Bien comme camping mais un peu cher !
(N° 10370)
Boulevard Jacques Chaban-Delmas
Camping Bordeaux Lac ****
33520 BRUGES Bordeaux
Latitude : (Nord) 44.89777° Longitude : (Ouest) -0.58394°
Tarif : 2016
C-C, 2 personnes : 34 €
Personne + 12 ans : 5 €
Enfant 4 à 12 ans : 3 €
Animal : 3 €
Remorque : 3 €
Wifi : 3 €
Voiture supplémentaire : 3 €
Taxe de séjour + 12 ans : 0,40 €
Type de borne : Autre
Accès handicapés
Epicerie
Lave-linge
Restaurant
Location de vélos
Piscine
Ouvert toute l'année avec accueil de nuit
340 emplacements sécurisés et gardés
Tel : +33(0)557 877 060
http://www.camping-bordeaux.com/
J'avais déjà visité la ville de Bordeaux en Septembre 2015 (vous pouvez retrouver le compte rendu) mais à cette époque la cité du vin n'existait pas...
UN MONDE DE CULTURES
Tantôt définie comme le phare de l’oenotourisme bordelais ou le totem de Bordeaux, La Cité du Vin n’en finit plus de séduire ses visiteurs. En 2017, ils n’étaient pas moins de 450 000 à pousser la porte de cette architecture unique, qui dévoile toutes les richesses et la diversité viticole mondiale. National Geographic classe le lieu en 7e position parmi les meilleurs musées du monde ! La Cité du Vin est un équipement culturel inédit dédié au vin comme patrimoine culturel, universel et vivant. Elle offre un voyage spectaculaire autour du monde, à travers les âges, dans toutes les cultures.
La Cité du Vin est le seul équipement au monde à proposer pour un large public une telle approche du vin. C’est un lieu accessible au plus grand nombre et ouvert à tous : personnes en situation de handicap, familles, touristes internationaux (signalétique trilingue et compagnon de voyage disponible en 8 langues). www.laciteduvin.com
UN LIEU À VOIR
L’architecture est un voyage en elle-même :
· La Cité du Vin s’étend sur 13 350 m² répartis sur 10 niveaux entre le tore et la tour
· La rondeur de la forme extérieure se ressent dans les volumes et les espaces
· Elle offre une sensation de mouvement et de flux ininterrompu
· La flèche de 55 mètres de haut impose La Cité du Vin dans le ciel bordelais
· La voûte en bois du tore rappelle la charpente d’un bateau
· L'impact environnemental du bâtiment est maîtrisé
Le belvédère à 35 mètres de haut offre une expérience de dégustation des vins du monde unique avec une vue panoramique sur Bordeaux et ses alentours.
ESCALE DE GRAND VOILIER À BORDEAUX
Le Stad Amsterdam est un clipper trois-mâts carré à coque métallique, construit à Amsterdam, de 1997 à 2000. Il est le plus jeune de la flotte dans cette catégorie.
Né de l'association de la ville d'Amsterdam et du groupe Randstad, ce clipper a été construit par des chômeurs en réorientation et des jeunes ayant terminé leurs études secondaires. Ce projet a créé une véritable dynamique sociale pour la ville d'Amsterdam en augmentant l'emploi des jeunes et en mettant en valeur son passé de port commercial et de construction navale.
À l'occasion des armadas 2000 à Amsterdam et à Brest, le Stad Amsterdam a été le vaisseau amiral de la flotte des grands voiliers.
Construit pour la recherche de vitesse, il participe aux compétitions de l'International Sail Training Association. Voguant à une vitesse de 15 noeuds de moyenne, c'est un bateau rapide pour son poids et sa taille.
Il possède 14 cabines et propose des croisières de luxe.
Difficile de passer a Bordeaux en évitant la place des Quinconces...
ni la galerie des Grands Hommes d'ailleurs...
Ca relève de l'exploit de trouver une place à Biarritz...Je l'ai fait ! et j'ai même le courant....
(N° 694)
Avenue de la Milady
Aire municipale Milady
64200 BIARRITZ
Latitude : (Nord) 43.46532° Longitude : (Ouest) -1.57162°
Tarif : 2018
Stationnement, électricité : 12 €
Paiement carte bancaire uniquement
Type de borne : Autre
Poubelles
A proximité de la plage de la Milady
Autres informations :
Ouvert toute l'année
32 emplacements sur terrain plat goudronné
28 prises électriques
Stationnement limité à 48 h
Accès interdit aux C-C avec remorque
http://tourisme.biarritz.fr/fr/point-infos
Il y a aussi une distraction assez bruyante sur l'aire....Le chic des communes de placer les aires CC proche des stations d'épuration et sur l'axe de décollage des aéroports !!!!
Que fait la Vierge au milieu de l'océan Atlantique ?
Depuis 1864, la Vierge commémore le retour miraculeux de baleiniers biarrots, pris dans une tempête.
Pourtant proches de la côte basque, ils n'arrivent pas à rejoindre le Port vieux de Biarritz et voient la mort arriver. En plein désespoir, ils sont éblouis par une lumière... ils la suivent et rentrent pour la plupart sains et saufs à terre.
Bientôt le Rocher de la Vierge est joint à la terre ferme par une passerelle en bois construite sur ordre de Napoléon III.
Plus tard, elle cède. Eiffel reconstruira en 1887 celle sur laquelle vous marchez aujourd'hui.
La balade au Rocher de la Vierge est à Biarritz un véritable rituel pour les Biarrots et les visiteurs de la Côte basque.
Au cours des années soixante-dix, une rumeur était colportée avec un certain succès. Elle avait pour cible, la villa Belza, une fière demeure située face à l’océan. On prétendait que cette majestueuse propriété avec son échauguette accolée à son donjon, superbement perchée sur les rochers du Cachaou, était hantée !
Sa haute silhouette rose et crème posée sur le rebord de la plage a quelque chose d'hypnotisant. D'ailleurs, la ville n'a d'yeux que pour lui : que serait Biarritz sans son Hôtel du Palais ? L'un des derniers authentiques palaces au monde, l'un des plus émouvants aussi, ne prend même pas la peine d'être le plus luxueux (la première chambre – sur cour – est à 300 euros). Pourtant, passé la haute grille armoriée, s'ouvre à vous un monde à part, feutré, enveloppant, fait de volumes, de miroirs, de brocarts, soutaché d'or et d'embruns, encore rempli d'échos précieux comme issus du passé – tintement de cristaux, crissement de crinolines, accents du Gotha.
C'est la blonde et ravissante Eugénie de Montijo (in extenso María Eugenia de Guzman Palafox y Portocarrero y Kirkpatrick de Closbourn !), fille d'un grand d'Espagne et d'une aristocrate irlandaise, fanatique de la côte basque où elle passait ses vacances enfant, qui convainc son époux, Napoléon III, d'acheter en 1854, face à la mer, 18 hectares de dunes. Très épris, le prince-président réussit à faire ériger l'opulente Villa Eugénie en moins d'un an. Dès lors, dans l'illustre sillage de ses occupants suivra tout ce que le Vieux Continent compte de têtes couronnées (la reine Isabelle d'Espagne, le roi de Wurtemberg, Léopold II de Belgique, les princes de Metternich, etc.). Puis, passent les bals, les krachs et les années : revendue, transformée en hôtel-casino, rebaptisée en 1893 Hôtel du Palais, incendiée, agrandie, puis rachetée par la ville, jamais au grand jamais, la Villa impériale ne connut destin ordinaire.
Erigé en 1834, haut de 73 mètres au-dessus du niveau de la mer et fier de ses 248 marches, il domine le Cap Hainsart ainsi dénommé autrefois en raison des chênes qui l'entouraient et qui ont été remplacés par des tamaris.
Ce cap marque la limite séparant la côte sablonneuse des Landes de la côte rocheuse du Pays Basque.
L’ église orthodoxe de Biarritz a une histoire relativement courte (fondée en 1892).
La première communauté se composait principalement d’éléments de l'aristocratie russe, qui vivaient en France ou venaient pour les "Saisons russes" à Biarritz. Tout a changé après la révolution de 1917, quand l'Europe a accueilli les émigrés de la Russie soviétique. Tout le mérite de l’entretien du bâtiment de l’église de Biarritz et de la sauvegarde de la tradition orthodoxe revient à la communauté d'immigrés russes de cette époque. Ces 20 dernières années la paroisse s'est élargie : avec les descendants des immigrés russes blancs viennent prier de nouveaux paroissiens de différentes nationalités - russes, ukrainiens, biélorusses, géorgiens, moldaves - installés dans la région, ainsi que les orthodoxes francophones.
Depuis 1931, la paroisse est sous l’obédience du Patriarcat de Constantinople, dans le cadre de l'Exarchat (archevêché) des églises de tradition russe en Europe Occidentale, lequel est dirigé, à partir de 2013, par l'archevêque Job de Telmessos, exarque du patriarche
L'église Saint Joseph ouverte au culte depuis 1895, était à l'origine la chapelle du couvent des Pères Dominicains. Ces religieux furent présents dans la ville jusqu'en 1965. Des éléments rappellent la destination originelle de l'édifice, les stalles du choeur, les représentations de Saint Dominique et de Sainte Catherine de Sienne, le cloître attenant.
Dès l'entrée le regard se focalise sur le maître autel, en marbre blanc ajouré de colonnettes roses, au dessus duquel est suspendu un magnifique Christ en croix. La nef présente une belle voute ogivale et est encadrée par deux bas côtés.
Les premières installations étaient sommaires, Puis Napoléon III le réaménagea tel qu'il est actuellement avec sa succession de bassins clos par des môles.
Le port était réservé aux pêcheurs qui s'y installaient à titre gracieux, en échange ils devaient céder une part de leurs prises pour pourvoir à l'entretien des lieux. Il y avait trois vapeurs, trente-deux barques, soit au total 262 hommes d'équipage.
Chaque pêcheur avait sa baraque de pêche ou "crampotte".
On tombe sous le charme de ses "crampottes", de jolies petites maisons aux portes en bois et aux volets colorés
et pour respirer les embruns de l'océan, rien de tel qu'une promenade sur la digue...
Au pied de l'Eglise Sainte Eugénie, niché entre la grande plage et le rocher de la vierge, le port des pêcheurs est maintenant surtout voué à la navigation de plaisance et aux écoles de plongée sous-marine.
Ses bars, restaurants et animations estivales permettent de profiter des rayons du soleil en écoutant le bruit des vagues.
L’église Sainte Eugénie est un édifice de style roman-byzantin dédié à Sainte-Eugénie, patronne de la femme de Napoléon III, l’impératrice Eugénie de Montijo. C’est une église néogothique en pierres grises qui domine le Port Vieux.
Une Chapelle dédiée à Sainte-Eugenie, patronne de l’Impératrice des Français, fut inaugurée en 1856. Un clocher fut construit la même année à l’aide d’un don de 30,000 F de l’Empereur Napoléon III. Le jour de l’inauguration une première messe fut célébrée en présence de la famille impériale.
La chapelle Sainte Eugénie assura pendant plus de 30 ans les besoin du culte. Jusqu’à la création de la Chapelle Impériale en 1864, l’Empereur et sa famille assistèrent à la messe dominicale à la Chapelle. C’est en 1884 que l’abbé Gaston Larre décida la construction d’une nouvelle église aux proportions plus vastes.