75 km
1 h 38
Parking
44.446423 - 4.841415
Le nom du village de Réauville apparaît dans les textes au XIIIe siècle seulement mais son terroir relevait déjà des « Terres Adjacentes de Provence », et il est probable que l’ancien domaine de Cersas (Sarson) fut baptisé Réauville en 1280, lorsque l’Abbaye d’Aiguebelle fut placée sous la protection du Comte de Provence, Charles d’Anjou, frère de Saint-Louis.
Le village a conservé quelques vestiges du bourg castral primitif et de nombreux décors architecturaux associés aux formes nouvelles des XVIe et XVIIIe siècles.
L’Église Sainte-Marie-Madeleine est très remaniée. Elle se distingue par un décor de peintures murales « dans des cartouches de différentes formes; des silhouettes de villes antiques, à contre-jour et en perspective composent ce curieux décor profane, réalisé en 1871 par deux moines de l’Abbaye d’Aiguebelle ».
Pour répondre aux normes d’hygiène, il sera construit, ou restauré, cinq bornes – fontaines et lavoir au cours du XXème siècle. Ils sont disséminés un peu partout dans le village.
En 2013, une fresque représentant une scène de la vie quotidienne est peinte sur les murs du lavoir couvert. Nous vous invitons à admirer le masque en pierre à tête de lion de la fontaine qui se trouve juste à côté.
Albert Séverin Roche, qui fut proclamé le Premier Soldat de France par le Maréchal Foch le 27 novembre 1918 à Strasbourg, est né à Réauville le 5 mars 1895. On peut y voir sa maison natale. De même pour Louis Portalier qui fut capitaine d’Empire.
Parking
44.441470 - 4.978124
44.442089 - 4.977033
D.56 – D.4. Champs de lavandin.
L'ancien coeur du bourg, de forme circulaire renferme de nombreuses demeures des XIVe et XVe siècle, de belles voûtes, des fenêtres Renaissance sur certaines façades, un lavoir et un prieuré restauré.
Très connu pour ses champs de lavande et les genêts.
Description
Petit village situé à une altitude de 244 m, Salles-sous-Bois fut un carrefour de routes.
S’y croisaient les deux seules voies joignant le bassin méditerranéen et la Péninsule ibérique au reste de l’Europe, à travers la barrière des Alpes.
Le village de Salles-sous-Bois, s’inscrit tout en longueur dans son site avec de nombreuses demeures des 14ème et 15ème siècles avec de belles voûtes et façades Renaissance,
La Chapelle Sainte-Marie-Madeleine, attestée à la fin du 14ème siècle est devenue église paroissiale.
De nombreux chemins forestiers permettent de découvrir une vieille piste celtique qui fut la route médiévale de Taulignan à la Bégude de Mazenc.
Parking
44.441470 - 4.978124
44.442089 - 4.977033
D.24. Ancien village de la soie.
Fief des Montauban au 12ème siècle, fortifiée au 13ème siècle, Taulignan a encore fière allure, avec ses 700 mètres de muraille d'enceinte ponctuée de onze tours rondes encore en bon état, sa magnifique porte d'entrée flanquée de deux tours, un dispositif de corps de guet et quelques mâchicoulis reliés au chemin de ronde.
Une fois garé sur la vaste place de l’hôtel de ville, ombragée de platanes et tilleuls, si typique de la Provence, vous serez enchanté de flâner dans cette petite cité médiévale qui a gardé ses noms anciens :
En empruntant ces ruelles qui montent et descendent, aux façades grises égayées de volets bleus ou encore jaunes à volets verts, en passant sous une voûte de pierre ou devant de vieilles maisons à l'abandon, à demi-effondrées, vous finirez par arriver devant l'église, imposante et superbe, qui dresse vers le ciel son clocher roman et ses murs de pierre presque blanche, patinés par le temps.
Les amateurs d'histoire seront curieux d'apprendre que Taulignan, qui fut au 12ème siècle une seigneurie appartenant à Bertrand de Taulignan, eut comme dernière châtelaine, Nicole de Lamoignon de Senozan, soeur de Malesherbes : incarcérée à la conciergerie avec son amie Élisabeth de France, elle monta elle aussi à l'échafaud en mai 1794.
C'est cette même année que la Convention donne l'ordre de la destruction du château, dont il ne reste qu' un pan de mur de sa propre enceinte.
Les ruelles qui suivent encore aujourd'hui la forme circulaire des remparts, entouraient à l'époque le château. Contrairement à la légende, la salle voutée abritant aujourd'hui le lavoir n'a jamais été la salle de garde du château, elle a été creusée et construite en 1878, donc bien après la destruction du château.
Au 19ème siècle, Taulignan était une ville prospère grâce au "moulinage" de la soie qui employait plus de 400 ouvrières. Vous ne manquerez pas de visiter l'Atelier-Musée de la soie, qui vous fera découvrir le secret de la fabrication, depuis le ver jusqu’à l'étoffe de luxe qu’on connaît.
Dominé à l’est par la montagne de La Lance, le village est bordé au nord par les bois de Taulignan, qui offrent aux promeneurs leurs sentiers ombragés, si agréables aux beaux jours.
A voir, à visiter :
Musée de la Soie au 19ème : pour découvrir la vie sociale des ouvrières dans les moulinages.
Parking
44.441470 - 4.978124
44.442089 - 4.977033
D.24.
La vallée du Lez possède un patrimoine très riche en vestiges.
Dès la préhistoire, les hommes ont occupé ces lieux et nous ont laissé des traces tangibles de leur passage comme l’oppidum de l’Age du fer des Aures, des villas gallo-romaines, des châteaux et chapelles du Moyen-Âge et de la Renaissance.
L’ère industrielle a aussi marqué ce coin de la Drôme à travers la production d’hydro-électricité, de soie, de chaux. Plus récemment, le Massif de la Lance a servi de refuge aux Maquisards.
Les sites à voir
Sur la rive gauche, du Nord au Sud
Sur la rive droite du Lez, du Nord au Sud
D.538.
Parking
44.451401 - 4.932700
D.538.
L'ancien coeur du bourg, de forme circulaire renferme de nombreuses demeures des XIVe et XVe siècle, de belles voûtes, des fenêtres Renaissance sur certaines façades, un lavoir et un prieuré restauré.
Très connu pour ses champs de lavande et les genêts.
Description
Petit village situé à une altitude de 244 m, Salles-sous-Bois fut un carrefour de routes.
S’y croisaient les deux seules voies joignant le bassin méditerranéen et la Péninsule ibérique au reste de l’Europe, à travers la barrière des Alpes. Le village de Salles-sous-Bois, s’inscrit tout en longueur dans son site avec de nombreuses demeures des 14ème et 15ème siècles avec de belles voûtes et façades Renaissance,
La Chapelle Sainte-Marie-Madeleine, attestée à la fin du 14ème siècle est devenue église paroissiale.
D.540.
Parking
44.521559 - 5.065412
D.540.
Ruines d'un donjon quadrangulaire sur un rocher.
D.179.
Parking
44.591801 - 4.954320
D9 – D.183 – D. 179.
Commune située au cœur de la Valdaine. Un village dynamique et accueillant.
Francois 1er, l’empereur Barberousse ou Madame de Sévigné ont fait comme vous. Ils sont venus dans ce village. Vous pourrez marcher sur leurs traces…
Charols est un passage obligé.
En quittant la plaine par l’est il faut franchir son pont stratégique sur le Roubion.
Le village est sans doute né de cette proximité, s’installant d’abord sur une motte castrale au sud, puis autour d’un prieuré, Saint-Jean-Baptiste, construit vers le VIIIe siècle.
La tradition locale et les textes rapportent que bien des grands de ce monde vous auront précédé sur cet ouvrage : l’empereur Frédéric Barberousse, François Ier, Louis XIII ou la Marquise de Sévigné en route pour Grignan.
Voulant franchir à gué le torrent gonflé par une crue soudaine, un héritier du trône de France n’a dû la vie sauve qu’à l’intervention d’un paysan de Charols : c’était le Dauphin, futur Louis XI, en route pour son château de Sauzet.
En souvenir de l’aventure et pour invoquer la protection des dauphins, lors du sacre de son fils Charles VIII, en 1484, fut placée en clé de voûte d’un nouveau pont une pierre gravée portant cette date.
Elle est désormais dans la salle du conseil municipal.
Avenue Jean Rabot
Place du Champ de Mars
26400 CREST
Latitude : (Nord) 44.72549° Longitude : (Est) 5.02128°
Tarif : 2019
Stationnement : 5 €
Eau ou 1 h d'électricité : 3 €
Wifi gratuit
Paiement par carte bancaire
Type de borne : AIRESERVICES
Services :
Poubelles
Autres informations :
Ouvert toute l'année sauf la 2ème quinzaine de juin (St Pierre)
et la 2ème quinzaine de septembre pour la St Féréol
17 emplacements goudronnés, éclairés et ombragés
https://www.valleedeladrome-tourisme.com/camping/aire-camping-cars-de-crest/
120 km
2 h 28
Parking
44.695400 - 5.193710
Au départ de l'office de tourisme, suivez le parcours fléché qui vous emmènera à la découverte de Saillans :
Parking
44.750870 - 5.373339
Charmant petit village de la Drôme, Saint-Nazaire-le-Désert prend place sur les bords de la Roanne, à une vingtaine de kilomètres de La Motte-Chalancon. Il se situe à soixante-dix kilomètres de la très touristique ville de Valence, à proximité du col du Portail et des communes de Rochefourchat, Brette ou Gumiane.
Peuplé dès l'époque préhistorique, notamment par des Chasséens, le territoire de Saint-Nazaire-le-Désert se développe principalement au Moyen Âge autour de petites places fortes et de sites perchés. Il faut attendre la fin du XIVe siècle pour que les habitants redescendent de leurs demeures en hauteur, s'installant plutôt auprès des points d'eau. Principalement tournée vers l'agriculture et très isolée jusqu'à la Révolution française, la commune élargit alors ses production à la vigne et aux fruitiers.
D25
05150 ROSANS
Latitude : (Nord) 44.393031° Longitude : (Est) 5.474096°
Tarif : gratuit
Autres informations :
Pour les services voir aire N°21550 de CCI sur la D994 en bas du village
A noter en face de l'aire de stationnement dans le jardin public il y a des toilettes sèches et un point d'eau en service toute l'année
Lieux et monuments
Rosans a conservé son caractère féodal avec ses rues et ses impasses à arceaux.
Château de Lesdiguières.
La Tour carrée de Rosans, au centre du pays attire encore l'attention malgré les mutilations qui l'ont considérablement abaissée et détériorée. Construite avec des blocs de pierre taillés en diamant, ses murs ont quatre mètres d'épaisseur et chaque face regarde l'un des quatre points cardinaux de sorte que lorsque trois de ses côtés sont dans l'ombre, elle marque l'heure de midi.
Cette tour, appelée à tort « Tour Sarrasine » n'est pas un spécimen de l'architecture mauresque dans le Midi de la France. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1932
D.949.
122 km
2 h 40
Parking
D.425 – D.116 – D.316B – D.316. Prieuré du 12e s.
Lieux et monuments
Vestiges du prieuré de Saint-André-de-Rosans : église (xie et xiie siècles), bâtiments conventuels (xiie et xiiie siècles)
Le prieuré de Saint-André-de-Rosans a été établi à la suite d'une donation d'un clerc, prénommé Richaud, à l'abbaye de Cluny en 988.
Les biens donnés s'étendaient sur plusieurs communes situées aux confins des Hautes-Alpes et de la Drôme, mais aussi dans le Vaucluse (Malaucène) ou dans les Alpes-de-Haute-Provence (Mison).
Le prieuré subsiste jusqu'à la Révolution, mais il est en grande partie détruit à l'occasion des Guerres de religion.
Il fut souvent confondu, jusqu'au xixe siècle avec un temple consacré à Bacchus tant son décor lié à la vigne est important.
Les spécialistes ont reconnu dans ces lacs de pampres la feuille du cépage Paga Debiti.
L'édifice est classé et partiellement inscrit au titre des monuments historiques en 1925, 1986 et 1987.
Parking
44.429798 - 5.718450
Au carrefour de la route des deux soleils (N75) et de la route des baronnies (D994).
Aujourd'hui gros village construit en demi-cercle au pied d'un pic rocheux, Serres fut provençale, appartint au Royaume de Naples, devint dauphinoise en 1298, vit s'affronter catholiques et protestants.
De l'époque médiévale, où Serres était une forteresse protégée de remparts, datent l'église romane (12ème siècle) ainsi que les vestiges de tours et murailles d'un château fort (14ème siècle).
Une vieille ville passionnante à visiter :
il vous faudra emprunter un escalier qui grimpe en pente raide, passer devant une tour carrée avec horloge, restes d'un "portail de Guire" qui date de 1556, avant d'arriver dans la rue principale.
Prenez le temps d'explorer les ruelles en pente, passages couverts, traverses en escalier...
Un merveilleux voyage dans le passé qui, à côté de banales façades grises, vous permettra de contempler quelques merveilles, monuments historiques comme l'ancien hôtel de Lesdiguières, ayant appartenu à François de Bonne, duc, Maréchal et Connétable de France au 17ème siècle, qui présente un superbe mélange de façade baroque et de fenêtres Renaissance.
Au hasard des ruelles, vous tomberez sur la belle église, de style roman-provençal qui date du 12ème siècle, tandis que les courageux qui monteront tout en haut de la vieille ville, en empruntant le sentier des Fades, découvriront une ravissante petite chapelle de Bonsecours, un tombeau juif (14ème siècle)…
et une merveilleuse vue sur les toitures en tuiles romaines de Serres avec comme toile de fond la riante vallée du Buëch !
Parking
44.312302 - 5.825420
Laragne-Montéglin, quatrième ville du département des Hautes-Alpes avec une population de 3511 habitants, est située aux portes de la Provence et du Dauphiné.
Depuis ses origines, du XIIème siècle à nos jours, la ville s’est développée autour de trois sites :
A ses origines Laragne n’existe que par ses moulins établis sur un canal dont la création remonte au XIIème siècle et par quelques masures au bord de la rivière du Büech.
C’est en 1609, après l’Edit de Nantes de 1598 signé par le roi Henri IV, qu’un grand château est construit dans la plaine de Laragne par Gaspard de Perrinet, seigneur protestant de la Baronnie d’Arzeliers.
Au fil du temps, Laragne ne cesse de s’agrandir autour de son château et de sa fontaine sur la place centrale.
Les voies de communications deviennent plus évidentes et le commerce est ainsi facilité.
Le canal Bouchard construit en 1849 apporte la prospérité avec de nouvelles activités et en irriguant les terres agricoles, puis arboricoles.
En 1875, la voie de chemin de fer en provenance de Marseille vers Gap, via Veynes, est ouverte.
Des ateliers de sériciculture dont la spécificité est l’élevage des vers à soie pour la production de la “graine” (oeufs de vers à soie) sont actifs jusqu’en 1962 au sein du château reconverti en entreprise qui emploie près de 500 personnes.
Parking
Blotti au pied de dents rocheuses, impressionnantes falaises verticales et situé sur la "route des princes d'Orange", Orpierre est un vrai village du Sud, avec sa placette ombragée de platanes et de tilleuls, occupée par des boulistes nonchalants, sur laquelle trône une jolie église à abside ronde.
Dans l'histoire, Orpierre fut successivement fief dauphinois, bourguignon, germanique et français (en 1713) : flâner dans ses fraîches ruelles, pavées et étroites (éviter les talons aiguilles !), vous semblera très agréable car vous ne manquerez pas d'admirer les restes d'un très beau patrimoine qui remonte au 16ème siècle.
Même s'il ne s'agit parfois que d'une façade Renaissance donnant sur le vide :
En empruntant tout simplement la Grand Rue, puis en traversant le "quartier des Manants", vous ferez un inoubliable voyage dans le temps...
Et même d'en haut, Orpierre ravit l'oeil, étalant ses toits de tuiles romaines avec, en arrière plan, les vertigineuses dents rocheuses.
Orpierre est incontournable pour les amoureux de vieilles pierres !
Parking
D.316 –D.116 – D.130 – D.30 -(à proximité d’Orpierre) D.65 -Col de Perty – Col de la Chapelle – D.65A – D.65 – D 546. La Lavande alterne avec la forêt avant de prendre le dessus.
Le Chauvac est un ruisseau qui a sa source sur la commune de Roussieux, traverse celles de Chauvac et de Laux-Montaux, et se jette dans l'Eygues après dix kilomètres de parcours. En 1891,
il avait une largeur moyenne de huit mètres, une pente de 372 mètres, un débit ordinaire de 0,60 m3 et extraordinaire de six mètres cubes
Lieux et monuments
Chauvac
Laux-Montaux
Parking
44.288898 - 5.417730
D.546. -
Village perché de la Haute-vallée de l’Ouvèze.
Fief des Montauban, possession des Adhémar au 14ème siècle, Saint-Auban n'est aujourd'hui qu'un tranquillissime petit village construit légèrement en hauteur, sur une plaine quadrillée de champs de lavandes et de haies de cyprès.
Un merveilleux paysage de Provence encadre ce “village producteur de tilleul" ; et c’est d’ailleurs sous les tilleuls que vous trouverez à vous garer, sur un tout petit parking où se dressent un monument aux morts et le Christ sur sa croix.
On voit qu'ici, rien n'est fait pour le tourisme : l'amateur d'authenticité sera ravi d’emprunter la "rue du château" bordée de maisons basses, en vieilles pierres, dont quelques granges à l'abandon.
Après avoir dépassé deux tours rondes, sans doute des restes de remparts, il trouvera sur son chemin une grosse église qui ne paie pas de mine... mais c'est en descendant quelques “calades” en pente qu'il découvrira les charmes cachés de Saint-Auban, les nuances brunes ou bleues lavande des volets, un passage voûté couvert à plafond en poutres de bois, une belle fontaine à l'ombre d’un tilleul centenaire...
Et partout, à demi enfouies sous les rosiers et tonnelles de vigne, de superbes maisons de pierre grise datant de la Renaissance, parfois en ruine, d’autres en cours de restauration.
Qui saura apprécier les beautés secrètes de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze sera heureux : il aura à coeur d'y retaper une de ces vieilles granges historiques, tout en profitant de la vue dégagée sur le doux paysage et en respirant le bon air léger de ses collines boisées.
Et les géologues en herbe se pencheront sur un “mystère” encore inexpliqué : pourquoi les châtaigniers poussent-ils sur le sol siliceux de la colline avoisinante ?
A voir, à visiter :
Pelleret
Domaine le Clos de Bruis
26560 MEVOUILLON
Latitude : (Nord) 44.228154° Longitude : (Est) 5.505296°
Tarif : 2018
Stationnement : 5 €
Vidange : 3,50 €
Électricité : 3,50 €
Animal : 2 €
Redevance ordures ménagères : 0,20 €
Taxe de Séjour : 0,50 €
Type de borne : Artisanale
Services :
Autres informations :
Aire sur plusieurs niveaux
Tel : +33 (0)964 161 44
D.546.
Après le col d'Aulan sur la droite, se trouve Mévouillon, village coincé entre les montagnes de Buc et de Croc. La Commune se compose d'un chef-lieu : Gresse, puis des hameaux du Col, de la Farette et de Pelleret.
Dispersés aux trois extrémités de la commune, ils témoignent de l'éclatement d'un bourg aujourd'hui disparu.
Victime de sa puissance, la forteresse et l'ancien village des Mévouillon furent rasés en 1684 par arrêté de Richelieu.
De nos jours, ce petit village est réputée pour sa lavande bleue, et ses sites de parapente.