de remparts érigés le long de La Durance ainsi que les vestiges d’une porte monumentale sont les principaux témoins des anciennes fortifications érigées autour de la ville ancienne de Sisteron au 14ème siècle.

Les tours du Fort, des Gens d’Armes, de la Médisance, de Notre Dame et du Collège, classées Monuments Historiques en 1875, tirent leur nom de bâtiments à proximité ou de faits réels et légendaires.

Les portes de la Nière et de Fonts-Chaudes protègent les 2 accès majeurs du quartier Bourg Reynaud (partie de la ville ancienne longeant La Durance).

A l’entrée nord de la cité, La porte de l’Escourche côtoie les vestiges de l’ancienne porte imposante du Dauphiné (détruite lors du Bombardement de 1944).

Chapelle de l'ancien hôpital

L’hôpital actuel est le témoin d’une activité médicale plusieurs fois centenaire à Sisteron. La cité compta jusqu’à onze établissements hospitaliers. L’hôpital conserve deux ailes du 18ème siècle et une chapelle inscrite aux Monuments Historiques en 1989. Cette chapelle signalée à l’extérieur par un clocheton, est ornée à l’intérieur de fausses ogives peintes ainsi que de fines boiseries de style rocaille datant du 18ème siècle en provenance de la chapelle primitive du centre hospitalier. La façade nord de l’établissement médical est agrémentée d’une élégante grille en fer forgé. Ce bâtiment est la propriété du département. La commune de Sisteron conserve également un riche mobilier dont un ensemble de tableaux représentants des donateurs.

Petit patrimoine

Sisteron possède un petit patrimoine varié que vous pouvez découvrir au fil de votre balade dans le centre ancien. Il faut parfois bien ouvrir l'œil, lever la tête ou même pousser des portes, mais les murs et le cœur de la vieille ville  sont riches d'un patrimoine qui vous fera traverser les siècles.

  • Oratoires (dont celui de La Coste)
  • Fontaines
  • Lavoirs
  • Portes
  • Andrônes
  • Couverts
  • Gypseries
  • Maison Romane (rue Mercerie)
  • Tour de l’horloge

05 - Gorges de la Méouge

Classées réserve biologique, les gorges de la Méouge, situées près de Châteauneuf-de-Chabre, sont, en période estivale, un havre de fraîcheur pour les promeneurs amoureux de la nature et les amateurs de baignade. Au printemps ou après de fortes pluies, les eaux de la Méouge attirent également les kayakistes.

Au fil de la rivière, la balade permet, outre les multiples richesses naturelles de ce territoire protégé, d'admirer un pont médiéval à trois arches et les ruines d'un moulin.

Situées à 5 km au sud de Laragne, les gorges de la Méouge sont classées réserve biologique et représentent un véritable joyau pour le département. Désignées comme une Merveille des Hautes Alpes, les gorges de la Méouge sont baignées de chaleur et de lumière et sont un lieu réputé pour les baignades et promenades.

Gorges profondes et sinueuses entourant un torrent fougueux qui bondit en cascade, forme 
des tourbillons, des trous d'eau, des plages de galets polis, des réservoirs naturels…

Même les amoureux des vieilles pierres seront contents, en admirant un vieux pont roman à trois arches, encore en très bon état, ainsi que les vestiges d'un moulin qui fut emporté par une crue en 1901.

Les géologues en herbe admireront les énormes blocs de rochers formant de belles strates couleur ivoire. Les curieux liront avec profit les panneaux explicatifs de la faune et de la flore : vous êtes ici dans un site Natura 2000 regorgeant de plantes alpines, provençales, méditerranéennes, ibériques et même d'Afrique du Nord.