Datant de 1180, le château de Culan dresse aujourd’hui encore sa fière silhouette accrochée au rocher surplombant l'Arnon. C'est un vrai château fort qui déploie sa façade longue de 80 mètres, rythmée par de puissantes tours rondes couronnées de hourds en bois, uniques en France. Ce logis seigneurial fut la possession du ministre Sully et du Prince de Condé. Il reçut la visite de personnages célèbres, dont Jeanne d'Arc, Louis XI, la Marquise de Sévigné, George Sand ou encore Chopin. La visite permet d'admirer de superbes charpentes. Au pied du château, différents jardins d'inspiration moyenâgeuse réunissent plantes aromatiques, médicinales et d'agréments, ainsi qu'une roseraie.
Château néo-gothique : l'origine du château remonte jusqu'à 1130. Trente-deux propriétaires se sont succédé de 1227 à 1899. En 1956, il devient la mairie de Montgivray. Comme le dit Thalmann, c'est un château « sans histoires, sans tumulte, sans complot ». Après la Révolution, le château appartient, en 1837, à Hyppolite Chatiron, fils de Catherine Chatiron et Maurice Dupin, donc demi-frère de George Sand qui est d'ailleurs élevé avec la future George Sand à Nohant, comme elle l'écrit dans l'Histoire de ma vie. Après son décès en 1848, sa femme Émilie y vit jusqu'en 1870. Le château est vendu à Solange Clésinger, fille de George Sand, en 1875. L'architecte Alfred Dauvergne procède à une transformation importante de l'habitation. Le château est vendu en 1899. La demeure est à l'abandon jusqu'au rachat par la commune en 1956. La mairie en occupe une partie. Enfin en 1980, la commune acquiert des héritiers Aucante aussi la grange et les étables.
Vieux pont : la route de La Châtre à Montgivray traverse l'Indre juste à l'entrée du bourg. Les restes du vieux pont sont visibles à côté de la route. Il est qualifié de « pont en ruine », sur l'atlas de Trudaine pour la généralité de Bourges, qui date de la deuxième moitié du xviiie siècle.
17, avenue Daniel Bernardet
Camping Le Rochat Belle Isle ***
36000 CHATEAUROUX
Latitude : (Nord) 46.82387° Longitude : (Est) 1.69501°
Tarif : 2018
Emplacement, C-C : 5,50 à 6,50 €
Personne + 10 ans : 4,50 à 5,50 €
Enfant - 10 ans : 3,50 à 5,50 €
Électricité : 3,70 €
Taxe de séjour + 18 ans : 0,35 €
Carte ACSI
D'ores et déjà, Bravo, Félicitations et Merci à la ville de Châteauroux pour la gratuité des transports en commun.
Enfin une ville qui a tout compris
Au cœur de la ville, le parc Daniel-Bernardet, site de Belle-Isle, offre un cadre de verdure exceptionnel de 12 hectares et un lac de 8 hectares. Un lieu idéal pour les activités de plein air. On peut s'y baigner (lac surveillé l'été) et y pratiquer des sports nautiques (canoë kayak, planche à voile, optimist, pédalo 2 et 4 places, stand-up paddle, etc.). Un parcours de santé est même proposé aux amateurs de jogging. On y trouve également des jeux pour les enfants et un parcours d'orientation. Un restaurant « La Guinguette » accueille les promeneurs, pêcheurs ou baigneurs.
Le château domine les bords de l'Indre, il appartenait aux seigneurs de Déols. Il fut reconstruit au xve siècle, et restauré au xixe siècle. en fait c'est la demeure du Préfèt...
L'église Saint-André de Châteauroux n'est pas une cathédrale, mais elle en a la dimension. La municipalité fit commencer un premier édifice en 1845, mais la construction s'arrêta en 1848. Les événements politiques et les critiques sur le choix de l'emplacement eurent raison des bonnes volontés. En 1869, on démarra les travaux d'une nouvelle église, à quarante mètres de la précédente - celle-ci étant définitivement abandonnée. L'architecte en était un enfant du pays, Alfred Dauvergne, qui construira également l'église Notre-Dame de Châteauroux dans la décennie suivante. Dauvergne, architecte départemental de l'Indre, opta pour un style néo-gothique très traditionnel.
Tout devait être terminé en novembre 1873, au jour de la Saint-André. Là encore, le bâtiment joua de malchance. Les événements de 1870-1871 en retardèrent la construction. L'église ne fut achevée qu'en 1876.
À Châteauroux, l'église Saint-André ne passe pas inaperçue : 87 mètres de long sur 35 mètres de largeur au transept, et les deux flèches de la façade qui culminent à 60 mètres. Pour les Castelroussins, c'est la «cathédrale» avec ses deux grandes rosaces dans le transept, enrichies de galeries de saints et de saintes. Le Moniteur de l'Indre, dans son numéro du 22 juillet 1876, précisa que le bâtiment avait été réalisé par tous les corps de métier existant à Châteauroux. Ainsi il était pratiquement le produit complet de l'industrie locale. La plus grande partie de la verrière vient des ateliers Lobin à Tours.
La première pierre de l'église Notre-Dame de Châteauroux a été posée en 1882. Son architecte est un enfant du pays : Alfred Dauvergne (1824-1885), également père de l'église Saint-André. Notre-Dame est élevée en partie sur des terrains où s'élevaient d'anciens remparts de la ville. L'édifice, de style néo-roman, sera consacré en octobre 1895.
Son aspect extérieur est d'un néo-roman particulièrement travaillé : un remarquable chevet étale ses chapelles rayonnantes au milieu d'un jardin tandis que corniches et modillons rivalisent pour être à la place d'honneur dans la décoration. Une imposante statue de la Vierge en cuivre doré trône au sommet du dôme. La nef et le chœur, quant à eux, sont ornés de très nombreux chapiteaux sculptés, œuvre du sculpteur castelroussin Girault-Dauphin. Cependant l'un des intérêts artistiques de l'église Notre-Dame demeure sa magnifique verrière due à l'atelier Lobin dans les années 1880. Cette page en donne un large aperçu et la galerie des vitraux la donne en totalité. La verrière comprend essentiellement des vitraux à personnages (comme les deux célèbres bergères sainte Solange, patronne du Berry, et sainte Germaine), mais on y trouve aussi des scènes historiées comme l'intéressante scène des âmes du purgatoire implorant la Vierge.
Ancien couvent franciscain du xiiie siècle, il héberge aujourd'hui une partie de l'école des beaux-arts et des expositions d'art contemporain (par exemple la biennale internationale de céramique de Châteauroux). Situé dans la partie historique de la ville et dominant la vallée de l'Indre, c'est un lieu de promenade agréable.
Attestée dès le 12e siècle, l’église Saint-Martial est aujourd’hui la plus ancienne église de Châteauroux. Elle a cependant été très remaniée au cours des siècles, notamment au 19e par Alfred Dauvergne. L’édifice se compose d’une nef unique à chevet plat, flanquée à l’ouest d’un imposant clocher édifié dans la seconde moitié du 16e siècle. Les vitraux : Les deux verrières figurées de cette église ont été réalisées en 1883 et 1888 par Armand Clément, ancien élève de Julien-Léopold Lobin et ancien associé de Julien Fournier, installé à Saint-Michel de Chédigny (Indre-et-Loire) à partir de la fin des années 1870.
c'est une partie de l'héritage castelroussin. Forme audacieuse, programmation innovante, ce paquebot de la Culture offre aux Castelroussines et aux Castelroussins des saisons toujours plus surprenantes et fait de Châteauroux un pôle de référence dans le domaine culturel.
À la découverte d'Équinoxe - La grande scène
Une architecture audacieuse
L'audacieuse architecture de cet édifice offre un profil gracieux et surprenant. Elle esquisse un mouvement dans l'espace comme une invitation au voyage, un appel à l'imaginaire pour les lecteurs et les spectateurs. La forme résolument démarquée de l'ensemble assure le lien avec l'environnement architectural.
Les structures quant à elles procèdent d'une volonté d'opposition esthétique : le jour pour "la médiathèque" et la nuit pour "La grande scène". La grande scène, consacrée au spectacle, est un espace impressionnant, magique et secret car refermé sur lui-même. La médiathèque au contraire, symbolise l'échange, l'ouverture, donc la transparence pour faciliter les relations entre l'intérieur et l'extérieur.
La forme de la couverture, combinant sphère et ellipse et ne répondant à aucune forme géométrique connue, a constitué la principale difficulté de ce chantier. La vêture de la coque est constituée de deux peaux, une première conçue pour l'étanchéité, la seconde en aluminium pour l'esthétique. Il aura fallu 15000 heures de travail sur 8 mois de chantier et 12 compagnons en permanence sur le site pour concevoir, réaliser et poser au laser les quelques 3600 plaques, toutes différentes (deux seulement étaient identiques). L'entreprise Rousseau installée à Châteauroux peut être fière de son travail. La charpente mérite également que l'on s'y arrête. Cet ensemble de tiges, de poutres et de tubes d'acier a nécessité un travail gigantesque, d'une extrême précision de la part de l'entreprise castelroussine Renaudat ; 6000 heures d'études sur la base d'un modèle informatique en 3 dimensions conçu spécialement pour ce chantier ; 12000 heures de fabrication pour l'ossature métallique et 3000 heures supplémentaires pour la fabrication de la charpente scénique.
La légende impériale est présente à Châteauroux grâce à l’action d’un personnage emblématique du Premier Empire, le général Bertrand. Né au château Raoul, Henri-Gatien Bertrand devient général, fidèle parmi les fidèles de l’empereur Napoléon Ier. Il est fait Grand Maréchal du Palais des Tuileries et grand aigle de la légion d’honneur. Sous le Premier Empire, il est au sommet de l’État, il est de tous les combats, de tous les projets impériaux et accompagne l’empereur sur tous les fronts, jusqu’en exil. À l’île d’Elbe d’abord, puis à Sainte-Hélène. C’est Bertrand qui ramènera les cendres de Napoléon quelques années plus tard aux Invalides, au terme d’un dernier voyage « impérial ». Sa dernière demeure, l’actuel musée Bertrand, révèle un ensemble inédit de souvenirs et de reliques.
D918
Camping Municipal Les Taupeaux **
36100 ISSOUDUN
Latitude : (Nord) 46.96421°
Longitude : (Est) 1.99171°
Tarif : 2013
Forfait : 7,80 e
Personne + 7 ans : 2,60 €
Enfant - 7 ans : 1,30 €
Accès handicapés
Jeux
Autres informations :
Ouvert du 06/05 au 31/08
50 emplacements
Tél + 33(0)254 217 402
http://www.issoudun.fr
tourisme@issoudun.fr
Construit au XIXe siècle, de 1810 à 1840, ce canal d'une longueur de 320 kilomètres totalise 116 écluses. Le canal de Berry est aujourd'hui un lieu propice à la pêche et aux balades.
(N° 27999)
Camping
115 route de Bellon
18100 VIERZON
Latitude : (Nord) 47.20901° Longitude : (Est) 2.07993°
Tarif : 2016
Emplacement, C-C : 4,20 €
Personne + 10 ans : 3,20 €
Enfant - 10 ans : 1,50 €
Électricité : 3,50 €
Animal : 0,80 €
Taxe de séjour : 0,55 €
Type de borne : Plateforme
Bar et restauration rapide
Lave-linge
Autres informations :
Ouvert du 01/05 au 30/09
95 emplacements
Tél +33(0)248 754 910 ou +33(0)248 530 614
ot-Vierzon@wanadoo.fr
Quartier médiéval : Musée des Fours Banaux :
Vestiges de deux fours banaux du XVe siècle, unique en Région Centre-Val de Loire.
Présentation de l'histoire médiévale de Vierzon avec une maquette de la ville au Moyen Âge. Statues des quatre Saints Evangélistes, en bois polychrome, du XVesiècle, classées Monument Historique. Vestiges découverts lors de fouilles : dessus de tombeau, statue féminine... Présentation des deux horloges restaurées du Beffroi (XVe et XIXe siècles).
Adresse : 7 rue du Château.
Ouvert en été, les mardi, mercredi et vendredi, de 15h à 18h. Le reste de l'année, sur rendez-vous.
Renseignements : Service Culture : 02 48 52 65 45.
Visites commentées : Office de Tourisme : 02 48 53 09 32.
Beffroi, du XIIe siècle :
Anciennement porte d'accès entre le château seigneurial et la cité médiévale, ce bâtiment a également servi de prison et d'asile de nuit aux XIXe et XXe siècles.
Belle fenêtre à meneaux Renaissance en façade.
Non visitable de l'intérieur.
Adresse : Rue du château.
Église Notre-Dame :
Première église en pierre construite au XIIe siècle correspondant à l'actuelle nef. Clocher-porche rajouté au XIIIe siècle. Bas-côté nord et sud rajoutés au XVesiècle.
Grand'Orgue classique restauré au XXe siècle.
Vitrail de la crucifixion du XVe siècle, classé Monument Historique.
Chapelle de Sainte Perpétue, Sainte Patronne de Vierzon.
Tableau de Jean Boucher, peintre berruyer, représentant Jean-Baptiste, début XVIIe siècle, restauré en 2000 et classé Monument Historique.
Belles pièces mobilières du XVIIIe siècle restaurées et classées Monument Historique : chaire à prêcher et banc d'oeuvre.
Cuve baptismale du XIe siècle.
Visite commentée sur rendez-vous : Office de Tourisme : 02 48 53 09 32.
Square Lucien Beaufrère :
Jardin de style Art déco classé Monument Historique, construit entre 1932 et 1935 par l'architecte statuaire Eugène Henry Karcher. Il se compose d'un monument aux morts pacifiste, d'un bassin, des grilles de la paix en ferronnerie, d'une exèdre avec bancs pour le repos et pilastres surmontées de lanterneaux.
L'un des premiers jardins publics à accueillir l'électricité.
A l'entrée : un kiosque-lavoir.
Dans le prolongement, le jardin romantique composé d'essences arborées variées issues des cinq continents (séquoia d'Amérique, cèdres, marronniers d'Inde, ormes champêtres).
Adresse : Place Fernand Micouraud.
Visite commentée sur rendez-vous : Office de Tourisme : 02 48 53 09 32.
Site Société Française :
Esplanade la Française, mettant en valeur les façades restaurées des anciennes Halles de Fonderie de la Société Française, fabricant de matériels agricoles (Inscrites Monument Historique).
Jardins de la Française.
Façade de la maison d'habitation de Célestin Gérard.
Passerelle reliant autrefois les ateliers.
Musée de Vierzon :
Adresse : 11 Rue de la Société Française.
Entrée gratuite.
Tél. : 02 48 71 10 94.
Du 1er octobre au 30 avril : du mardi au vendredi, de 14h à 17h30 et samedi, de 10h à 12h et de 14h à 17h30. Du 2 mai au 30 septembre : du mardi au vendredi, de 14h à 18h, samedi, de 10h à 12h et de 14h à 18h, dimanche, de 14h à 18h. Fermé en janvier et février.
Circuits d'interprétation du patrimoine : 25 stations pour découvrir Vierzon et son patrimoine. Cette promenade vous mènera notamment à la découverte du quartier médiéval, de son jardin Art déco unique, du site industriel de la Société Française et du canal de Berry.
Île Marie à Vierzon (Conservatoire du patrimoine Naturel de la Région Centre Val de Loire).
Sentier de la Salamandre (Office National des Forêts) en forêt de Vierzon.
Golf de la Picardière.
(N° 1822)
Rue du Val Rose 41320 MENNETOU SUR CHER
Latitude : (Nord) 47.26856°
Longitude : (Est) 1.86461°
Tarif : 2015
Stationnement gratuit
Services :
2 €Jetons chez les commerçants et office du tourisme Type de borne : EURO-RELAIS
Poubelles
Autres informations :
Aire Aménagée sur le parking du Centre de Secours
En bordure de l'Ancien Canal du Berry.
Village médiéval pittoresque.
Cité médiévale de la vallée du Cher, Mennetou-sur-Cher est une petite ville pleine de caractère avec ses maisons anciennes, ses portes fortifiées, ses remparts et ses rues pavées fleuries. Une halte fort appréciable en vallée du Cher !
Petit bourg du Loir-et-Cher de 900 âmes, mi-berrichon, mi-solognot, Mennetou est un havre de paix pour qui s'y arrête.
Situé en vallée du Cher entre Vierzon et Tours, Mennetou-sur-Cher n'est qu'à 2 heures de Paris, 1 heure d'Orléans et de Tours, 30 minutes de Blois.
Au carrefour de plusieurs routes historiques - la route des Châteaux de la Loire, la route des vins, la route de la Porcelaine et la route Jacques Coeur - Mennetou-sur-Cher est au centre d'une région où histoire et gastronomie s'associent volontiers pour le bonheur du plus grand nombre d'entre nous.
Commune rurale où l'agriculture est encore fortement ancrée, elle possède toutefois un solide réseau d'artisans et de commerçants, d'industriels et de professions libérales. En plein développement économique et touristique, grâce à l'échangeur de l'autoroute A85 situé à 8 km, Mennetou-sur-Cher est le point de rencontre des esprits novateurs.
Misant sur le développement des activités liées au tourisme, Mennetou-sur-Cher, Cité Médiévale, se refait une beauté : pavage de l'ensemble des rues de la vieille ville, création de jardins médiévaux, manifestations liées au Moyen-Âge (fêtes médiévales, visites aux flambeaux…). Que vous décidiez d'y passer un moment ou d'y rester pour toujours, Mennetou-sur-Cher ne vous sera aucunement indifférent. Prenez le temps de le découvrir ou de le redécouvrir.
Église Notre-Dame :
Première église en pierre construite au XIIe siècle correspondant à l'actuelle nef. Clocher-porche rajouté au XIIIe siècle. Bas-côté nord et sud rajoutés au XVesiècle.
Grand'Orgue classique restauré au XXe siècle.
Vitrail de la crucifixion du XVe siècle, classé Monument Historique.
Chapelle de Sainte Perpétue, Sainte Patronne de Vierzon.
Tableau de Jean Boucher, peintre berruyer, représentant Jean-Baptiste, début XVIIe siècle, restauré en 2000 et classé Monument Historique.
Belles pièces mobilières du XVIIIe siècle restaurées et classées Monument Historique : chaire à prêcher et banc d'oeuvre.
Cuve baptismale du XIe siècle.
Visite commentée sur rendez-vous : Office de Tourisme : 02 48 53 09 32.