Latitude : (Nord) 37.36357° Longitude : (Ouest) -5.98889°
Tarif : 2016
Forfait : 10 €
Eau et électricité : 5 €
Pendant la féria : 20 € /24 h
Services :
Supermarché
Pain
Poulets rôtis
Bruyante à côté de l'Avenue
Quatrième ville du pays, elle accueille une population de 690 566 habitants 1 en janvier 2013. Située au centre d'une riche région agricole, traversée par le Guadalquivir et connectée à un important réseau de communication, la cité est le coeur économique, politique et culturel de l’Andalousie, et constitue l’une des plus importantes villes du pays mais aussi de l'Europe du Sud.
C’est également une ville au passé prestigieux, dotée d'un patrimoine artistique d’une immense richesse, ce qui en fait une des destinations touristiques les plus prisées d’Europe et l'auréole d’un certain prestige. Ses monuments, les nombreux artistes qui y sont nés ou y ont oeuvré, son histoire glorieuse, ses fêtes traditionnelles, mais aussi son climat, ont contribué à sa renommée.
C’est une ville déroutante où ce mélange l’ancien et le nouveau – L’ancien dont beaucoup de bâtiments sont le témoignage des différentes expositions coloniales ou universelles et le moderne comme cette magnifique « Métropol parasol »
Le district de Macarena, populairement appelé La Macarena, est un des onze districts administratifs de la ville andalouse de Séville, en Espagne.
Il est situé au centre-nord de la ville. Il est limité au sud-ouest par la rue Resolana, la rue Muñoz León et la ronda de Capuchinos qui le séparent du district Casco Antiguo, au sud-est par la route de Carmona qui le sépare du district de San Pablo-Santa Justa, à l'est et au nord par la route Alcalde Manuel del Valle, la rue Chumbera, la route de Brenes, la rue Huerta de la Fontanilla et l'avenue Juventudes Musicales qui le séparent du district Nord et à l'ouest par le canal Alphonse-XIII et le district de Triana2.
On y trouve entre autres le Parlement d'Andalousie, qui siège dans l'ancien Hôpital de las Cinco Llagas, l'hôpital universitaire Virgen de la Macarena et la Torre de los Perdigones (littéralement, la Tour des Plombs).
Le retable de l'autel est de style néo-baroque. Il est réalisé en 1949 par les huchiers Juan Pérez Calvo et Rafael Fernández del Toro. Ses décors sculptés sont du gaditan Luis Ortega Bru et les dorures d'Antonio Sánchez. L'ensemble a une hauteur de 12 m et se divise en deux corps et un attique qui abrite des allégories des trois vertus théologales. La décoration du camarín (petite chapelle située derrière l'autel) est exécutée par López Morelló. Le retable héberge la Vierge de la Macarena, une icône anonyme de la fin du xvii e siècle ou du début du xviii e siècle.
Le district a donné son nom à la Porte et à la Basilique de la Macarena (qui se trouvent dans le district Casco Antigo, à la frontière des deux districts). L'origine exacte du nom Macarena n'est pas claire. Il est possible qu'il vienne du terme arabe Macarea ou du nom Bab–al-Makrin sous lequel était connu l'Arc de la Macarena du temps de la domination musulmane. Il se pourrait également qu'il provienne de Macarius (le nom d'un patricien romain qui aurait possédé de grandes propriétés dans la région), du nom d'une infante maure qui vécut dans le quartier ou de celui de Macaria, une fille d'Hercule
La deuxième moitié du xxe siècle est dominée par deux projets d'aménagement urbain majeurs. Le premier d'entre eux est l'édification à partir des années 1960 de grandes cités, dont l'objet est d'absorber l'accroissement de la population (Las 3000 viviendas, Los Remedios, les Polígonos…). Le deuxième projet voit le jour avec la tenue de l'Exposition universelle de 1992, qui amène les autorités locales et nationales à engager la construction de nouvelles infrastructures de transport et de nouveaux quartiers, le réaménagement des quais, la restauration et la réhabilitation d'un grand nombre de zones et de monuments du cœur historique de la ville, sans compter la création du site propre de l'Exposition. Les quais du canal Alphonse-XIII sont depuis lors devenus une longue promenade fleurie, qui a rendu son fleuve à la ville
(Plaza de España en castillan) est une des places les plus spectaculaires de Séville
Elle est conçue pour l'Exposition ibéro-américaine de 1929 par l'architecte local Aníbal González (architecte responsable de l'événement). Ce dernier en initie la construction en 1914. González ayant présenté sa démission en 1926, la construction est reprise par Pedro Sánchez Núñez sous les ordres de Vicente Traver, remplaçant González au poste d'architecte responsable. Mille hommes ont participé à sa construction qui s'est terminée en 1928. C'est la construction la plus coûteuse de l'exposition
(Torre del Oro en espagnol) est une tour d'observation militaire de la ville andalouse de Séville (Espagne). Elle fut construite au début du xiiie siècle, durant la domination almohade, afin de contrôler l'accès à la ville depuis le Guadalquivir. Elle faisait partie des fortifications érigées autour du centre historique de la ville et de l'Alcazar par les Almoravides et les Almohades entre les xie et xiiie siècle.
Pour l'Exposition universelle de 1992, afin notamment d'améliorer l'image de la ville, la darse est partiellement rouverte et ses quais deviennent un lieu de promenade privilégié des Sévillans. À cette occasion, six nouveaux ponts voient le jour, dont le style architectural parfois avant-gardiste contribue à donner une image moderne à la ville.
Ces arènes, les plus anciennes d’Espagne après celles de Ronda, sont classées en première catégorie 64. Construites à partir du xviiie siècle, elles sont la propriété de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla, une corporation nobiliaire, composée de descendants de la noblesse andalouse, et fondée par Charles II, en 1670, à partir d’anciennes confréries chevaleresques médiévales. Son rôle était de former à la cavalerie de guerre les officiers de l’armée espagnole, et d’habiliter ces derniers à intégrer les rangs. Ses activités originelles sont clairement liées à l’équitation.
Elle se consacre aujourd’hui à diverses actions de bienfaisance, de mécénat artistique et culturel, ainsi qu’à la promotion de la pratique équestre et de la tauromachie. En ce sens, elle soutient l’école de tauromachie de la ville. Elle est placée sous le haut patronage du roi, Hermano Mayor, depuis le règne de Philippe V, qui lui accorda plusieurs privilèges
Tauromachie
Séville est un des hauts lieux de la tauromachie espagnole. Berceau de nombreux toreros et capitale d’une des plus fameuses régions d’élevage de toros braves, elle est un des plus éminents foyers de l’afición en Espagne. Se produire à la Maestranza est le rêve de tout matador, et les triomphes en ces lieux sont gages d’un avenir prometteur.
Les arènes
Ces arènes, les plus anciennes d’Espagne après celles de Ronda, sont classées en première catégorie64. Construites à partir du XVIIIe siècle, elles sont la propriété de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla, une corporation nobiliaire, composée de descendants de la noblesse andalouse, et fondée par Charles II, en 1670, à partir d’anciennes confréries chevaleresques médiévales. Son rôle était de former à la cavalerie de guerre les officiers de l’armée espagnole, et d’habiliter ces derniers à intégrer les rangs. Ses activités originelles sont clairement liées à l’équitation.
Elle se consacre aujourd’hui à diverses actions de bienfaisance, de mécénat artistique et culturel, ainsi qu’à la promotion de la pratique équestre et de la tauromachie. En ce sens, elle soutient l’école de tauromachie de la ville. Elle est placée sous le haut patronage du roi, Hermano Mayor, depuis le règne de Philippe V, qui lui accorda plusieurs privilèges