San Sebastien

Il y a beaucoup de choses à voir à Saint-Sébastien, et le mieux, c’est qu’étant une ville assez petite, tout est à portée de main. La plupart des attractions touristiques peuvent être visitées à pied, ce qui constitue le principal attrait de la ville.

1 - Sa principale attraction est sans aucun doute la vieille ville. Ses rues sont pleines de charme et il est situé dans une enclave unique à côté du port et du Paseo Nuevo, que vous ne pouvez pas manquer..

La nouvelle promenade

de St-Sébastien est une ballade fabuleuse qui borde toute la montagne Urgull. Depuis l’Aquarium, elle fait tout le tour , par-derrière de la montagne Urgull et termine à l’autre extrémité de la vieille ville, à côté du Kursaal. C’est une des promenades des plus belles et tranquilles de toute la ville vu que la ballade longe tout le long de la Baie de la Concha et la mer Cantabrique.

Nouvelle Promenade

La promenade peut se faire en 40 minutes, à pied, tranquillement, si nous partons du port et faisons tout le tour jusqu’au Kursaal. Les voitures peuvent aussi y circuler bien que ce soit un quartier très calme pour se balader, sans aucun risque pour les enfants vu que la densité de la circulation est pratiquement nulle. C’est l’endroit idéal pour trouver une place et garer votre voiture et profiter d’une belle visite du centre de St-Sébastien.

La nouvelle promenade est devenue célèbre grâce aux images que l’on voit à la télévision et des milliers de photos qui circulent sur Internet, de ces vagues impressionnantes qui frappent le rempart de la promenade, quand les marées sont agitées et forment ces puissantes vagues qui déferlent avec force et nous offre un fantastique et merveilleux spectacle, qui peut être dangereux si les mesures de sécurité ne sont pas respectées. Le Peigne du Vent(el peine del viento) est un des endroits les plus propices pour pouvoir profiter de ce spectacle maritime.

Le long de la nouvelle promenade, nous pouvons rencontrer une sculpture très connue de Jorge Oteiza. À côté de cette sculpture, vous trouverez un parking extérieur où garer votre voiture afin d’effectuer la visite de la promenade, du port ou de la vieille ville. Ce parking est payant mais à la différence d’autres rues de St-Sébastien, il est possible d’être garé sans ce parking beaucoup plus longtemps que dans un autre.

Le vieux quartier

Si il ya un endroit où les touristes et les habitants locaux se rencontrent, c’est le Vieux Quartier. Se promener dans la vieille ville est une activité que chaque visiteur à Donostia doit effectuer et , au même temps , l’une des principales choses à faire à San Sebastian.

Le vieux quartier

La vieille ville est placée juste derrière l’Hôtel de Ville de San Sebastian , entre le port et le fleuve Urumea . Elle est entourée par l’arrière par le mont Urgull . Cette zone de San Sebastian a été fortifiée pendant une longue période de temps dans le passé. Il n’ya pas longtemps , lors de la construction du parking souterrain du Boulevard , quelques fragments de la forteresse, oubliés il y a longtemps, ont été retrouvés et ce fut nécessaire d’adapter la construction du stationnement afin de préserver les vestiges des murs, qui peuvent être vus dorénavant à l’intérieur du parking. Au cours du temps, les murs ont disparu pour donner plus d’espace pour une ville qui a s’est épandue constamment vers l’intérieur .

Dans la vieille ville , on peut trouver deux des trois églises majeures de San Sebastian : l’église de Santa Maria et l’église de San Vicente. En dehors de ces deux églises qui valent certainement une visite, la vieille ville se distingue par ses célèbres bars de pintxos . Il n’est pas étonnant que de plus en plus de touristes chaque jour viennent dans les bars à Donosti avec brochures et revues sur les différents pintxos qu’ils peuvent commander . La prestigieuse gastronomie a causé beaucoup de ses bars à apparaître dans les magazines bien considérés, avec des conseils sur les bars il à visiter et ques pintxos goûter.

Parmi tous les bars de pintxos que vous pouvez trouver dans la vieille ville, les suivants son fortement recommandés:

– Astelehena

– A Fuego Negro

– Goiz – Argi

– Gambara

– La Cuchara de San Telmo

– Paco Bueno

– La Cepa

– Gandarias

– Borda Berri –

Et , tout en plus , vous allez rencontrer de nombreux bars où surement les délicieux pintxos ne vous décevront pas.

Une autre visite que vous ne pouvez pas manquer à la vieille ville est la Plaza de la Constitución (Place de la Constitution) , aussi connue comme la « Consti ». C’était une ancienne arène de corridas de taureaux dans le passé, et les chiffres dans chacunes des fenêtres de chaque maison le prouvent. Ces chiffres ont marqué les boîtes à l’intérieur de l’arène.

Finalement, le musée de San Telmo mérite aussi une mention : c’est un ancien monastère dominicain du 16ème siècle qui a été rénové récemment et mérite sans aucun doute une visite.

L’église de Santa María

 du choeur de St-Sébastien est l’une des églises les plus charismatiques de la ville. Les gens lui témoignent beaucoup d’affection, aussi bien les croyants que les non-croyants, vu qu’elle fait partie prenante de l’histoire de St-Sébastien.

Histoire de Santa Maria

Basilique de Santa María

Le commencement de sa construction, telle qu’elle est de nos jours, remonte à 1743. Antérieurement, il existait déjà cette église, au même endroit, mitoyenne aux murs des fortifications de la ville. Son design fut attribué à Pedro Ignacio de Lizardi, bien qu’influencé aussi par Miguel de Salezán et Domingo de Yarza. Le 27 avril de cette année, a été posée la première pierre, étant l’un des évènements les plus populaires de la ville et jours de fête pour tout le monde à St-Sébastien. Les travaux ont duré 21 ans jusqu’à ce qu’en 1764, ils se sont achevés.

L’église de Santa María a été construite à l’angle de la rue Mayor et celle de la Trinidad, lesquelles ont brillé de leurs plus beaux atouts, le jour de l’inauguration. À l’heure actuelle, ce qui attire l’attention est que, de la porte de l’église, si vous regardez juste en face, vous arriverez à voir, à l’autre extrémité de la ville, jusqu’à la porte de la cathédrale de Bon Pastor (du bon pasteur), car elles sont situées l’une en face de l’autre, sans aucun édifice entre les deux.

L’église de San Vivente

 est l’une des églises les plus caractéristiques de St-Sébastien. Située dans la vieille ville, elle a été édifiée entre le XVe et le XVIe siècles sur un vieux temple qui avait été dévasté par les flammes, étant cette construction finale que nous pouvons voir de nos jours.

San Vicente

Pendant longtemps, l’église de San Vicente a été dépendante de l’église de Santa María, qui était considérée comme la matrice de la villa. Ce n’est qu’en 1940, que l’église a pu se gérer de façon autonome, bien que son détachement avec la villa date de 1576, et ainsi effectuant l’assignation de ses paroissiens dans l’une ou dans l’autre.

L’église telle que nous la connaissons aujourd’hui, a été construite par l’architecte Miguel de Santa Celay et Juan de Urrutia. C’est une église de style gothique tardif. Bien que le projet n’ait pas été complètement finalisé, comme on peut s’en rendre compte si l’on observe l’inachevé mur de fermeture nord, on peut dire qu’elle a été construite presque entièrement.

Vous trouverez un étage de 3 nefs, un croisement aligné avec les nefs latérales, l’abside octogonale, des voûtes croisées soutenues, à l’intérieur, par des colonnes de centre circulaire avec des petites colonnes mitoyennes et à l’extérieur par de puissants contreforts et arc-boutants. Par la suite, se sont construit : le portique baroque (Domingo Zaldua, 1619), la sacristie (Juan de Umbarambe, 1666) et l’escalier du choeur (1784).

De l’église, nous pouvons souligner le maître-autel de San Vicente (1586), une oeuvre d’Ambroise de Bengoechea avec la collaboration de Juanes de Iriarte. L’autel se compose d’un piédestal duquel s’élève un banc décoré de panneaux illustrant les scènes de la passion du Christ.

À gauche du presbytère, se trouve l’autel du sanctuaire, qui rassemble des pièces provenant d’autres autels, et à droite, un autel néoclassique, duquel on remarque un médaillon de la Sagrada Familia(sainte famille). Il faut aussi souligner un autre autel, surnommé l’autel des âmes, une oeuvre de Felipe Arizmendi et plusieurs étapes de la semaine sainte (Pâques): l’Ecce Homo, la douloureuse (dans le baptistère), la descente du Christ et son agonie.

Les tours (Echeveste, 1856) et l’orgue (Cavaillé-Coll, 1868, agrandi en 1893) sont du XIXe siècle. En 1892, une façade orientale a été ajouté au baptistère semi-octogonal et se sont fermés l’atrium et la porte sud, formant de nouvelles portes de fermeture. En 1923, ce sont ouvert 4 rosaces sur les façades grâce à un legs du Duc de Mandas

La place de la Constitution

 est le coeur de la vieille ville. C’est la place principale de toute la ville, où siègent toutes les festivités et célébrations de la ville, comme par exemple, la levée du drapeau, le 20 Janvier, un grand jour pour la ville, ou encore la fête de Saint Thomas où sont disposés plusieurs stands de Chistorra dans divers points stratégiques de la ville (la place de la Constitution reste la plus populaire).

Place de la Constitution

La construction de la place de la Constitution, plus connu par tous les Donostiarras comme “la place de la Consti”, date de 1817 et son architecte est Ugartemendia, une des plus importantes personnes qui a participé à la reconstruction de St-Sébastien après l’incendie tant dévastateur de 1813.

Juste à l’entrée de la place, les numéros que l’on peut voir à chacune des fenêtres des maisons qui donnent sur la place, nous attirent l’attention. Ces numéros font référence à ces tribunes d’arènes d’autrefois, qui sont aujourd’hui ces maisons. Après la construction d’une autre arène plus grande, en ville, la place de la Constitution a cessé d’être une place d’arène, mais les numéros sont toujours présents, à chacune des fenêtres, comme les témoins de l’anecdote.

Aujourd’hui, la place que nous connaissons, nous laisse découvrir quelques commerces, quelques bars avec leurs terrasses donnant sur la place, l’endroit idéal pour déguster un bon verre de vin, tranquillement, loin des foules qui se forment généralement dans certains bars à la mode dans la veille ville de St-Sébastien.

Visiter l’hôtel de ville et le boulevard

L’hôtel de ville est un très beau bâtiment qui mérite d’être visité. Il est préférable de faire le tour du bâtiment pour le voir dans son intégralité. Par exemple, il est frappant de constater que l’entrée principale par laquelle les citoyens peuvent entrer se trouve à l’arrière.

Le boulevard est une avenue piétonne qui sépare la vieille ville du reste de la ville plus récente. Le «kiosque» central et les jardins qui ornent toute la longueur du boulevard sont frappants.

Plage de la Concha

Des trois plages principales de St-Sébastien, la plage de Concha est la plus célèbre. Elle est connue non seulement en Espagne mais aussi dans pleins d’autres endroits dans le monde entier, elle a été de nombreuses fois citée et représentée dans des magazines de voyage et reconnue comme l’une des plus belles plages du monde.

Dans le coeur de San Sebastian

Plage de la Concha

Sa fusion en parfaite harmonie avec le centre-ville fait de cette plage un lieu très spécial. À côté de celle-ci, se trouve la mairie de la ville, l’avenue la plus importante de St-Sébastien ou même le vieux quartier Donostiarra, qui, comme nous l’avons déjà dit, son emplacement et sa fusion avec la ville sont parfaits. La plage est comme engloutie à 5 mètres du reste de la ville qui sont séparés par la promenade maritime de la Concha, qui est le lieu le plus fréquenté n’importe quel Week-end ensoleillé.

Au centre de la baie de la Concha, se trouve l’île Santa Clara, un petit îlot, symbole de la ville, qui à côté du mont Igueldo d’une part, et le mont Urgull, d’autre part, nous offre comme un tableau artistique incomparable et sujet d’une multitude de photos de carte postale.

La plage de Concha a une longueur de 1350 m. et une largeur moyenne de 40 m. en fonction de la marée. La superficie totale de la plage est de 54 mètres carrés, étant la plus petite des trois plages.

Se trouvant au sein même du centre-ville, s’y rendre en voiture reste quand même un peu compliqué. Dans ses environs, vous trouverez 4 parkings (celui du boulevard, celui de la Concha, un autre à San Martin et enfin celui du buen Pastor) qui vous faciliteront le stationnement, bien que les week.end ensoleillés, ils peuvent être pleins.

Cette plage en été, offre des services de sauveteurs, de toilettes, de cabines pour se changer, de douches, location de stores, de bars…

la plage d’Ondarreta

Le Palais Miramar

St-Sébastien(ou Donosti), dans le passé, a été étroitement lié aux vacances d’été de la Maison Royale. Depuis de nombreuses années, la famille royale a passé ses vacances d’été à St-Sébastien, pour ses plages et son climat. Ce fut d’abord la reine Isabel II qui avait décidé de passer ses étés à Donostia, pour prendre des bains dans le golfe de Gascogne, qu’elle aimait tant. Des années plus tard, c’est la reine Maria Cristina qui avait renforcé les liens entre la famille royale et St-Sébastien. Après être devenue la veuve d’Alfonse XII, elle décide de passer chaque été dans cette ville.

Palais de Miramar, la résidence de la famille royale

Palais Miramar

La famille royale n’avait pas de résidence officielle pendant ses séjours à St-Sébastien, pour cette raison, ils avaient décidé d’acheter une propriété dans le comté Moriana, situé dans la partie supérieure de Miraconcha, avec ses vues enviables et dans laquelle se trouvait l’ancien monastère de St-Sébastien. À cette propriété, se sont ajoutés des terrains où se trouvait la vieille église, qui fut déplacée jusqu’à son emplacement actuel, juste au début, de ce qui est aujourd’hui, la rue Matía, sur la place Alphonse XIII. Outre ces deux grands terrains, la propriété s’est agrandie avec l’achat d’autres petits terrains. Le bâtiment principal de la propriété a été confié à l’architecte Selden Wornum.

Le palais put être inauguré en 1893, avec une petite extension faite en 1920. L’étendue des jardins arrivant presque jusqu’à la mer, il a été nécessaire construire un tunnel pour maintenir la communication entre le l’ancien quartier et le reste de la ville. Ce tunnel a aussi été construit pour que puisse passer le tramway de la ville. De nos jours, c’est la route principale qui y passe, en traversant toute la promenade de la Concha jusqu’au vieux quartier.

En 1929, après la mort de la reine Maria Cristina, le palais est passé aux mains d’Alphonse XIII, qui à son tour, a été exproprié 2 ans plus tard et passe à être une propriété de la mairie de St-Sébastien sous la condition que le palais serve de résidence au Président de la République lors de ses visites en ville.

Pendant les années du franquisme, le palais de Miramar a été restitué à la famille Royale, plus exactement, aux enfants d’Alphonse XIII, et en particulier, à son fils Juan de Borbón.

De la superficie totale occupée par le palais de Miramar, plusieurs parcelles ont été vendues, à différentes périodes, afin de construire des logements, de ce fait, sa superficie est passée de plus de 80.000 m2(superficie initiale) à 34.136 m2.

En 1972, le terrain a été acquis par la mairie de la ville, faisant porte ouverte à tous les citoyens comme s’il s’agissait d’un parc en plus, en ville. Le bâtiment qui était autrefois la résidence de la maison Royale, est aujourd’hui le siège de Musikene (Top Music Center du Pays Basque) et accueille les cours d’été de l’Université du Pays Basque.

Le Peigne du Vent

est l’une des oeuvres des plus connues du sculpteur Eduardo Chillida et une des plus célèbres, dans toute la ville. Il s’agit d’un ensemble de sculptures construites sur une oeuvre architecturale du très grand Luis Peña Ganchegui, et tout cet ensemble forme , comme nous l’avons déjà dit, un paysage très caractéristique de la ville.

L’histoire du Peigne du Vent

Peigne du vent

L’oeuvre a été réalisé en 1976, année, d’ailleurs, durant laquelle, il n’y a eu aucune inauguration officielle, et ce n’est qu’en 2007, que la mairie de la ville a bien voulu fêter le trentième anniversaire de l’oeuvre et ainsi rendre hommage à Chillida et à toute sa famille.

Il est situé à une extrémité de la plage Ondarreta, juste dans les jupes du mont Igueldo, étant visible pratiquement depuis toute la baie de la Concha.

 

L’ensemble de l’oeuvre se compose de 3 sculptures en acier sous des formes incurvées. Elles sont directement incrustées dans la roche, elles ont un contact direct avec la mer dans une région où les vagues et le vent frappent avec force. La forme du peigne distordu que certains peuvent voir dans ces sculptures, ajouté à ce vent qui fouette toute la région donne le nom à cette oeuvre.

Peigne du vent Chillida

Pour pouvoir placer les Lourdes sculptures, qui pesait jusqu’à 10 tonnes chacune, Eduardo a demandé la collaboration de l’Ambassade Americaine pour qu’elle lui prête plusieurs hélicoptères. Face à la réponse négative de l’Ambassade, Chillida a dû recourir à José Elósegui, qui lui a construit un pont avec des rails qui se projettent dans la mer et qui ont permis d’atteindre l’emplacement exact de ses oeuvres.

Parallèlement à l’oeuvre de Chillida, le lieu a été aménagé d’un tunnel souterrain par lequel entre l’eau avec force quand la marée haute est déchainée et expulse des grands jets d’eau vers le ciel à travers des trous prévus à cet effet, fait que l’oeuvre de Chillida est non seulement une attraction visuelle pour les plus âgés, mais aussi pour les plus jeunes , qui savent également apprécier cette oeuvre.

Après avoir visité la Peine, la meilleure chose à faire est de prendre le funiculaire (qui se trouve juste derrière le Real Club de Tenis) et de monter au sommet du mont Igueldo pour profiter de la meilleure vue de Donosti.

Le funiculaire du mont Igueldo

Sans aucun doute, l’attraction la plus emblématique et, non pas parce qu’il fait partie du parc, c’ est bien sûr, de Monter dans son charismatique funiculaire, jusqu’en haut. Il a été inauguré le 25 août 1912, devenant ainsi le troisième funiculaire le plus ancien d’Espagne. Le point de départ du funiculaire est tout en bas du mont et il vous emmène jusqu’au parc d’attractions. Le trajet dure à peine quelques minutes, et en plus vivement recommandé (beaucoup mieux que de monter en voiture). Vous pourrez sans problème, garer votre voiture dans le parking qui est juste à l’entrée du funiculaire.

Le funiculaire du mont Igueldo

Pour aller au funiculaire, vous devez prendre en direction du mont Igueldo et prendre le tournant à droite, quand vous arrivez à la bifurcation où vous devez monter, ou bien sur la droite ou sur la gauche. Si vous voulez aller au parc d’attractions en voiture, prenez à gauche, c’est mieux.

Le prix du billet aller-retour est de 2,30 euros pour les adultes, et 1,70 euro pour les enfants, jusqu’à 7 ans.

Monter au sommet de l’Igueldo est l’une des principales choses à faire à St-Sébastien. Tout en haut du mont, vous découvrirez les meilleures vues de la ville.

Le mont Igueldo

est l’une des montagnes qui se démarquent au sein de la ville. Situé à une extrémité de la plage Ondarreta, il est considéré comme un des endroits les plus emblématiques de la ville et depuis celui-ci, vous pourrez sans doute observer les meilleures vues de toute la ville.

Mount Igueldo

Au sommet du mont Igueldo, se trouve le parc d’attractions de St-Sébastien, un parc emblématique, non pas pour ses attractions modernes, mais pour son histoire et ses attractions caractéristiques, qui fonctionnent depuis des années. Comme je vous le disais, les attractions de ce parc ne sont pas particulièrement spectaculaires mais elles sont gorgées d’histoire, comme la montagne Suisse, rebaptisée par d’autres comme la montagne russe, qui donne une panique quand vous y montez, mais pas à cause des toboggans en pente, sinon pour l’historique charriot en bois, qui t’emmène le long du petit trajet.

Tout a commencé en 1911, quand fut construit un casino à ce même endroit. Plus tard, en 1925, cet endroit s’est converti en un lieu élégant où se célèbraient des bals illustres. Ensuite, il a été transformé en parc d’attraction , que nous connaissons aujourd’hui. Ce qui fut autrefois le casino, est de nos jours le fameux hôtel Monte Igueldo, probablement l’hôtel avec les meilleures vues sur la ville.

La cathédrale du Bon Pasteur

 est l’un des symboles de la ville. Il a été construit par l’architecte Manuel de Echave, achevant son oeuvre en 1897. Bien que les travaux aient été suspendus pendant 2 ans, par manque de moyens, ils leur a fallu seulement 9 ans pour la terminer. C’est en 1888 qu’a commencé sa construction sur des terrains cédés par la mairie avec l’effet et l’objectif de desservir cette partie de la ville qui s’était étendue par le connu élargissement d’Amara. À la pose de la première pierre, a été invitée la famille royale espagnole qui venait très souvent passer l’été dans la ville.

La cathédrale du Bon Pasteur

La cathédrale a été construite avec des pierres de grès apportées directement du Mont Igueldo de la ville. La cathédrale dispose d’un étage rectangulaire et symétrique, de croix latine avec trois nefs. Il s’agit d’une oeuvre néogothique qui attire l’attention de tous ceux qui la visitent.

La cathédrale du Bon Pasteur a souffert 2 grandes rénovations tout au long de son histoire. La première a eu lieu en raison d’avoir élu le Bon Pasteur comme siège du diocèse local, commençant ainsi 4 années de travaux et réformes pour adapter le temple à son nouvel usage diocésain. La seconde a eu lieu en 1972, coïncidant avec le 75e anniversaire de la cathédrale. À cette occasion, une grande partie de l’église a été restaurée, le toit, les vitrages, et le plancher en bois a été substitué par un sol en marbre, beaucoup plus élégant et en accord avec notre temps. L’illumination et le mobilier intérieur ont été quelques-unes des modifications réalisées à l’intérieur de la cathédrale.

La cathédrale a une superficie de 1.915 mètres carrés et une des tours atteint 75 mètres de hauteur. Léglise peut accueillir 4.000 personnes.

L’orgue de la cathédrale

L’orgue est l’un des biens précieux et plus importants de la cathédrale. Sa construction date de 1954, et il est très souvent dit que c’est l’un des orgues les plus grands d’Europe et bien évidemment, le plus grand d’Espagne. L’orgue dispose de 5 claviers pour les mains et un pour les pieds. Il a également 9.535 tubes dont un mesure 10 mètres de longueur. Toutes ses caractéristiques font de l’orgue de la cathédrale du Bon Pasteur quelque chose d’unique et remarquable.

Le Kursaal

c’est le grand palais des congrès et d’expositions où jadis se trouvait l’ancien casino de St-Sébastien. Pendant un certain temps, il fut une parcelle vide, inexploitée, jusqu’au jour où il a été décidé de construire le palais des congrès. L’oeuvre a été commandée à Rafael Moneo, oeuvre d’ailleurs qui a longtemps souffert de polémiques dues au contraste entre l’oeuvre d’architecture et les autres monuments de la ville. Avec le temps, peu à peu, les gens se sont habitués, à tel point, qu’aujourd’hui, il représente l’un des monuments les plus caractéristiques de la ville.

Palais des congrès

Le Kursaal

Le Kursaal dispose d’un grand auditoire, d’une grande salle de réunion et d’autres salles polyvalentes ou d’expositions. Il est souvent utilisé pour organiser de grandes conférences, des expositions ou des concerts de style très différents, qui vont du classique au Pop Rock. Mais à part de toutes ces activités qui se déroulent au Kursaal, la plus connue et reconnue dans le monde entier est celle du Festival du film de St-Sébastien, vu qu’il siège là depuis son inauguration en 1999.

Le Palais des Congrès Kursaal est composé de deux grands cubes en verre translucide, un grand et l’autre petit, construits juste à côté de la plage de la Zurriola et qui ressemblent à deux gros rochers incrustés.

Le coût total des travaux a dépassé les 50 millions d’Euros, beaucoup plus de ce qui avait été prévu au budget initial, tout ceci a fait que la construction du palais, unie à une esthétique ultramoderne a provoqué beaucoup de discussions et de nombreuses polémiques.

L’édifice a remporté de multiples récompenses pour son étrange design et pour son innovation dans le monde de la construction. Sa structure en verre translucide permet de l’illuminer dans des couleurs très différentes selon l’évènement ou la saison dans laquelle on se trouve. De cette façon, à Noël, la décoration est composée de motifs de Noël, d’étoiles, de boules de couleurs…quand c’est l’époque du Carnaval, c’est généralement décoré avec des lumières de couleurs différentes, ou bien le 20 Janvier, qui est le jour de St-Sébastien, le jour où s’affiche le drapeau de la ville.

La plage de Zurriola

 anciennement connue comme la plage de Gros, est aujourd’hui une plage plutôt fréquentée par la jeunesse et les gens qui vivent dans le quartier du Gros.

 

Il y a longtemps déjà, cette plage était très fréquentée, mais depuis sa rénovation en 1994, elle est encore plus bondée qu’avant, c’est une importante enclave en plein centre-ville, à laquelle accourent beaucoup de jeunes gens faire du sport et en particulier pour pratiquer le surf.

Les caractéristiques de cette plage font que c’est un lieu idéal pour surfer, et de ce fait, tout le long de l’année, sont organisés d’importants championnats.

La partie un peu plus tranquille de la plage se trouve dans une digue, sur la gauche, qui fait le bonheur des gens âgés et des enfants. La partie droite de la plage, qui se trouve près du mont Ulia et la partie de Sagües, est un endroit plus jeune, avec ses pistes de volley-plage et où se donnent rendez-vous tous les surfistes. C’est aussi la zone la plus dangereuse pour les baignades due aux vagues qui s’y forment et aux marées qui peuvent vous entrainer.

Il est clair que pour vous baigner tranquillement, nous vous conseillons les plages de la Concha et Ondarreta, se trouvant dans la baie, elles sont beaucoup plus tranquilles, mais de toute façon, si à la plage de Zurriola, la mer est tranquille, il n’y a aucun problème, non plus.

La plage a une longueur de 800 m. et une largeur de 110 m., il n’est donc pas très difficile trouver une place. La superficie totale de la plage est de 88. 000 mètres carrés.

Escalader le Mont Urgull

Si vous avez déjà escaladé le Monte Igueldo, vous pouvez penser que cette autre ascension est trop difficile pour vous, mais rien n’est moins vrai.

Le mont Urgull, contrairement à Igueldo, est une promenade de 20 minutes, mais elle en vaut la peine, tant pour la marche que pour les vues du sommet.

Au sommet, vous trouverez la grande figure du Sacré-Cœur ainsi que les anciens murs et canons qui protégeaient la ville.

L’accès à Urgull peut se faire de plusieurs côtés. Nous vous recommandons de monter depuis l’accès entre le port et la vieille ville, en montant quelques escaliers au début, ou depuis l’arrière de la montagne si vous partez du Paseo Nuevo, en montant une pente que vous verrez facilement à la fin de la promenade.

Orio

LE VILLAGE JAUNE

Sur la rive droite de l’embouchure de la rivière du même nom, s’étale Orio, un village de maisons de marins où le jaune est omni présent. C’est la couleur de la traînière de Orio, la plus célèbre de la mer Cantabrique. De plus, Horia veut dire jaune en basque. Sa plage et la proximité du Parc Naturel de Pagoeta et de Saint Sébastien sont d’autres attraits pour une escapade.

Orio est un petit village de pêcheurs qui est devenu une destinée touristique après l’urbanisation de sa zone de plage et l’amélioration de son raccord avec l’autoroute. Elle possède un centre ville ancien intéressant

HISTOIRE DE ORIO

Orio n’était au début qu’un petit village de pêcheurs dépendant de la juridiction de Saint Sébastien depuis 1180, année où la capitale de Guizpucoa reçut la Chartre de  Peuplement. L’histoire de Orio a toujours été reliée à sa condition de lieu de passage important pour les pèlerins qui suivaient le Chemin de Saint Jacques de Compostelle. Entre Saint Sebastien et Zarautz, c’est pour eux que fut construite une chaussée qui résiste encore aux attaques du temps, et qui leur permettaient de ne plus traverser la ria en barque et de ne plus avoir à payer un Maravedi.

Pour développer le village en tant que port, en 1379, Juan I de Castille lui octroya une Charte de Peuplement au nom de Villareal de San Nicolas de Orio en la soumettant aux Droits de Saint Sebastien. Dès lors, l’histoire de Orio se confond avec celle de son port. Depuis les eaux de son bassin, chaque année partait une flotte importante de navires baleiniers pour l’île de Terreneuve et la péninsule du Labrador au Canada où ils restaient plusieurs mois pour pêcher la baleine. La vente de l’huile provenant de ces cétacés rapportait chaque année à Orio des bénéfices économiques qui s’investissaient dans le développement de son port et de la ville. Bien dans la tradition des villages marins de la côte basque, Orio a toujoure été un point où la mer et la pêche ont pesé plus que n’importe quel autre aspect social ou économique. Actuellement, la pêche en haute mer a  pratiquement disparu, mais il subsiste toute une flottille  de pêche côtière qui se consacre surtout à la pêche de la dorade. Dans la ria même, il est fréquent de capturer des anguilles.

Pendant longtemps le port de Orio avait d’importants chantiers navals qui fabriquaient des galions pour la marine royale. Au XIXe siècle, le sable envahit peu à peu la ria, ce qui la rendit impraticable pour des navires de fort tonnage ce qui obligea la fermeture des chantiers.

QUE VOIR À ORIO

Orio est un petit village de pêcheurs très fréquenté en été. Il est situé dans un lieu où la mer, la montagne et l’embouchure de la rivière Oria, se confondent. Son Centre Historique a été déclaré Bien d’Intérêt Culturel. Il est petit mais accueillant et sentant bon l’antique. Plus connu comme Goiko Kale, il date du XIIe siècle. Ses ruelles pavées grimpent et descendent selon un tracé irrégulier, parfois de labyrinthe. En nous y promenant, nous nous heurterons avec plusieurs œuvres du sculpteur Jorge Oteiza, né dans cette ville  qui lui a donné le titre de Fils Préféré.

l’église Paroissiale de San Nicolas de Bari, 

Dans notre descente par la Kale Nagusia, nous atteindrons la masse imposante de l'église San Nikolas, une œuvre de style Renaissance, des XVIe et XVIIe siècles, construite sur une église antérieure du XIIIe siècle. Elle se dresse sur une grande plateforme en partie soutenue par de puissants arcs qui reposent sur de gros piliers. Notre attention est attirée par un grand atrium entièrement couvert qui fait tout le tour de l'édifice, à la manière d'un chemin de ronde.

De style baroque, construite au début du XVIIe, sur les restes d’un édifice antérieur que l’on peut encore apprécier.

Sur son retable une image de son saint patronyme patron des  marins.À l'intérieur, sa richesse artistique réside principalement dans l'autel consacré à Saint Nicolas de Bari, saint patron protecteur des voyageurs et des pêcheurs.

Il y a beaucoup à voir et visiter à Orio  Du patrimoine local d’architecture sont La Casa Kolontxki  et La Chapelle de San Martin de Tours,  qui est au passage du Chemin de Saint Jacques, au haut du village, d’où on a des vues magnifiques.

Zarautz

 Destination touristique par excellence, Zarautz possède d'innombrables attraits, c'est une ville captivante pour le visiteur.

La ville offre un service hôtelier et un vieux quartier historique de grand intérêt du point de vue artistique et architectural, ainsi qu'un espace naturel d'exception. Baignée par le Golfe de Gascogne, Zarautz est située dans la région d'Urola Costa.

Sa vaste plage, flanquée des falaises de Santa Bárbara et de Mollarri, s'étend sur 2500 mètres et est longée par une promenade très fréquentée, pleine de terrasses et de cafés. L'image des auvents colorés et son sable exceptionnellement fin et doré font d'elle l'une des plus belles plages de toute la côte basque. Elle est ouverte à la mer et ses vagues spectaculaires servent de réclame à des milliers d'amateurs de surf. De fait, Zarautz accueille en septembre un championnat inscrit dans le circuit mondial. À l'est de la plage, au bout de la promenade, près de l'embouchure de la rivière Iñurritza, commence une zone de dunes, la plus étendue du littoral de Gipuzkoa, classée biotope protégé. Une passarelle nous permet de visiter cet espace naturel qui sert d'abri à de nombreuses espèces d'oiseaux.

Quartier historique

Le vieux quartier, rempli de bâtiments et de monuments pittoresques, est l'une des zones les plus fréquentées de la ville. Il faut signaler l'église paroissiale de Santa María La Real, les couvents des Pères Franciscains et des Clarisses, le palais de Narros, la grande tour Torre Luzea, la maison-tour Casa Torre, de la famille Zarauz, la maison Casa Dotorekua et la maison Casa Portu (l'actuel hôtel de ville).

Zarautz dispose d'un large éventail d'hébergements et de services hôteliers, où le visiteur pourra déguster le meilleur de la gastronomie locale. Le poisson est la base des plats typiques zarauztarras, mais elle tourne ausi autour des produits provenant des potagers des fermes des environs. Tout cela accompagné d'un bon txakoli, le vin blanc frais et léger de la région, d'appellation d'origine contrôlée.

Il s'agit d'une ville hospitalière, moderne et tranquille. Zarautz jouit d'une ambiance exceptionnelle

L’histoire de Zarauz

 commence avec sa fondation en 1237 par le roi castillan Fernando III, selon le plan côtier d’organisation de ports de pêche et commerciaux sur tout le littoral basque. Cependant bien longtemps avant y résidait déjà la famille noble qui donna son nom au village et dont l’écu d’armes de la porte du Palais de Narros rappelle l’importance «Les Zarauz furent antérieurs à Zarauz»

L’économie de Zarauz dépendait fondamentalement de la pêche, en particulier la pèche à la baleine, mais la crise du secteur au XVIe siècle obligea ses habitants à chercher d’autres activités comme l’agriculture, le textile, le métal et les constructions navales. Mais on ne peut affirmer avec certitude que la Nao Victoria qui transporta le marin Juan Sebastian El Cano autour du monde y ait été construite.

Zarautz est située sur une grande plaine entre la mer et les montagnes, ce qui a notablement favorisé la qualité de sa plage de plus de trois kilomètres, la plus longue de tout le Pays Basque: «la Reine des Plage». Ce fut un des grands atouts de la ville lors de son démarrage qui eut lieu au moment où la reine Isabel II s’y installa avec sa cour  pendant plusieurs étés. L’époque dorée de Zarautz précède donc de quelques années la belle époque de Saint Sébastian, bien qu’elle n’ait jamais brillé autant que la capitale de Guipuzcoa pendant la première moitié du XXe siècle. Cependant par ses plages passèrent des personnalités de l’époque comme la duchesse d’Alba, Pascual Madoz, la reine consort Fabiola de Belgique, ou la régente même Maria Cristina. En conséquence de cette explosion touristique, la première ligne de côte se couvrit de demeures-palais et de maisons magnifiques. Ces nouveaux touristes réclamèrent des équipements correspondants et Zarautz se vit pourvue de champs de Golf, d’hôtels exclusifs, devenant ainsi une destination touristique de première catégorie.

QUE VOIR À ZARAUTZ

Premièrement nous avons plusieurs églises intéressantes à Zarautz et nous vous recommandons la visite de deux d’entre elles:

 

Eglise Santa Maria la Real

(XVeme) dont le clocher est la tour de Zarautz (et qui héberge le Musée d’Art et d’Histoire de Zarautz) et l’église des Franciscains, couvent et école, le tout construit en 1610,

Même si cette église de style gothique fut construite à la fin du XVe siècle, elle a depuis subi de nombreuses réhabilitations. Avec la tour Zarautz, elle fait partie du site archéologique et monumental de Santa María la Real.

 

L' Ermitage de Santa Barbara

d’où vous aurez une vue panoramique spectaculaire sur la ville. est une église catholique située dans la municipalité de Zarauz ( Guipúzcoa ), au sommet du mont Meagas , près de Guetaria . Elle est présidée par une image de Sainte Barbara .

Le palais de Narrós

 également connu sous le nom de Palais des Zarauz ou Palais Corral, est situé en première ligne de plage. Il a jadis été la résidence d'été de personnages illustres tels que la Reine Isabel II et le Père Coloma. Construit en 1536, il est composé d'une édification centrale, avec deux ajouts sur les côtés. Son paramètre extérieur est réalisé en pierre de grès. Il est à plan carré; avec sous-sol au nord, rez-de-chaussée et deux hauteurs.

Sur sa façade centrale s'élève la grande porte en forme d'arc, au-dessus de laquelle se trouve le blason de la maison qui porte l'inscription "Zarauz antes que Zarauz" (Zarauz avant Zarauz). Le palais est entouré d'un beau jardin de style anglais. Il a été classé le 17 janvier 1964 Monument Historique et Artistique. Il est actuellement la propriété d'un particulier et il n'est pas possible de le visiter. Toutefois, l'entreprise ARAZI explique l'histoire de cet emblématique édifice dans les visites guidées qu¿elle propose du Zarautz monumental.

 On peut également concerter des visites guidées pendant toute l'année. Il suffira pour cela d'appeler le numéro suivant : +34 943 833 641 ou d'envoyer un courriel à l'adresse suivante: arazi@arazi.eus. Pour de plus amples renseignements: http://www.arazi.eus

Allons maintenant visiter

  • la demeure Makatza (XVeme) et
  • la tour de Luzea (bel exemple du XVeme) qui possèdent de belles peintures du XVIe siècle.
  • Si vous traversez
  • la Place du Marché, vous arrivez á
  • l’Hôtel de Ville situé dans la demeure de Portu (un palais du XVI, déclaré monument artistique et historique).
  • Un autre exemple de l’architecture civile de la ville est
  • la demeure Doratekua (XVIe) construite par le docteur Juan Ortiz de Zarautz, magistrat chef de Castro Urdiales.

Les amateurs de photographies pourront jouir du Photomuseum, Musée Basque de la photographie situé dans la villa Manuela. On y traverse toute l’histoire de la photographie depuis ses commencements jusqu’à nos jours.


Hondarribia

Fontarrabie, aussi connue par son nom en basque Hondarribia, est l'un des plus beaux villages du Guipuscoa et sans doute d'Espagne. Parmi ses rues médiévales et ses maisons traditionnelles se trouvent des monuments de grande valeur et d'intérêt historique. À quelques pas seulement d'Hendaye, la ville dispose d'un accès direct à la frontière française. C'est pourquoi Fontarrabie est également très intéressant pour visiter les villes et les lieux naturels qui l'entourent, tant en France qu'en Espagne. Voici une sélection des lieux les plus intéressants à voir à Fontarrabie.

RUE PRINCIPALE NAGUSI KALEA

 

La rue Nagusi Kalea est l'artère principale du quartier ancien. Vous trouverez ici quelques-uns des bâtiments et monuments les plus emblématiques à voir à Fontarrabie. L'hôtel de ville du XVIIIe siècle, la porte Santa María, le palais Zuloaga du XVIIIe siècle et l'église Santa María de la Asunción y del Manzano, une merveille de l'architecture gothique basque.

PORTE SANTA MARÍA

 

La porte Santa María est l'une des entrées de la ville fortifiée et est présidée par la statue de l'Hatxero, le soldat qui ouvrait jadis la voie aux troupes. Il y avait autrefois un pont-levis et même une chapelle, mais aujourd'hui, seul le blason de la ville médiévale de 1694 subsiste sur la partie supérieure de la porte. Cette porte est celle qui donne un accès direct à la rue Nagusi Kalea

QUARTIER DE LA MARINA

Dans le quartier de La Marina on trouve les maisons basques typiques avec leurs volets colorés et leurs balcons fleuris. L'architecture saisissante des maisons vaut à elle seule une visite. Mais ce quartier de Fontarrabie est aussi le meilleur endroit si vous avez envie de sortir pour manger des pintxos. Il y a des dizaines de bars et de restaurants avec des terrasses où vous pouvez goûter à ce délice basque.

PLACE DE GUIPUSCOA

 

La place de Guipuscoa ou Gipuzkoa Plaza conserve son aspect médiéval avec ses beaux bâtiments à colonnades. Elle se trouve au cœur du quartier ancien et, bien qu'elle ne soit pas la plus grande place de Fontarrabie, elle est l'une des plus belles avec son sol pavé et son architecture basque traditionnelle.

CHÂTEAU DE CHARLES V

 L'ACTUEL HÔTEL-PARADOR DE FONTARRABIE

Ce château est situé sur le point le plus élevé de Fontarrabie. Sa façade principale s'ouvre sur la place d’Armas où, autrefois, les troupes s'exerçaient et les proclamations royales étaient faites. Le bâtiment était à la fois un château et un palais. Il surprend par la sobriété de ses formes et sa robustesse. Aujourd'hui, c'est l'hôtel-parador de la ville.

PLACE D’ARMAS

 

L'une des plus belles places de Fontarrabie est la place d’Armas. Elle est entourée de maisons traditionnelles colorées de style basque et du majestueux château de Charles V. Sur cette place se trouve l'Office du tourisme, un lieu important pour tous ceux qui visitent la ville pour la première fois.

PLACE DE L'ÉVÊQUE

 OU APEZPIKU PLAZA

Sur cette place, vous trouverez des maisons traditionnelles avec leurs balcons en bois vert et rouge et le magnifique hôtel-palais de l’Évêque, qui est en fait un ancien palais du XIVe siècle. La statue que vous verrez sur cette place est celle de Cristóbal Rojas Sandoval, originaire de Fontarrabie, qui devint évêque d'Oviedo, de Badajoz, de Cordoue et de Séville.

MIRADOR SUR LA RIVIÈRE BIDASSO

 

La rue de Javier Ugarte est très proche de l’hôtel-parador de Fontarrabie, de la place d’Armas et de l'église Santa María de la Asunción y del Manzano.

Vous trouverez ici l'un des meilleurs miradors de Fontarrabie, avec des vues fabuleuses sur la rivière Bidassoa et la baie de Chingoudy.

LA PLAGE DE FONTARRABIE

 

mesure 800 mètres de long et 232 mètres de large.

Ses eaux sont calmes et le sable est fin, c'est donc un endroit parfait si vous avez envie de vous promener ou de vous baigner en été. La fin parfaite d'une chaude journée d'été.