Jeudi 20 Mai

Lever de soleil sur Le Maine

Beaugé

Parking

19 Rue du Pont des Fées

 

 

GPS : 47.539001, -0.096337

 

 

 

Aire située près du camping municipal à 5 minutes de la ville de Baugé. D'une capacité de 10 places, l'aire est ouverte toute l'année grâce à une borne automatique accessible 24h/24h et 7j/7j. Le stationnement est de 4€ par tranche de 24 heures et par camping-car. La distribution d'eau est de 3€ pour 10 minutes soit environ 100 litres. Taxe de séjour de 0.50€ par personne et par tranche de 24 heures. Le paiement se fait par carte bancaire directement à la borne. Il n'y a pas d'électricité, ni de wifi sur place. Possibilité de prendre une douche au camping pour 2€ par personne, de faire une machine à laver pour 4€. L'épicerie du camping est également à disposition pour acheter des produits alimentaires, des produits régionaux, une glace ou encore un souvenir de Baugé.

Nombre de place(s) 10

Prix des services :3 €/100l d'eau

Prix du stationnement : 4€/24h

Type de borne : Urbaflux

Ouverture / Fermeture : Ouvert toute l'année


Forte d’une histoire millénaire, ancienne sous-préfecture, Baugé-en-Anjou est réputée pour son patrimoine architectural unique. Son château, son apothicairerie, ses clochers tors, sa vraie croix et son dolmen représentent les principaux atouts touristiques d’une commune qui compte une vingtaine de demeures classées et plus d’une centaine d’immeubles remarquables. Cette richesse patrimoniale lui a permis d’obtenir plusieurs labels (plus beau détour de France, petite cité de caractère, village de charme).

Le château de Baugé

En plein travaux de rénovation


a été édifié au xve siècle par le Roi René, duc d'Anjou, pour en faire son relais de chasse. Situé en centre-ville, il accueille aujourd'hui un parcours-spectacle retraçant la vie du Roi René. Le premier étage du château présente des thèmes tels que la dynastie des Anjou, l'Anjou et l'Europe, la chevalerie et les tournois, l'amour courtois et la croix d'Anjou, devenue plus tard la Croix de Lorraine.

Église Saint-Pierre et Saint-Laurent,

des xvie xviie et xviiie siècles, bâtie de 1593 à 1599, clocher de 1630 à 1638, Monument historique classé par arrêté du 27 juillet 1979

Fontaine du xixe siècle

place du Roi René, sculpture en granit et pierre de taille avec blason de la ville, édifice inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel.



Vendredi 21 Mai

Le Lude

(N° 31488)

 

Route du Mans

72800 LE LUDE

Latitude : (Nord) 47.65106° Longitude : (Est) 0.16269° 

Tarif : 2020

Stationnement, services, électricité : 9,24 à 11,88 €

Parking 5h + services : 5,50 €

Taxe de séjour : 0,55 €

Automate de paiement

Autres informations :

Ouvert toute l'année

20 emplacements

20 prises électriques 6 A

Tél : + 33 183 646 921

@MAIL

SITE INTERNET

 

Services :


Le village

Le Lude, un château historique, une demeure habitée et vivante.

A mi-chemin entre Tours et Le Mans, aux portes de l’Anjou, le château et les jardins du Lude s’inscrivent dans le parcours des grands châteaux de la Loire, patrimoine mondial de l’Unesco.

Au-delà de son aspect imposant, Le Lude est avant tout un site doté d’ une âme, que l’on ressent tout au long de la visite. En effet, il est un des rares parmi les grands châteaux à être encore habité, objet de tous les soins d’une famille qui l’occupe depuis 260 ans.

Quatre en un ! Le château est un témoignage de quatre siècles de l’architecture française, forteresse défensive transformée à la Renaissance et à l’époque classique en une élégante demeure aux allures de palais. Petits et grands se laisseront encore séduire par le labyrinthe, les écuries ou les souterrains, autant de belles surprises qui jalonnent la promenade.

Le monument domine la vallée du Loir, et les jardins qui l’entourent ont été façonnés au fil des générations, mêlant harmonieusement les parterres réguliers avec un parc à l’anglaise. Roses chinoises, topiaires, labyrinthes et collections botaniques rythment la visite.

Le château

37 - Chédigny

(N° 29572)

D25

Latitude : (Nord) 47.2086° Longitude : (Est) 0.99704° 

Tarif : Gratuit

Services :

Boulanger (bonnes meringues)

Restaurant

Autres informations :

8 emplacements stabilisés

 


Ce village s’est métamorphosé depuis plus d’une dizaine d’années sous l’impulsion de son maire, Pierre Louault et de sa femme. Le nouveau maire, Pascal Dugué poursuit cette politique de fleurissement.

Les rosiers grimpent sur les façades et les trottoirs ont laissé place à des plates-bandes de rosiers arbustifs, vivaces et bulbes.

Un village fleuri avec 1000 rosiers et plus de 3000 vivaces.

Un village est visité par 10 000 visiteurs et récompensé par des labels prestigieux :

En 1998, c’est en revenant d’une visite de la petite ville de Grignan dans la Drôme, qu’il a planté, avec la collaboration du grand rosiériste André Eve, les premiers grimpants en supprimant simplement quelques pavés des trottoirs existants.

Très vite il s’est avéré que le terrain leur était propice tant la croissance a été spectaculaire.

En 2001, forte de cette réussite, la Municipalité de Chédigny, avec le soutien du Conseil Général, de la Région, et de l’Europe, entame les travaux de restructuration du bourg en même temps que l’enfouissement des réseaux d’électricité, de téléphone, d’eaux pluviales et d’arrosage.

L’aménagement des trottoirs en zone fleurie a été fait au rythme de l’avancement des travaux qui auront duré un an.

Les Roses Anciennes André Eve ont fourni la plupart des rosiers, la paysagiste de « Poitou Paysage », Madame Cothet a réalisé le plan et la plantation des premières vivaces.

Ce Jardin de l’excellence sera un lieu de visite et de formation du « savoir faire » du jardinier, transmis lors de stages pratiques destinés aux jardiniers amateurs ou professionnels. 

En 2002 Chédigny obtient le premier prix de fleurissement de la Région Centre et le troisième du Département.

Le 6 juin 2003, inauguration du bourg réaménagé, en présence de personnalités du Lochois, du Département et de la Région.

De nombreuses plantations ainsi que l’aménagement de la Place de l’Eglise ont été réalisés entre 2005 et 2009.

2004. Obtention d’une première fleur au concours « Villes et villages fleuris ».

2005. Obtention d’une deuxième fleur.

2007. Obtention d’une troisième fleur.

2010. Le village est répertorié dans « Roseraies et jardins d’Europe » édité par la Société Nationale d’Horticulture de France. 

2011. Baptème de la rose « Jeanne de Chédigny » par André Eve et Guy André, des Roses Anciennes André Eve.

"Jeanne de Chédigny" a été crée par les roses anciennes Andre Eve pour le village de Chédigny en 7 ans, c’est une rencontre de deux variétés. 

Cette rose "Jeanne de Chédigny" est parfaitement adaptée au climat de la Touraine. Ses bouquets de petites fleurs, gaies, fraîches, en camaïeu de rose très doux et de blanc, légèrement parfumées recouvrent le feuillage.

Le nom a été choisi en l'honneur de Jeanne Louault, Chevallier de la Légion d'honneur, qui avec son mari, Bernard, ont été distingués commer « Juste parmi les nations » pour avoir hébergé pendant la dernière guerre des Juifs, Ernest et François Braunschweig. 

2012. Chédigny « Village Jardin » est admis au Collège des Parcs et Jardins de la Région Centre, APJRC.

Obtention de la quatrième fleur au concours National des Villes et Villages Fleuris

2013. Chédigny Village Jardin reçoit la distinction « Jardin Remarquable » du Ministère de la Culture et de la Communication.

Mai 2017, ouverture du jardin de curé in situ ouvert au cœur de ce village jardin, dans l’enceinte du presbytère.

Juin 2017 baptème de  « NéoVillage de Chédigny », hydrangea macrophylla compact à fleur plate aux gros pétales arrondis rose franc à liseré blanc, création par Néoflore Joël Robin pour Chédigny. Ses feuilles saines, brillantes et gauffrées subliment les fleurs sur cet arbuste d’1m30 en tous les sens.

2017, son nouveau maire ,Pascal Dugué, poursuit le fleurissement du village.

2018 Baptème de la rose Blanche de Chédigny, créé par André Eve.

Septembre 2018 : Remise du prix Régional les Rubans du Patrimoine pour le presbytère et son jardin. Les prix des Rubans du Patrimoine mettent à l’honneur des actions pour réhabiliter ces lieux de mémoire qui participent à la vie économique de la France mais aussi à la transmission des savoir-faire des métiers du patrimoine.

Le Jardin du presbytère devient un lieu de visite et de formation du « savoir faire » du jardinier, transmis lors de stages pratiques destinés aux jardiniers amateurs ou professionnels par l'organisme de formation CLEOME.

2019 : Remise de la fleur d'or, plus haute distinction des villes et villages fleuris.

 

Une ville fleurie ou un village fleuri, c'est une commune qui réserve une place prépondérante au végétal dans l'aménagement de ses espaces publics. Vous pourrez y découvrir des compositions florales généreuses et harmonieuses qui participent à un environnement particulièrement soigné pour mieux vous accueillir. 

UNE IDENTITÉ RESPECTÉE

Une ville fleurie ou un village fleuri, c'est une commune qui valorise un paysage qui lui est propre. L'aménagement paysagé et le fleurissement sont conçus sur la base d'un patrimone et d'une identité spécifique à la commune. La créativité des jardiniers participe, à travers le choix des végétaux et leur association, à une identité paysagère unique qui fait que chaque commune labellisée est différente des autres.

DES PARCS ET JARDINS À DÉCOUVRIR

Une ville fleurie ou un village fleuri, c'est une commune qui met à votre disposition un quantité minimum d'espaces verts par habitant et qui propose une offre de parcs et de jardins à découvrir. Classiques, horticoles, naturels ou contemporains, ces lieux présentent tous une caractéristique qui leur est propre et sont dédiés au plaisir de la découverte botanique, de la promenade bucolique ou de moments ludiques.

DES ÉVÉNEMENTS SUR LE THÈME DES JARDINS ET DU JARDINAGE

Une ville fleurie ou un village fleuri, c'est une commune qui propose des événements sur la thématique des jardins et du jardinage. Fêtes des plantes, bourses aux plantes, portes ouvertes, cours de jardinage..., chacun de ces événements vous offre l'opportunité d'affiner votre connaissance des végétaux et de leur entretien.

C'est sympa...mais bof...!!!!


Samedi 22 Mai

37 - Loches

(N° 8720)

Avenue Aristide Briand

Camping la Citadelle ****

Latitude : (Nord) 47.12278° Longitude : (Est) 1.00206° 

Tarif : 2015

Stop accueil, 2 personnes : 12,50 à 18 €

Emplacement, 2 personnes : 17 à 27,50 €

Personne + 10 ans : 4,60 à 6,65 €

Enfant - 10 ans : 3,50 à 4,85 €

Enfant - 5 ans : 0 à 3 €

Électricité 10A : 4,70 €

Animal : 2,50 à 3,50 €

Type de borne : Autre

Services :

Jeux

Accès handicapés

Lave-linge

Sèche-linge

Autres informations :

Ouvert de Pâques au 30/09

Tel camping +33(0)247 590 591

SITE INTERNET


Loches constitue l’une des forteresses médiévales les mieux conservées d’Europe. Construite au bord de l'Indre, elle doit son existence à un éperon rocheux dominant la vallée, premier lieu d'implantation.

Loches est citée pour la première fois au VIe siècle par l’historien Grégoire de Tours, qui mentionne la fondation d’un prieuré par l’ermite Ursus (saint Ours). Un castrum gallo-romain existe alors avec certitude au sommet de l’éperon rocheux, sans que l’on puisse encore déterminer sa forme.

Vers l’an 900, la ville entre dans les possessions angevines. Durant plus de trois siècles, les comtes d’Anjou, bientôt rois d’Angleterre, font de Loches une forteresse imprenable. De Foulques Nerra à Richard Cœur de Lion, en passant par Henri II Plantagenêt, les comtes d’Anjou ont été les bâtisseurs d’un ensemble fortifié exceptionnel encore en grande partie conservé : une tour maîtresse (le donjon) et un palais comtal (disparu) aux dimensions presque inégalées ; une collégiale (actuelle église Saint-Ours) au profil unique ; une double ceinture de remparts protégeant l’ensemble du promontoire rocheux, munie de plusieurs portes fortifiées et de trois tours en amande monumentales.

Malgré ses atouts, la forteresse de Loches est prise en 1205 par le roi de France, Philippe Auguste. À partir de 1249 et jusqu’à la Révolution française, Loches détient le statut de ville royale, administrée directement par des gouverneurs. Du XIVe siècle au début du XVIe siècle, plusieurs rois de France séjournent à Loches (Charles VII, Louis XI, François Ier). La construction de logis royaux au nord de l’éperon rocheux, en remplacement de l’ancien palais comtal, en témoigne.

Dès le XIIIe siècle, une ville s’installe au pied de la forteresse, protégée à son tour d’une enceinte, dont deux portes subsistent. Au XVIe siècle, elle connaît une certaine prospérité, bénéficiant d’une situation importante sur la route commerçante de Paris en Espagne. Parallèlement, Loches est dotée de tous les grands services administratifs, judiciaires et financiers. À ce titre, elle tient un rôle majeur en Touraine, comparable au pouvoir d’Amboise et de Chinon. Enfin, la ville se dote de nombreuses constructions publiques et privées de style Renaissance, dont certaines constituent des exemples d’innovations exceptionnels pour l’époque, comme l’hôtel de ville, la tour Saint-Antoine et la Chancellerie.

Après la Révolution, Loches devient sous-préfecture, statut qu’elle conserve. Sous le Second Empire, elle s’équipe de plusieurs bâtiments publics comme le palais de justice, la gendarmerie ou les anciennes écoles de filles et de garçons.

Malgré les modifications subies au cours des siècles, la ville de Loches conserve encore une très grande partie de son héritage médiéval et Renaissance, donnant à lire 1 000 ans d’histoire et d’architecture. En 1968, dans le cadre de la loi Malraux, son centre historique remarquablement préservé devient un "secteur sauvegardé". Depuis 2000, Loches fait également partie du réseau national des Villes et Pays d’art et d’histoire.

Loches possède une étonnante richesse patrimoniale. Une grande partie de son héritage médiéval et Renaissance est conservée, donnant à lire 1 000 ans d’histoire et d’architecture.

Porte Royale

Principale entrée permettant l'accès à la forteresse, la porte Royale est datée de la fin du XIIe siècle ou du début du XIIIe siècle. Elle remplace une première porte plus sommaire, construite au XIe siècle. Au XVe siècle, un remaniement est nécessaire avec l’apparition de l’artillerie à poudre. Elle est alors équipée de toutes les défenses nécessaires : pont-levis, fossé, mâchicoulis, meurtrières et terrasse à canons. Au XVIe siècle, elle est transformée en prison et le fossé qui longeait le mail est comblé un siècle plus tard.

De cette porte, on peut entrer dans la forteresse pour la visite du donjon, du logis royal, de l’église Saint-Ours et du Musée Lansyer. Sa terrasse, qui offre une vue panoramique sur la ville, avec une table d'orientation, est accessible aux périodes d’ouverture du Musée Lansyer (de mai à octobre).

Donjon

Remarquable par ses dimensions – 36 mètres de hauteur – et par son excellent état de conservation, le donjon roman est érigé par Foulques Nerra, Comte d'Anjou, autour de l'an Mil. Il est l'un des plus anciens donjons encore conservés en Europe. Cette tour maîtresse du XIe siècle est renforcée de nombreuses constructions défensives jusqu’au XIIIe siècle, puis administratives et carcérales au XVe siècle. Le site est transformé en prison royale par Louis XI. Il abrite les cachots de Philippe de Commynes (reconstitution de la cage de bois bardée de fer), du Cardinal Balue et du Duc de Milan Ludovic Sforza, qui exécuta des peintures murales pendant sa détention.

Un parcours scénographique pour petits et grands permet une découverte attractive et ludique des lieux. La visite du donjon est également proposée avec l'HistoPad pour découvrir à l'aide d'une tablette tactile des reconstitutions du monument en 3D.

Ouvert toute l'année (sauf 25/12 et 01/01), tous les jours. Du 01/10 au 31/03 : 9h30-17h. Du 01/04 au 30/09 : 9h-19h.

Plein tarif : 10,50 € // Tarif réduit : 8,50 € // Gratuit -7 ans.

Le billet d’entrée à la Cité royale de Loches permet d’accéder au donjon et au logis royal. 

Logis royal

Bâti sur la pointe de l'éperon rocheux dominant la vallée de l'Indre, le logis royal est l'une des résidences favorites des Valois pendant la guerre de Cent Ans. Il fut bâti en deux étapes entre la fin du XIVe et la fin du XVe siècle. La partie la plus ancienne, au sud, est ornée de quatre tourelles plus décoratives que défensives. La seconde partie, construite un siècle plus tard dans le prolongement nord, possède un style gothique flamboyant. Trois figures féminines y ont laissé leurs empreintes : Jeanne d’arc, Agnès Sorel et Anne de Bretagne.

Un parcours scénographique pour petits et grands permet une découverte attractive et ludique des lieux.

 Ouvert toute l'année (sauf 25/12 et 01/01), tous les jours. Du 01/10 au 31/03 : 9h30-17h. Du 01/04 au 30/09 : 9h-19h.

Plein tarif : 10,50 € // Tarif réduit : 8,50 € // Gratuit -7 ans.

Le billet d’entrée à la Cité royale de Loches permet d’accéder au donjon et au logis royal.

Église Saint-Ours (ancienne collégiale Notre-Dame)

Splendeur romane édifiée aux XIe et XIIe siècles, son architecture est marquée par deux éléments exceptionnels, à commencer par son portail polychrome sculpté de personnages et d'animaux appartenant au bestiaire du Moyen Âge. Les deux pyramides, appelées "dubes", élevées vers 1165 pour couvrir la nef de l'église, sont aussi uniques qu'énigmatiques.

L'église Saint-Ours renferme le tombeau de marbre d'Agnès Sorel, favorite officielle du roi Charles VII.

Musée Lansyer

Au cœur de la cité royale et surplombant le rempart, le Musée Lansyer occupe la demeure familiale du peintre Emmanuel Lansyer (1835-1893). Ami du poète José-Maria de Heredia, il fut élève d'Eugène Viollet-le-Duc et de Gustave Courbet. L'artiste est considéré en son temps comme l'un des meilleurs peintres paysagistes, souvent récompensé et médaillé. Tout au long de sa carrière, il peint plus de 1 500 toiles. Il est également grand collectionneur d’art asiatique, de gravures et de photographies. En 1893, il lègue à la Ville de Loches sa maison de famille, avec ses collections, afin qu’elle devienne un musée.

Ce musée détient aujourd’hui l’appellation Musée de France et le label Maison des Illustres.

Ouvert du 1er mai au 7 novembre 2021

01/05 > 30/06 - 01/09 > 07/11 : du mercredi au dimanche. 01/07 > 31/08 : tous les jours. Horaires : 10h-12h30 / 14h-18h.

Plein tarif : 5 € // Tarif réduit : 3,50 € (19-25 ans, groupes à partir de 10 pers.)

Gratuit jusqu'à 18 ans et tous les premiers dimanches du mois.

Billet jumelé avec l’exposition Trésor de Naples : 9 €.

Musée Lansyer

1 rue Lansyer, 37600 Loches

Chancellerie

La chancellerie présente une façade Renaissance exceptionnelle, datée de 1551 et inspirée des travaux de Michel-Ange. Elle abrite le Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine. Ce lieu, qui fait partie des prérogatives du label Villes et Pays d’art et d’histoire, est accessible librement. Au rez-de-chaussée, une exposition permanente composée de cinq salles relate l’histoire de Loches. Cette exposition constitue le cœur d'un dispositif qui comprend une cour et des communs devenus lieux d'expositions et d'événements, ainsi qu'un jardin traité en amphithéâtre, lieu de promenade pouvant accueillir à l'occasion concerts et spectacles.

 Réouverture en mai 2021

 Chancellerie

8 rue du Château, 37600 Loches

Église et galerie Saint-Antoine

L'église Saint-Antoine a été aménagée en 1812 dans l’ancien réfectoire du couvent des Ursulines, afin de doter la ville basse d’une église paroissiale, plus accessible que l’église Saint-Ours. Entièrement restaurée jusqu’aux œuvres qu’elle abrite, l’église Saint-Antoine est une véritable église-musée.

La galerie Saint-Antoine, accolée à l’église, complète admirablement cet ensemble grâce aux deux toiles dites "Les Caravage de Philippe de Béthune" (achetées au Caravage, artiste italien du XVIIe siècle, par Philippe de Béthune : La Cène à Emmaüs et L'incrédulité de Saint Thomas), ainsi que le précieux triptyque de Jean Poyer du XVe siècle et divers objets ecclésiastiques.

 Ouvert toute l'année, tous les jours : 9h-18h45.

Visite libre et gratuite

Place de Mazerolles, 37600 Loches 

Hôtel de ville

En 1519, François Ier autorise les Lochois à élever cet hôtel de ville. De style Renaissance, il contient l’un des premiers escaliers droits rampe sur rampe édifié à cette période. Deux lucarnes présentent respectivement la Salamandre couronnée de François Ier et le blason de Loches dont les trois fleurs de lys rappellent le statut de ville royale. Ce bâtiment a la même fonction depuis 500 ans.

Porte Picois

Construite dans la première moitié du XVe siècle, la porte Picois constitue l’une des deux portes de défense de la ville basse encore conservées aujourd’hui. Elle possède du côté intérieur une niche Renaissance ajoutée à l’époque de la construction de l’hôtel de ville. L’original de la statue de la Vierge au Cœur, installée dans cette niche, est exposé dans la galerie Saint-Antoine.

Tour Saint-Antoine

Construite entre 1529 et 1575 pour servir de clocher à une église aujourd’hui disparue, la tour Saint-Antoine est également utilisée comme beffroi par la Municipalité après la Révolution française. De plan carré, elle présente un décor caractéristique de la Renaissance avec ses frises à disques et losanges, ses niches ornées du motif de la coquille et ses pilastres surmontés de chapiteaux sculptés.

Culminant à 52 mètres, elle rivalise avec le logis royal et constitue l’un des premiers édifices visibles en entrée de ville.

Ouverture exceptionnelle durant les Journées européennes du patrimoine.

Porte des Cordeliers

Construite en 1498, la porte des Cordeliers est la plus récente des quatre portes qui protégeaient la muraille de la ville. Elle comprend d’élégants éléments décoratifs et porte le nom de l’ancien couvent situé à proximité.

Le château de la marquise de Pompadour

situé à Ménars, propriété de la famille Baysari, est à vendre 31,5 millions d’euros honoraires d’agence inclus.

Cet édifice de la Renaissance se situe à 8 km au nord-est de Blois. Construit en 1646, le château porte la marque de grands architectes comme Anges-Jacques Gabriel – à qui l’on doit l’École militaire, la place de la Concorde à Paris et le petit Trianon de Versailles –, Jacques-Germain Soufflot, ou encore Le Nôtre qui a dessiné les terrasses. « C’est l’un des plus beaux châteaux du Val de Loire », commente Yves George, « et en plus il a une histoire ! » En effet, le château de Ménars a été acquis en 1760 par la marquise de Pompadour, la maîtresse du roi Louis XV (1710-1774) qui lui a donné son visage actuel avant de le transmettre à son frère, le marquis de Marigny.

45 - Beaugency

(N° 3137):

Accès D19

Camping Val de Flux **

 

Latitude : (Nord) 47.77651°  Longitude : (Est) 1.64287° 

Tarif : 2019

Emplacement, 2 personnes, wifi : 12 €

Électricité : 5 €

Taxe de séjour + 18 ans : 0,20 €

Services seuls pour camping-cars de passage : 3 €

Type de borne : Autre

Services :

 

Lave linge - Sèche linge

Snack-bar - Épicerie

Jeux

Autres informations :

Ouvert du 01/04 au 30/09

161 emplacements

Tél : +33 238 445 039

@MAIL

SITE INTERNET

 


Une ville des bords de Loire : la ville a profité dès le XIIe siècle du pont, longtemps seule voie de passage entre Orléans et Blois, qui assurera sa fortune commerciale jusqu’au XIXe siècle. Fleuron du Val de Loire, Patrimoine Mondial de l’UNESCO, Beaugency continue à regarder son fleuve et guetter ses caprices. Les bords de Loire offrent un paysage exceptionnel d’une grande diversité de faune et de flore.

Occupée à la Préhistoire et sous l'Antiquité romaine, la commune de Beaugency est une forteresse carolingienne dès le Xe siècle. Ancienne propriété des comtes de Blois, elle retrouve la couronne de France sous Philippe le Bel à la fin du XIIIe siècle. Après avoir souffert de nombreuses fois lors des Guerres de religion, la ville est désormais connue pour son patrimoine historique et architectural ainsi que pour son célèbre carillon permettant d'entendre le fameux air du Carillon de Vendôme.