(15297) Dumbría - DP-2308
PARKING JOUR ET NUIT
Parking situé près de la cascade ezaro
Prix des services Gratuit
Prix du stationnement Gratuit
Nombre de places 15
Ouverture/Fermeture Ouvert toute l'année
42.9126, -9.1235 (lat, lng)
DP-2308
15297 Dumbría,
La spectaculaire chute d’eau d’Ézaro, également appelée chute de Jallas, est une chute formée par la rivière Jallas lorsqu’elle se jette dans la mer. Elle est située dans la municipalité de Dumbría, dans la province de La Corogne, en Galice. Le mieux, c’est qu’elle peut être vue dans toute sa splendeur à n’importe quel moment de l’année, car elle a un débit écologique minimum depuis sept ans. Cependant, le meilleur moment pour la voir est en hiver, quand il pleut davantage. Et c’est la seule rivière d’Europe qui se jette dans la mer en une cascade !
De cette façon, le fleuve dessine un débouché de la taille d’une carte postale dans l’Atlantique, avec une chute d’eau de plus de 30 mètres de long dans laquelle l’eau tombe sur les parois rocheuses en granit du canyon au pied du mont Pindo. Cependant, son histoire a connu quelques revers, comme lors de la construction d’un réservoir en amont de la cascade, qui a fini par la détruire en 1986.
Pour résoudre ce fait, il a fallu attendre quelques années, jusqu’à ce qu’en août 2000, plusieurs groupes de la Costa da Morte parviennent à obtenir un accord entre la centrale hydroélectrique de Ferroatlántica et le gouvernement de Galice. Grâce à cet accord, le barrage serait ouvert pendant certaines heures par semaine, de sorte que la chute d’eau reviendrait à son état naturel.
Cependant, depuis avril 2011, le dernier tronçon de la rivière situé entre le barrage de Santa Uxía et la chute d’eau d’Ézaro est désormais ouvert en permanence grâce à son débit écologique.
Avant de se jeter dans cette cascade populaire et photographique et d’atteindre la mer, la rivière Jallas coule sur 65 kilomètres depuis sa source à Monte Castelo, à 440 mètres d’altitude, près du village de A Toxa. Elle passe ensuite par les municipalités de Coristanco, Santa Comba, A Baña, Zas, Mazaricos et Dumbría. Dans la dernière section du fleuve, il a une pente de 11% au-dessus de l’océan Atlantique, avec une différence de niveau de 155 mètres. Ainsi, il traverse le mont Pindo jusqu’à ce qu’il heurte les parois du canyon et se jette dans la chute d’eau dite d’Ézaro avec une chute qui atteint plus de 30 mètres.
Cependant, l’existence de la seule rivière d’Europe qui se termine par une chute d’eau dans la mer était déjà connue en 1724, année depuis laquelle des références documentées ont été trouvées donnant le nom de la chute d’eau. Dans ces documents, il est décrit comme une grande fumée que l’on pouvait voir à plusieurs lieues en mer, laissant dans son sillage un mur très érodé. Il est également indiqué qu’il était très abondant chez les truites, mais que leur capture était très risquée car la force de l’eau pouvait renverser le bateau.
Situé sur un affleurement rocheux près de la chute d’eau d’Ézaro, le belvédère du même nom fait office de point de vue naturel. Pour l’atteindre, il faut prendre une route dont la montée est très raide, bien que les vues de la côte galicienne d’ici en valent la peine. Une vue splendide sur l’océan Atlantique, la figure du Cap Fisterra et de son phare au loin, le profil du Mont Pindo et des petites îles Lobeiras. Il s’agit également d’une enclave importante pour les cyclistes, puisque le belvédère d’Ézaro a été le lieu choisi comme destination finale de la douzième étape du Tour d’Espagne à l’été 2012.
Dans la rue et ouvert toute l'année. Accueil très agréable, le gérant parle aussi anglais. Le soir le portail d'entrée se ferme, l'accès piéton reste. C'est près du village, près du supermarché. Il n'y a pas de toilettes et de douches. Le wifi gratuit est disponible dans la cabine à l'entrée.
AIRE CC PRIVÉE
Prix des services 3 € electricity
Prix du stationnement 10 € 24h
Nombre de places 30
Ouverture/Fermeture Ouvert toute l'année
42.9115, -9.2636 (lat, lng)
3 AC-445
15155 Fisterra,
Spain
Les Romains pensaient que ce lieu représentait le point terrestre le plus occidental, et donc que le monde s'y terminait. C'était le finis terrae. Pourquoi quelqu'un voudrait-il se rendre là où le monde se termine ?
C'est peut-être parce que le cap Finisterre renferme le véritable secret de la Costa da Morte, la côte de la mort : des paysages sauvages et des plages impressionnantes, certaines (à l'ouverture du cap) d'eaux calmes et d'autres à la forte houle comme Mar de Fora, l'une des plages les plus sauvages de Galice. Et la grande attraction de tous les temps, le coucher du soleil sur l'immensité de l'océan, la mer de la fin du monde.
Que ce soit par curiosité ou pour vivre une aventure, le cap Finisterre a attiré depuis l'Antiquité la plus lointaine les visiteurs des pays les plus éloignés, de même qu'une grande quantité de bateaux ayant fait naufrage dans ses eaux, malheureusement.
Ce lieu a été considéré durant des siècles comme la limite des terres connues, la frontière de l'au-delà, la fin du monde.
La pointe est une falaise qui monte depuis les îlots redoutés d'O Petonciño et d'A Centola jusqu'au mont d'O Facho (242 m), qui semble être l'Ara Solis de l'Antiquité qui servait à célébrer les rites solaires. Traditionnellement, cet endroit est considéré comme le point le plus occidental du continent, même si en réalité, il ne l'est pas. Le chemin de Compostelle se prolonge jusqu'à ce lieu pour les pèlerins qui, selon la tradition, brûlent leurs vêtements au bord de la mer avant de prendre le chemin du retour.
Depuis la nuit des temps, Finisterre évoque un mystère insondable dans l'âme des hommes. L'aura légendaire de ce lieu, ouvert sur l'immensité de l'océan Atlantique, puise ses origines dans la mythologie des premiers habitants européens. Les anciens croyaient qu'avec l'arrivée de la mort, le monde terrestre donnait lieu à une autre existence sur une île située à l'ouest, là où le soleil se couchait. Dans les légendes celtes, il est fréquent de rencontrer des images de héros qui réalisent leur dernier voyage vers ce paradis dans une barque en pierre. Cette union entre la pierre, la mer et la spiritualité survit sous différentes formes le long de la Costa da Morte.
Lorsque les Romains sont arrivés dans ce lieu, ils ont assisté pour la première fois au spectacle saisissant du soleil s'enfonçant dans les eaux. Ils ont découvert un autel dédié à l'astre roi, l'Ara Solis, érigé par les tribus celtes de la région. Diverses sources voient un parallélisme direct entre l'image du soleil s'enfonçant dans la mer et l'hostie et le calice du blason de la Galice. Aujourd'hui, une place du village possède le nom Ara Solis.
L'endroit le plus visité est le point de vue du phare avec la lumière de la tombée du jour irradiant l'horizon.
Avant l'arrivée du christianisme, les Européens considéraient déjà Finisterre comme un lieu de pèlerinage obligatoire. Mais, suite à la découverte de la tombe de l'apôtre, la route vers l'occident atlantique a atteint l'apogée de sa splendeur. Le chemin de Compostelle, guidé par les lumières de la voie lactée, s'y termine, face à l'océan. Par conséquent, le visiteur qui laisse son regard errer depuis ce promontoire ne contemplera pas seulement des vues d'une grande beauté, il participera également à un mythe qui intimide et attire les hommes depuis des milliers d'années.
Pour arriver au phare, nous empruntons une petite route partant du village de Finisterre. Sur le trajet, nous aurons le plaisir de contempler des vues impressionnantes sur la ligne de la côte et la ría de Corcubión. Depuis les abords du phare, il est possible de s'approcher du cimetière municipal, un ouvrage novateur de l'architecte César Portela. Éloigné du concept traditionnel, ce cimetière est formé de formes cubiques situées au bord de mer. Cela vaut la peine de poursuivre l'ascension par le versant du mont Facho. Au sommet se trouvent les restes de ce qui était l'ermitage de saint Guillaume. Le point connu comme le « lit de saint Guillaume » mérite une attention spéciale. Il s'agit d'un espace creusé dans la roche du sol correspondant aux dimensions de l'être humain. D'après la tradition populaire, les femmes de la région venaient dans ce lieu pour demander la fertilité au saint.
(15125) Muxía - 71 Rua Virxe da Barca
PARKING JOUR ET NUIT
Prix des services Gratuit
Prix du stationnement Gratuit
Nombre de places 50
Ouverture/Fermeture Ouvert toute l'année
3.1123, -9.2191 (lat., lng)
1 Rúa Virxe da Barca
15125 Muxía,
Espagne
Endroit spectaculaire pour passer la nuit! Nous avons été seuls, avec vue sur le phare et le bruit de la mer
Muxia est un petit village de pêcheurs situé sur la célèbre Costa da Morte. Au sein d’un paysage impressionnant se trouve son port et de simples maisonnettes de pierres dans le style marin le plus pur.
Planifiez votre escapade à Muxia
Visiter la petite Muxia, si sauvage et marine, ainsi que ses environs immédiats, peut vous prendre une demi-journée ou une journée entière. Pendant le temps qui vous reste, vous pouvez choisir de parcourir la baie jusqu’à la ville voisine de Camariñas, un bon endroit pour déjeuner et acheter de l’artisanat, puis suivre la route vers le Cap Vilán.
On ne sait quand la ville de Muxía fut fondée, mais si on sait le moment où elle reçut le statut de ville (ciudad) : vers 1345. La croyance la plus consolidée est qu’elle fut fondée par les habitants de Cereixo sur des terres qui appartenaient aux moines de San Xiao de Moraime, qui donnèrent leur nom à l’ancien noyau de “munxía-monxes”(les moines), bien que d’autres affirment que le rôle le plus transcendant fut celui du comte d’Altamira (dont le lieutenant Fernán Álvarez de Carantoña possédait un palais dans la cité). En l’an 1105, la ville fut occupée par les Normands et, plus tard, par les musulmans. Le repeuplement fut réalisé par le roi Alphonse VII à partir de l’année 1119.
Tout au long de son histoire Muxía a dépendu de la pêche. Port de grande importance dans l’Europe médiévale et au XVIe siècle; Le roi Carlos I fit l’échange avec Moraime de Muxía pour un autre port, car le monarque castillan voulait contrôler Muxía pour améliorer les communications maritimes de son royaume avec l’Angleterre. Détruit au 19ème siècle par les troupes de Napoléon, Muxía a refait surface plus tard comme un grand port de pêche sur la Costa da Morte et en Galice et un exportateur principalement de sardines et de congres..
Ce très bel endroit attira l’attention internationale en novembre 2002, lorsque le pétrolier Prestige a coulé dans les eaux proches, causant la plus grande catastrophe écologique en Espagne. L’événement provoqua une vague extraordinaire de solidarité et des milliers de personnes vinrent de différentes parties de la planète pour contribuer au nettoyage de la côte.
Il y a beaucoup de choses à voir à Muxía, village de marins par excellence qui vous invite à flâner paisiblement à travers ses rues, encore préservées de la vieille ville, maisons en pierre avec galeries et patins (patí: une sorte de portique qui permet l’accès de l’extérieur aux étages supérieurs des maisons), dans le plus pur style marin.
Du patrimoine monumental de Muxía et de tous ses édifices religieux, le plus connu, situé en face de l’Atlantique est le Sanctuaire de la Virgen de la Barca, pour être un lieu de pèlerinage depuis le XIe ou le XIIe siècles. Un pèlerinage qui, le temps passant, a donné naissance à l’actuelle Romería de la Barca, qui combine des célébrations religieuses et profanes dans le village
La tradition réclame, que une fois conclus le pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle, vous devez continuer la route du Finisterre-Muxía comme dernier tronçon de “El Camino”, jusqu’à arriver à ce sanctuaire de la Virgen de la Barca. Presque depuis la découverte de la tombe de l’apôtre Jacques, certains pèlerins décidèrent de prolonger leur voyage jusqu’ à la Costa da Morte, qui était pour les anciens la pointe occidentale de l’Europe.
Au. XIIe siècle, le Codex Calixtino relie ces terres à la tradition jacobéenne. Dans le même siècle une petite chapelle-ermitage fut construite, qui au 17ème siècle deviendrait le temple actuel. A l’intérieur de l’église se trouve l’image gothique de la Virgen de la Barca, protectrice des marins, de nombreux ex-votos sont suspendus au plafond. On y voit aussi les tombeaux des Comtes de Maceda.
Depuis l’atrium du sanctuaire, vous pouvez descendre jusqu’aux célèbres Piedras del Milagro, qui symbolisent les restes du bateau de pierre dans lequel l’Apôtre serait arrivé sur les terres de Muxía. La légende dit que lorsque Santiago Zebedeo était dans les falaises, découragé par le peu de réception de sa prédication parmi les habitants, la Vierge Marie lui apparut pour lui annoncer qu’il devait retourner en Galilée parce que son travail était terminé. De ce voyage en bateau de pierre nous avons la pierre d’Abalar, qui serait la voile du bateau, la Piedra dos Cadrís, la coque du bateau inversée (qui guérit le rhumatisme et la douleur des reins si nous passons en dessous), et la Pierre du Gouvernail. La vue panoramique de la Costa da Morte depuis ce promontoire est magnifique
Parmi les monastères qui se trouvent autour de Muxía, le plus intéressant est probablement le monastère de Moraime, à 4 km de la ville, qui exerça un grand pouvoir dans la région à l’époque féodale et est actuellement à moitié abandonné. Le couvent dût être fondé vers le milieu du XIe siècle, bien que le temple actuel n’ait été construit qu’à la fin du XIIe siècle, grâce à l’aide du roi Alfonso VII qui avait trouvé refuge entre ses murs pendant son enfance, lors des luttes entre ses partisans et ceux de sa mère doña Urraca. C’est un ensemble historique fort particulier qui fut détruit plusieurs fois par des pirates ou des corsaires anglais. L’église romane de Moraime est de plan de basilique à trois nefs séparées par des colonnes et trois absides. Voyez sans faute les beaux portails romans de la façade et les fresques des péchés capitaux. Non loin se trouvent les restes d’une nécropole, romaine ou wisigothe, qui fait penser à l’existence d’une chapelle ermitage pré romane. D’autre part on y a trouvé des matériaux d’époques romaines et du bas Moyen Âge. Un calvaire dans la campagne qui entoure l’église complète l’ensemble historique artistique.
De retour en ville, on peut voir les séchoirs artisanaux pour le congre, reliés à la tradition de la pêche du village. À Muxia on a conservé les trois uniques séchoirs de congre de tous ceux qui existaient dans les temps anciens tout au long de la Costa da Morte.
L’isthme est limité par deux promenades maritimes, l’une face aux rochers du Cabo Vilan qui ferme la baie de Camariñas et de Muxia, et l’autre face au Cabo da Buitra de la Costa da Morte.
Près du sanctuaire, dominant le promontoire de As Cruces, on a placé une sculpture de grandes dimensions, au titre A Ferida (La blessure) en souvenir du désastre du Prestige.
(15001) Parking Caravanas Marina Coruña
AIRE CC PRIVÉE
Nouvelle aire camping-car située dans une marina au-dessus d'un parking souterrain avec 25 emplacements 8m*4m, eau et vidanges, sanitaires à partager avec les marins ainsi que lave-linge et sèche-linge. Vue sur le port, nuit calme et réveil au cri des mouettes. Seulement une dizaine de campers pour cette fin août, il faut dire que le tarif est prohibitif.
Prix des services Gratuit
Prix du stationnement
27 /día + 10 € adult + 7 € kind (3-12)
Nombre de places 25
Ouverture/Fermeture Ouvert toute l'année
· 43.3693, -8.3879 (lat, lng)
· Francisco Vásquez
15001 A Coruña,
Spain
De jour comme de nuit, l'ambiance est toujours au rendez-vous. Cette ville est faite pour se promener et se divertir, avec des plages en plein centre, la tour d'Hercule, qui veille, et un grand front de mer qui longe la quasi-totalité de son périmètre.
Les habitants de La Corogne sont réputés pour être de bons vivants, alors ne dérogez pas à leurs habitudes. Arrêtez-vous sur une terrasse de la Plaza de María Pita et découvrez l'histoire passionnante de cette place. Ou promenez-vous dans le quartier de Los Cantones pour admirer ses fameuses galeries en verre, de style moderniste. Si vous préférez faire du shopping, c'est l'endroit parfait, surtout si la mode vous intéresse.
Par ailleurs, La Corogne possède d'excellents musées comme celui de Bellas Artes pour l'art, la Casa de las Ciencias pour la science, le Domus consacré à l'être humain, ou l' Arqueológico, pour l'archéologie qui se trouve dans le château de San Antón. Au crépuscule, rien n'est aussi romantique et chaleureux que le jardin de San Carlos. Si vous préférez l'animation, vous pouvez vous rendre aux jardins de Méndez Núñez, en plein centre. Vous y trouverez le Kiosko Alfonso, aujourd'hui transformé en salle d'expositions. Il s'agissait autrefois d'un cinéma composé de deux salles séparées par un écran central, si bien qu'il était possible de payer une entrée moins chère... puisqu'on voyait le film par derrière...
L'une des expériences les plus inoubliables que le visiteur conservera de La Corogne et de Galice est le crépuscule qui s'offre au sommet de la tour d'Hercule.
Le soleil s'enfonce peu à peu dans le Finisterrae atlantique et son paysage de rêve. En face se trouve l'unique phare romain du monde encore en fonctionnement, accompagné d'un parc de sculptures Artabres, d'Arturo Andrade ; Breogán, de Xosé Cid ; Charon, de Ramón Conde ; Hercule et Géryon, de Tim Behrens et José Espora ; ainsi que la forêt de menhirs de Manolo Paz.
La tour a été réalisée au début du IIe s. par l'architecte de Coimbra, Cayo Sevio Lupo. L'aspect extérieur montre qu'en 1791, une rénovation a été réalisée par les ingénieurs E. Giannini (auteur des plans) et J. Elejalde.
Nous commencerons par la plaza del Obelisco, dans le centre-ville, où nous pourrons observer la vie rutilante de La Corogne en parcourant les très commerçantes Calles Real et Rego de Auga.
Celles-ci mènent à la majestueuse plaza de María Pita, place sur laquelle il est possible de contempler la très belle Casa Consistorial de style moderniste. À partir de cette place, nous pourrons gagner le cœur de la vieille ville où il est possible de s'imprégner de l'histoire la plus singulière de La Corogne.
Ensuite, nous pourrons visiter l'église romane de Santiago, du XIIe s., laquelle possède des éléments ogivaux des XIVe et XVe s. ; puis, l'évocatrice plaza de Azcárraga; la collégiale Santa María, construite entre le XIIe et le XVe s., très proche du musée d'art sacré, le Museo de Arte Sacro; ou encore la plaza et le couvent de Santa Bárbara, qui forment un ensemble d'une rare beauté.
Avant de quitter la vieille ville, nous nous rendrons au Jardin de San Carlos,à côté du musée militaire, le Museo Militar et de la Fondation Luís Seoane, un parc romantique très plaisant dans l'ancien bastion de défense (1843) qui abrite la tombe du général Moore, tombé lors de la bataille de La Corogne en 1809. Ce belvédère permet d'admirer parfaitement la ville.
Nous quitterons l'ancienne zone de La Corogne pour rejoindre les Jardins de la Real Maestranza, lieu où se trouvent des canons qui défendaient la cité. La vue sur la digue Barrié de la Maza, sur l'exceptionnelle architecture contemporaine de la tour de contrôle maritime et sur le château de San Antón est magnifique. Nous descendrons ensuite sur le front de mer pour rejoindre la tour d'Hercule. C'est un trajet d'une grande beauté offrant des panoramas sur la côte abrupte qui s'ouvre sur l'Atlantique.
Vous devez vous arrêter prés du phare romain, vous le visitez, de même que ses alentours, le bâtiment de l'ancienne prison compris, et suivez le chemin du front de mer pour arriver à l' Aquarium Finisterre, qu'il est recommandé de visiter, aussi bien pour ce qu'il renferme que pour les paysages marins qu'il permet d'admirer. Nous continuerons jusqu'à la plage d´Orzán, à partir de laquelle nous nous rendrons à pied au stade de football de Riazor, un authentique temple du sport. Les habitants de La Corogne apprécient ces dernières années les bons résultats de leur équipe. Ce lieu offre une très bonne visibilité, au loin, sur la tour ou l'obélisque du Millennium.
Arrivés à cet endroit, nous reprendrons la direction du point de départ par l'Avenida Rubine, la Praza de Pontevedra et la Calle Juan Flórez, dans laquelle il sera possible d'observer des bâtiments de style moderniste et de bénéficier d'une offre commerciale variée permettant d'acheter un souvenir de la ville.
Nous nous dirigerons ensuite vers la Praza de Ourense, en passant tout d'abord par la Praza de Lugo, la singulière place du marché rénovée il y a peu. Nous rejoindrons les Cantones de Méndez Núñez, l'une des zones les plus classiques et célèbres de la ville, et nous pourrons nous reposer dans les jardins du parc une fois le parcours terminé. Si vous avez encore envie de marcher, nous pourrons visiter les expositions des fondations situées à proximité, à savoir la Barrié de la Maza et la Centro Sociocultural A Banca A Coruña, avec un bâtiment qui est une œuvre d'art contemporain à lui tout seul, mais aussi les expositions du Kiosco Alfonso moderniste, ou encore, pour les amateurs de jeu, le Casino Atlántico.
(15405) Ferrol - Estrada Malata
AIRE CC STAT. GRATUIT
Aire de service avec une grande aire de stationnement dans une zone sportive avec vidange des eaux grises et noires et une fontaine avec un bouton pour le remplissage avec un bon débit mais difficile de brancher le tuyau
Prix des services Gratuit
Prix du stationnement Gratuit
Nombre de places 15
Ouverture/Fermeture Ouvert toute l'année
43.4930, -8.2400 (lat, lng)
Ville endurcie par des milliers de batailles, Ferrol constitue un sage mélange entre culture, élégance urbaine et militaire.
Pour s'imprégner de son atmosphère, le mieux est de faire une ballade dans le quartier de la Magdalena dont le tracé ressemble en tous points à celui d'une tablette de chocolat dans la lignée du rationalisme des Lumières, avec de merveilleux bâtiments modernistes comme le théâtre Jofre.
Si vous aimez l'histoire navale, ne manquez pas le Château de San Felipe,les forteresses, et surtout l´ Arsenal. Construit au XVIIIe s. sous l'influence des Lumières, l´ Arsenal est un complexe d'ouvrages hydrauliques et de bâtiments uniques en Europe, qui comprend le musée naval, le Museo Naval, cette visite chaudement recommandée est passionnante.
La visite du château de San Felipe est une expérience que le voyageur ne doit pas manquer. Elle le fera voyager à travers les époques passées et lui montrera l'importance que l'élément militaire a prise dans la construction et le développement de la ville.
Forteresse dans les environs de la ville, au bord de la mer, à l'embouchure de la ria. Offre des vues belles et stratégiques sur la ville et un très large panorama sur la ria.
Elle remonte à l'année 1589, lorsque la ville a reçu la visite du monarque Philippe II et de ses ingénieurs militaires. En 1732, sous la direction de La Ferrière, des travaux d'agrandissement sont réalisés ; ils seront achevés en 1775.
La meilleure façon de découvrir une ville du XVIIIe s. différente du reste des villes galiciennes. Sans se presser, le parcours peut s'effectuer à pied en une matinée.
Début...
Nous partirons du port, très proche du quai de Curuxeiras, réalisé vers la moitié du XVIIIe s. où nous pourrons apprécier l'ingénierie militaire de l'époque, qui se caractérise par une fonctionnalité et une géométrie des lignes d'une grande sobriété. À partir de ce point, nous passerons par le Paseo da Mariña pour rejoindre la Calle Espírito Santo et la Praza Vella où l'on remarquera des logements traditionnels desquels dépassent les galeries, si caractéristiques des cités galiciennes. Nous nous trouverons alors dans le Ferrol Vello, antérieur au boom urbain du XVIIIe s. avec une forte irrégularité dans le tracé des rues.
Une fois à la Praza Vella, nous irons voir la Puerta del Parque (XIXe s.),la porte du parc, qui relie cette ancienne zone de la ville à l Arsenal, un impressionnant complexe militaire construit vers 1750 d'après les plans de Julián Sánchez Bort.
À travers l'Arsenal...
À l'intérieur de l'enceinte, nous pourrons nous faire une idée de la grande importance de la marine de guerre dans la construction de la ville. Il faudra observer plusieurs éléments : la place à arcades rectangulaire qui relie à la darse ; la salle des armes, fermée au nord par la caserne d'instruction ; le dock Sino ou Campana (XIXe s.), dit du sort ou de la cloche ; le bâtiment Ferrerías ou des forges, où se trouve l'exposition permanente nationale de construction navale ; le musée naval, le Museo Naval et la bibliothèque de la zone maritime cantabrique, installés dans l'ancienne prison de San Campio. Une fois le parcours terminé, nous quitterons l'enceinte par la Porta do Dique, porte de la même époque sur laquelle les très belles armoiries de Charles III apparaissent.
Du théâtre Jofre au bâtiment du gouvernement militaire...
Nous arriverons sur la Plaza de Galicia, au théâtre Jofre, bâtiment moderniste qui fait la fierté des habitants de Ferrol. Construit au cours du troisième quart du XIXe s., son architecture est très attrayante et son programme culturel et artistique intéressant. Derrière le théâtre (dans la Calle de A Coruña) se dresse la sobre et néoclassique concathédrale de San Julián, du deuxième tiers du XVIIIe s., avec ses intéressantes sculptures et peintures à l'intérieur. Une fois la visite terminée, nous emprunterons la Calle Iglesia pour nous rendre sur l' Alameda de Suances et la Praza da Constitución, l'un des espaces verts les plus grands et accueillants de la ville où il sera possible de se reposer un moment et d'admirer le bâtiment du Gobierno Militar, ou gouvernement militaire, également du XVIIIe s., à l'origine prison municipale et aujourd'hui siège de la fondation Caixa Galicia.
Dans le quartier Esteiro...
L´ Alameda de Suances et le Cantón de Molíns constituent les restes d'une grande promenade très fréquentée qui allait à l'époque du port au quartier Esteiro. Nous poursuivons le chemin de cette ancienne promenade et empruntons la Calle Pardo Baixo jusqu'à l'élégante église néoclassique Angustias, qui date de la moitié du XVIIIe s., et qui était à l'origine une paroisse militaire. Nous prendrons ensuite la Calle Taxonera où nous pourrons jeter un coup d'œil sur la méritoire porte d'entrée de l'actuel chantier naval Navantia (moitié du XXe s.), et nous poursuivrons vers le Cuartel de Dolores, une caserne datant de la moitié du XVIIIe s., située au sommet sud du quartier Esteiro, et qui est la base du tercio nord de l'infanterie de marine. On accède par l'un de ses côtés à l' Arc de Fontelonga, restauré récemment, unique vestige des trois entrées maritimes qui permettaient d'accéder à l'ancienne ville fortifiée. En continuant la route vers le nord, à côté de la Plaza de Ferrándiz, nous trouverons l'ancienne Porta do Estaleiro, une porte de style néoclassique.
Sur le campus universitaire...
Se trouvant à deux pas du campus universitaire, cette institution est très appréciée dans la ville pour le dynamisme dont elle a fait preuve, que ce soit au niveau de l'urbanisme ou dans le champ économico-social. Le campus est situé dans l'ancien hôpital de la marine, du XVIIIe s.
À côté se dresse la Casa do Patín, de la même période, qui abrite de nos jours la bibliothèque universitaire.
Dans le quartier de la Magdalena...
Nous retournerons vers le centre en traversant l'intéressante Calle Carlos III, la seule qui reste de l'ancien quartier Esteiro créé au XVIIIe s. pour les ouvriers qui construisaient l'Arsenal, et qui a été détruit dans les années 1970. Nous passerons ensuite par Espoz y Mina, San Amaro et la Praza do Callao pour arriver dans le quartier de la Magdalena, un ensemble historique et artistique emblématique de la ville, puisqu'il s'agit d'une intervention d'urbanisme complète qui suit les lignes directrices de l'architecture géométrique et rationaliste du XVIIIe s. C'est un joyau d'urbanisme, érigé d'après des plans approuvés par Charles III en 1761, d'une forme quadrangulaire seulement interrompue par les Prazas de Amboaxe et Armas.
Nous traverserons le quartier en suivant le tracé rectiligne de la Calle Magdalena, avec de bons exemples de l'architecture civile de l'époque, comme l' Ateneo Ferrolán, et de nombreux édifices possédant des galeries. Nous suivrons la Calle Méndez Núñez qui nous mène à la Plaza de Amboaxe, celle qui conserve le mieux sa physionomie d'origine. Nous poursuivrons dans la Calle Real jusqu'au bâtiment de la direction maritime, qui accueillent les jardins de Herrera, l'obélisque de Churruca et l'église néoclassique San Francisco. Ce lieu offre l'une des meilleures vues sur la ville et la ria. Ce quartier est particulièrement pittoresque lorsqu'on le visite de nuit, avec son ambiance d'une autre époque obtenue grâce à un éclairage réussi, ses rues droites et ses plus notables bâtiments mis en valeur. Ensuite, il ne reste plus qu'à retourner au Ferrol Vello et à terminer la visite au bastion San Xoán, reste de l'ancienne muraille qui nous offre une vue nouvelle et réellement plaisante sur le port et la ria de Ferrol.
Parking : 43.552980, -7.159017
(27795) A Rochela - LU-P-0610
PARKING JOUR ET NUIT
Grand champ ouvert et une zone avec vue sur la mer.
43.5524, -7.1508 (lat, lng)
LU-P-0610
27795 A Rochela,
Prix du stationnement Gratuit
Nombre de places 20
Ouverture/Fermeture
Ouvert l'été, le reste de l'année je ne sais pas
Suivant les bords des falaises de Ribadeo, où la mer a taillé une arche de pierre connue comme la Pena Furada (Roche percée), la route continue jusqu’à l’île Pancha, avec son phare et des vues naturelles magnifiques.
Sur la côte, il est impossible de ne pas aller voir la Plage des Cathédrales, entre la ville et la municipalité de Foz. Elle porte ce nom pour la ressemblance entre ses falaises et les contreforts des cathédrales gothiques. Très caractéristiques sont ses arches de pierres et les grottes formées dans les flancs des falaises. Ce site monumental pétrifié au milieu des sables semble émerger du néant. Ses arcs peuvent atteindre 30 mètres de haut avec une épaisseur imposante. La visite de cette plage à marée basse est le meilleur moment pour la voir dans toute sa grandeur. Si la mer est haute, elle ne permettrait pas d’apprécier les sculptures œuvres de l’érosion des vagues.
(27700) Ribadeo - 19 Carretera General
#14418 - AIRE CC STAT. GRATUIT
Parking centre commercial Eroski, vidange des services, prise d'eau, station-service à la station d'essence.
43.5397, -7.0604 (lat, lng)
Prix des services Gratuit
Prix du stationnement Gratuit
Ouverture/Fermeture Toute l'année
2 km 200 à pied du port
16 mn en bus dont 800 m à pied
(27710) Ribadeo -
20 Rúa Julio Lazúrtegui
PARKING JOUR ET NUIT
Parking au sol gratuit, proche du centre ville. Nous n'avons pas passé la nuit, mais assez grand et facile d'accès.
Prix du stationnement Gratuit
Nombre de place 10
Ouverture/Fermeture Ouvert toute l'année
43.5385, -7.0440 (lat, lng)
1 km 100 à pied du port
(27710) Ribadeo
1 Avenida de Rosalía de Castro
PARKING JOUR ET NUIT
Grand terrain à côté de la gare routière. Chiens autorisés. Il n'a aucun service. Idéal pour la nuit libre. Accès au centre ville en 3 min à pied. Supermarché Gadis à proximité.
Nombre de places 100
Ouverture/Fermeture Free
43.5404, -7.0412 (lat, lng)
1 km à pied du port
Aussi dénommé “enriba do Eo” (au-dessus de la rivière Eo), Ribadeo est la capitale de la très belle région de la «Mariña Orientale» à la limite de la Principeauté des Asturies. Elle possède dans ses environs l’un des plus beaux attraits naturels de la région Cantabrique.
Planifiez votre escapade à Ribadeo
La nature et la gastronomie ont transformé ce village en une destination de vacances depuis le XIXe siècle. Visiter Ribadeo et sa zone urbaine peut vous prendre une demie journée tandis, que parcourir Castropol et l’autre rive de l’Eo peut occuper notre après-midi. Il vous faut pour le jour suivant avoir pris connaissance des horaires des marées et posséder les tickets que procurent les hôtels et le bureau du tourisme, pour aller visiter le monument naturel de la Plage des cathédrales. Autres visites possibles en une journée: la capitale historique de la province de Lugo, Mondoñedo. Vers l’est vous pouvez, apres Ribadeo, visiter les villages asturiens de Tapia de Casariego et Navia.
La ria de Ribadeo est le lien naturel qui unit le territoire galicien et les terres asturiennes voisines, sur l'autre rive. La principale localité de cette ria profonde, dessinée par la rivière Eo, est Ribadeo. La ville revêt un aspect souverain depuis la cime rapprochée du mont Santa Cruz, où a lieu, chaque premier dimanche d'août, un pèlerinage populaire, reconnu à échelle nationale pour sa consécration de la gastronomie et de la musique traditionnelles.
Le marquis de Sargadelos fut l'instigateur moderne de cette ville, dont l'édifice le plus éminent est le «pazo» (manoir) moderniste des frères Moreno. Au départ du port de Porcillán, d'origine romaine, une agréable promenade à pied conduit au phare de l'île Pancha, situé à l'entrée de la ria, en passant par les ruines du château de San Damián. Au retour, quoi de plus agréable qu'une dégustation des produits de la mer extraits de la ria, tels que bucardes, clovisses et huîtres qui, avec les saumons, truites et anguilles de l'Eo, sont les vedettes de la gastronomie locale. Sans oublier les desserts exquis élaborés par les religieuses du couvent Santa Clara.
Que voir à Ribadeo
Parlons d’abord du patrimoine archéologique: il y a beaucoup à voir à Ribadeo, rien que dans la municipalité on connaît jusqu’à huit localisations reliées à la culture des castros (VI a.c – IV a.c., villages fortifiées, maisons circulaires) aussi bien sur la côte que dans les terres: où sont particulièrement remarquables le Castro das Grobas, près de Insua, paroisse de Vilaselan ou encore dans la même paroisse, le plus ancien de Louselas, gisement paléolithique de près de 300.000 ans, probablement le plus ancien de la corniche cantabrique. L’un des vestiges les plus importants trouvé dans cette région dans le castro de Grobas est le Diadème de Ribadeo (actuellement dispersé entre le musée archéologique national de Madrid et autres musées) qui est considéré comme une pièce d’orfèvrerie très importante de la culture des castros de la péninsule et qui selon les dits des voisins aurait été trouvé par un Agriculteur de la région qui l’aurait vendu à Madrid pour une once d’or.
Quant au patrimoine religieux, le plus ancien édifice est la Chapelle de Atalaya ou de la Santisima Trinidad, qui malgré les réstaurations du XXe, daterait de 1182, du temps du repeuplement que fit le roi Fernando II. Une seule nef, arc de triomphe, presbytère et portail gothique du XIVe avec une décoration en zig-zag. À l’intérieur, un retable baroque et de curieux fonds baptismaux en forme de spirale sur une colonne gothique. La chapelle occupe une place importante dans l’histoire locale, d’abord comme bastion défensif (comme le disent les canons installés là) et aussi parce que c’est là que plus tard se réunissaient l’assemblée ouverte des communes et aussi les anciennes corporations. Depuis sa situation pittoresque on jouit de merveilleuses vues panoramiques sur la ria de Ribadeo et les villages de la rive asturienne.
Deux autres édifices religieux emblématiques sont le sanctuaire das Virtudes (XIVe) avec un certain nombre d’éléments médiévaux et des peintures murales, et le Couvent de Santa Clara avec une nef unique du XVe et un cloître du XVIIIe.
Comme patrimoine civil, vous avez les Pazos (manoirs) concentrés dans la ville. L’un des plus anciens étant le Pazo de Cedofeita, fondé par Lope Garcia de Cedofeita entre la fin du XVe et début du XVIe, construit entièrement en ardoises avec les coins et linteaux de granit, entouré d’une muraille. Au XVIIIe fut construit dans le centre le néoclassique Pazo de Ibañez, résidence du Marquis de Sargadelos (qui fit beaucoup pour la ville au XXe), siège actuel de la Mairie.
Au XXe siècle, l’édifice le plus représentatif de Ribadeo fut construit: La Tour de los Morenos (1905), Pedro et Juan Moreno Ulloa, deux frères qui émigrèrent en Amérique et y firent fortune. D’architecture «indiana», style éclectique et décoration moderniste la tour attire l’attention par sa coupole au toit (céramique émaillée soutenue par quatre cariatides) qui la couronne, symbole de la noblesse de l’immeuble et de ses promoteurs clairement reliés à la Maison des Punxes (1903-1905) de Josep Puig i Cadafalch.
Tour des Moreno
Du patrimoine militaire, nous signalerons le Château, ou Fort de San Damian (débuts du XVIIe), situé sur l’embouchure de la ria il devait défendre le port. Le Marquis de Cerralbo en ordonna la construction. C’est actuellement le musée municipal avec des contenus archéologiques et des salles pour usage culturel, conservant de son passé le mur extérieur avec le bastion, les canonnières, le fossé et les contreforts. Un parc public entoure l’édifice.