Mercredi 18 Septembre

Colombey les deux Eglises

Bon, j'ai trouvé ce village sur mon trajet, que faire ? m'y arrêter mais pour voir quoi...La Boisserie, c'est un portail en métal avec des drapeaux de chaque côté...il faut payer pour rentrer même dans le parc...

Mercredi 18 - Jeudi 19 Septembre

Troyes

Camping municipal

A deux pas du centre de Troyes et tout proche des centres de magasins d’usines et de négoces, le camping de Troyes bénéficie d’un emplacement privilégié. 

Calme et facile d’accès, il est desservi depuis le centre-ville de Troyes par le bus N°1. Arrêt : Stade de l’Aube situé à 50m du camping.

A pied ou à vélo, grâce à une piste cyclable, vous pouvez vous rendre au centre-ville en quelques minutes afin de découvrir le patrimoine et l’atmosphére de la capitale historique de la Champagne.

Camping ouvert du 1er avril au 15 octobre inclus

Le camping Compte 150 emplacements sur une surface arborée de 3.8 hectares

CAMPLUCHE EURL, 7 RUE ROGER SALENGRO, PONT STE MARIE.

Tel Fax : +33 03 25 81 02 64 - troyeshappycampin@gmail.com

La forme actuelle de la ville, date du 16e siècle, époque charnière entre le Moyen-Âge et la Renaissance

Troyes est, pour l’essentiel, une ville du XVIe siècle. Du «Beau XVIe siècle», comme on se plaît à dire ici. La forme actuelle de la ville, tant sur le plan architectural qu’urbanistique, date de cette époque charnière entre le Moyen- Âge et la Renaissance.

Maisons à pans de bois et hôtels particuliers

Un grand incendie fait alors place nette, mais l’on reconstruit quasi à l’identique et au même emplacement les habitations dévorées par les flammes. Les plus riches Troyens optent pour un matériau moins inflammable, d’où cette juxtaposition que l’on observe aujourd’hui encore de maisons à pans de bois venues du peuple et d’hôtels particuliers en pierre issus de la bourgeoisie. On tient là le code génétique de Troyes, son identité profonde.

La ville contemporaine est donc l’héritière directe de la cité médiévale, qui a donné au cœur historique sa forme si caractéristique de bouchon de champagne, comme un heureux présage de ce qui allait devenir le vin le plus célèbre au monde et que l’on cultive aux portes mêmes de Troyes… 

Découverte de la ville

Les églises de Troyes

Le patrimoine religieux de la ville de Troyes offre de nombreux trésors qui ont pu être restaurés tout au long de ces 30 dernières années. Avec des styles Gothique et de la Renaissance, la majorité de ces édifices ont vu le jour entre le 12ème et le 16ème siècle. Troyes ne compte pas moins de 10 églises, cathédrales et basiliques dans son « bouchon de champagne », toutes ayant des caractéristiques différentes et propres à leurs époques de constructions. Le principal monument historique et religieux de la ville est la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul, édifice singulier de par son architecture puisqu’elle ne détient qu’une seule tour, faute de financement à l’époque. Dans un style différent, l’église Saint-Nizier capte le regard avec sa charpente recouverte de tuiles vernissées multicolores comme on peut en voir sur de nombreuses bâtisses de Bourgogne.

Cathédrale Saint Pierre Saint Paul

Jardin des Innocents et église Sainte Madeleine

Eglise Saint Panteléon

basilique Saint Urbain

Ruelle des chats

La ruelle des chats est l’une des plus vieilles et sûrement des plus emblématiques rues de la ville de Troyes, mais aussi la plus étroite. Un passage incontournable où vous pourrez profiter de la rénovation des maisons en pans de bois effectuée en 2014, qui jonchent et surplombent cette ruelle. C’est une volonté de la municipalité de reconstituer une partie de son héritage médiéval à travers des techniques des matériaux d’autrefois. Notons que cette ruelle débouche sur la magnifique Cour du Mortier d’Or, où l’on peut y découvrir la face cachée de ces maisons en pans de bois illuminées par un éclairage datant du 19ème siècle.

Les halles

Place de commerce unique de la ville, les Halles de Troyes ont été construites en 1874 sur les plans de Emile Bailly, architecte en chef. Ce dernier s’est inspiré du travail effectué par Victor Baltard, précurseur des Halles dans le centre de Paris. L’alliance des différents matériaux, tel que le bois, le fer, la fonte ou encore le verre, rend son ossature et son architecture atypiques. Entièrement rénovées en 1987, les Halles regroupent quotidiennement environ 35 commerçants proposants des produits du terroir et de saison. Le samedi, vous pourrez profiter du Grand Marché, avec un large choix de commerçants et d’artisans de la région répartis à la fois dans les Halles, mais aussi sur ses extérieurs : une occasion idéale pour flâner et bien commencer le week-end.

La Maison du Boulanger

Ancienne boulangerie datant de l’époque de la Renaissance, ce fut le premier bâtiment en pans de bois à se faire rénover à Troyes en 1963, après de longues négociations auprès de la ville qui voulait pourtant la démolir. À noter que la poulie et le rouage qui servait au boulanger de l’époque à monter les sacs de blés au grenier ont été conservés. Comme un symbole, ce lieu représente aujourd’hui le Centre Culturel de Troyes. Son architecture unique et extrêmement bien conservée en fait un lieu incontournable pour les visiteurs et les habitants.

Théatre de la Madeleine

Une autre place culturelle de la ville montre l’importance qu’accorde la municipalité de Troyes à vouloir démocratiser la culture pour ses habitants. Il est bien sûr question du Théâtre de la Madeleine, composé de 600 places assises, singulier de par sa magnifique architecture et sa décoration arborée de rouge et de doré, rappelant de célèbres théâtres parisiens.

La maison de l'outil et de la pensée ouvrière

C’est à l’Hôtel particulier de Moroy que les Compagnons du Devoir ont choisi d’y exposer les quelques 11 000 outils et instruments qu’utilisaient les métiers manuels d’autrefois. Inauguré en 1974, ce musée détient également 33 000 livres et ouvrages consacrés aux métiers et à ceux qui les ont façonnés.

Le parc du Rocher

Toujours dans le centre du « bouchon de champagne », vous trouverez le Parc du Rocher, constitué d’un petit étang et d’un cadre calme et verdoyant. Celui-ci dispose aussi d’un superbe kiosque à musique, classé monument historique de la ville. Ce dernier date de 1889 et a été entièrement restauré en 1999. 


Vendredi 20 Septembre

Meaux

(N° 29843)

 

Quai Jacques Prévert

Aire du Parc du Pâtis

77100 MEAUX

 

Latitude : (Nord) 48.951666°  Longitude : (Est) 2.88333° 

Tarif : 2018

Stationnement, services, électricité : 7 €

Paiement par carte bancaire

Type de borne : URBAFLUX

Services : 

 

 

Proche du centre ville 

Autres informations : 

5 emplacements 

Stationnement limité à 48 h

http://www.ville-meaux.fr/fr/tourisme/votre-sejour/aire-de-stationnement-camping-car.html


Cathédrale Saint-Étienne

la cité épiscopale incluant la cathédrale Saint-Étienne; xiie et xve siècles) et le palais épiscopal (xiie et xvie siècles) ;

le vieux chapitre (xiiie siècle) anciens palais des chanoines de la cathédrale, la dénomination " vieux chapitre " est un nom local, traditionnel ;

le jardin Bossuet

(xviie siècle) et le jardin des remparts. Le jardin reprenant le dessin d'une mitre est attribué à Le Nôtre. Il se présente actuellement tel qu'il fut restauré en 1910 (de cette époque date le rocher romantique posé au centre du bassin).

Remparts gallo-romains.

Les bords de Marne

Mais Meaux c'est aussi...


Samedi 21 Septembre

Compiègne

Au confluent de l’Aisne et de l’Oise, à la lisière de forêts majestueuses, Compiègne est au coeur du Pays compiégnois. Ville royale et impériale, théâtre d’événements majeurs de l’histoire de France, elle demeure une cité où il fait bon vivre, attentive à entretenir les souvenirs d’un riche passé. Son Palais Impérial, son Hôtel de Ville, ses églises et ses musées témoignent de mille ans d’existence que les visiteurs pourront parcourir au gré de leur fantaisie.

Journée du Patrimoine

Le château

A l'origine, le château de Compiègne fut une forteresse érigée sous Charles V, mais il fut entièrement reconstruit sous Louis XV au XVIIIe siècle. Après la révolution, Napoléon 1er le fit restaurer pour y accueillir sa seconde épouse, l'archiduchesse Marie-Louise d'Autriche, en 1810. Ensuite, le château connut une nouvelle heure de gloire sous Napoléon III  : Eugénie adorant la forêt de Compiègne, le couple y venait régulièrement. Le château devint musée national après la chute du régime impérial en 1870. Aujourd'hui, on visite les appartements historiques du XVIIIe siècle, du Premier Empire et du Second Empire, le musée du Second Empire où sont exposées de belles collections de peintures, sculptures et objets d'art, et le musée de la voiture qui retrace l'histoire de la locomotion routière, depuis les origines de l'attelage jusqu'aux débuts de l'aventure automobile.

La chapelle du château

Eglise St Jacques

Cette église gothique a été décorée (marbres, boiseries) au 18e s. avec un luxe qu'explique le fait qu'elle ait été la paroisse du roi et de la cour. Sa tour (15e s.) est la plus haute de la ville. Le choeur et le transept ont gardé l'harmonie du gothique de l'époque de Saint Louis.

L'Hôtel de Ville

Construit entre 1490 et 1530, selon les plans de Pierre Navyer, l’édifice marque une transition entre le gothique finissant et la première Renaissance.

L’époque est heureuse pour la cité qui redevient un centre commercial florissant, passées les décennies de tourmente, les derniers avatars de la Guerre de Cent ans, la lutte entre le Duc de Bourgogne et le roi de France. Signe des temps, la façade du bâtiment est monumentale. 

L’hôtel de ville de Compiègne comporte une partie centrale dominée d’un beffroi couronné de deux clochetons, qui lui sont reliés par une balustrade sculptée et deux ailes latérales postérieures (aile droite 1650, aile gauche 1867). Le beffroi culmine à plus de cinquante mètres de hauteur, renferme la « Bancloque », datant de 1303. Une des plus anciennes cloches connues. A son sommet, les trois Picantins - Flandrin le Flamand, Langlois l’Anglais et Lansquenet l’Allemand - en costume du XVIe siècle bien entendu, scandent la vie de la cité en « piquant le temps », autrement dit en frappant de leur maillet pour faire sonner les heures.

L'Oise

La clairière de l'armistice 1918

Le wagon restaurant 2419D appartient en 1914 à la compagnie internationale des wagons-lits pour utilisation sur les lignes de l’ouest, l’Armée Française le réquisitionne en Septembre 1918.  Afin d’ éviter d’humilier la délégation allemande le maréchal Foch décide de trouver un endroit discret, proche de Paris. Un sous bois occupé par des voies d’artillerie à côté du village de Rethondes en forêt de Compiègne accueillera la rencontre. L’Armistice mettant fin à la Première Guerre Mondiale est signé le 11 novembre 1918 à 5h15 par les Alliés et les plénipotentiaires allemands. La photo ci dessous représente la délégation alliée au départ du Maréchal Foch pour Paris avec la convention d’armistice signée dans sa serviette. 

Description du wagon

Aujourd’hui vous pouvez admirer un wagon de la même série le wagon 2439D aménagé à l’identique.. Haut de  4 mètres, il mesure 20 mètres de long.  Depuis les fenêtres latérales, des étiquettes indiquent la place des plénipotentiaires le 11 novembre 1918. L’arrière du wagon est décoré des drapeaux des pays alliés ayant participé à la  Première guerre mondiale.