Adresse :
Sainte-Lucie
48100 Saint-Léger-de-Peyre
France
GPS : N 44.606098, E 3.284750
Nombre de place(s)15
Prix des services :Aucun service
Stationnement possible sur le parking du Parc des Loups du Gévaudan Accès : D809-La Rouvière - D253 - Fléchage
En plein cœur du Gévaudan, ce parc accueille plus d’une centaine de loups de 5 sous-espèces différentes. Le but des propriétaires est de changer l’image négative de l’animal. Vous commencez votre visite par un espace muséographique. On y traite de la place du loup dans les publicités et dans les contes. Des documents sur la bête du Gévaudan sont aussi exposés.
Vous entrez ensuite dans le parc animalier ou les canidés sont divisés en 5 groupes selon leur origine. Vous observerez des loups d’Europe, du Canada, de Sibérie, de Mongolie et des loups arctiques
BON A SAVOIR : La billetterie ferme 45 minutes avant la fermeture du parc.
CE QU’IL FAUT SAVOIR SUR LA VISITE
Le déroulement
Une promenade dans le parc vous permettra d’observer et de connaître les diverses attitudes et comportements de nos meutes. 5 sous-espèces de loups sont actuellement présentes ( Mongolie, Sibérie, Pologne, Canada et Arctiques ).
La découverte du parc se fait à pied sur un chemin naturel et pentu. Tout au long du parcours de nombreux points de visions sont aménagés et vous permettront d’avoir une vue imprenables sur les meutes (baies vitrées, promontoires…).
Comptez 3 heures pour visiter le parc et assister à une visite guidée.
CALENDRIER D’OUVERTURE 2023
Ouverture du Parc
Du 4 février au 12 novembre : Ouvert tous les jours
Du 13 novembre au 22 décembre : Fermé
Du 23 décembre au 7 janvier 2024 : Ouvert (à l’exception du 25 décembre et du 1er janvier : parc fermé).
Horaires
Février à Mars 10h à 17h
Avril, Mai, Juin, Septembre 10h à 18h
Du 1er octobre au 12 novembre inclus 10h à 17h
Du 23 décembre au 31 décembre 10h à 17h
Du 1er au 7 juillet 10h à 18h
Du 8 juillet au 31 août 10h à 19h sauf le mardi, jeudi et samedi de 10h à 18h30
Le nourrissage des loups :
Les nourrissages ont lieu les lundis, mercredis et vendredis dans l’après-midi (horaires variables selon la saison).
Les loups sont toutefois sollicités quotidiennement au cours des visites guidées avec des friandises
La visite guidée est incluse dans le prix d’entrée.
Durée : 1 heure
Les visites classiques - Tout public - Sans réservation
Horaires :
10h30 - 14h00 - 15h30
AURILLAC - LE CENTRE VILLE
Construite en brèche volcanique au début du XIVe siècle, l'église a été lourdement restaurée et décorée au XIXe siècle. Edifice de type méridional dont la nef unique a été flanquée, entre les contreforts, de chapelles latérales dessinant de faux collatéraux (fin 14e au nord ; début 17e au sud). Le portail occidental est à rouleaux et cavets en retraits successifs, sans tympan. Sur le flanc sud, porte à bossages du XVIIe siècle, qui ouvrait autrefois au nord sur le cloître disparu, et remontée à cet endroit. Le clocher a été reconstruit en 1847 par l'architecte diocésain Carriat. Le chevet a été restauré en 1889 par Aigueparsses, qui édifia également l'étage au-dessus de l'ancienne salle capitulaire, ainsi que l'escalier en tour ronde qui y mène.
Mobilier classé Monument Historique conservé dans l'édifice :
Tableau : la Cène
Statue : Vierge à l'Enfant
2 tableaux et leurs cadres : saint Roch, saint Philippe Néri
Tableau : la cuisine de la Vierge
Statue dite Vierge noire : Vierge en majesté
Statue : sainte Agnès
Calice
Ostensoir-monstrance
Le Muséum des Volcans est situé dans le Château de Saint-Étienne depuis 1997, au cœur de la ville abbatiale d’Aurillac et du plus grand ensemble volcanique d’Europe. Il est dédié aux sciences de la Terre et de la vie, à l’environnement et à l’écologie, et raconte l’histoire des volcans ainsi que les mystères de la Planète Terre. Avec sa vue imprenable sur la ville depuis les terrasses du jardin, le château accueille dans l’une de ses ailes le Muséum des volcans. Ce parcours muséographique vous propose de partir à la découverte du Cantal, au cœur d’un univers marqué par les grands bouleversements de la planète et les mouvements des continents. Le Muséum des volcans dévoile aux enfants et aux plus grands les mystères de la Terre et du plus important volcan éteint d’Europe ! Des expositions temporaires, des conférences, des animations et des ateliers pour les jeunes sur des thématiques scientifiques et artistiques sont également au programme des musées d’Aurillac2. Si vous avez l’occasion de visiter, je vous encourage à explorer ce lieu fascinant qui mêle histoire géologique et environnementale.
19 place du Square
Historique :
En 1846, la décision est prise de construire un ensemble comportant palais de justice, gendarmerie et maison d'arrêt, compte tenu de la vétusté des locaux utilisés jusque là. Un premier projet est présenté en 1847, puis un second en 1849 par Théophile Carriat, architecte chargé du service des bâtiments du Cantal. Les trois édifices s'inscrivent dans un rectangle, la gendarmerie et la prison formant chacune une aile du palais. Un jardin se développe le long des façades principales, clôturé par une murette surmontée d'une grille. Le portique forme une saillie sur la façade. La cour de la gendarmerie est encadrée par divers bâtiments de service, d'habitation ou d'utilité. Les bâtiments de la gendarmerie et de la prison, édifiés de 1850 à 1855, restent dans la tradition classique des XVIIe et XVIIIe siècles. Le Palais de justice (1865-1872) présente un style plus antiquisant.
Périodes de construction :
2e moitié XIXe siècle
10 Rue Arsène Vermenouze
L'hôtel en totalité, y compris les intérieurs avec leurs décors de boiserie et cheminées (escalier, salle à manger du rez-de-chaussée ; salle à manger, salon Directoire, salon Louis XV au premier étage ; salon jaune et chambre à parquet Versailles du deuxième étage ; séchoir du troisième étage) (cad. AH 190) : inscription par arrêté du 29 décembre 2004
Historique :
Hôtel particulier édifié au milieu du XVIIIe siècle pour la famille Cébié, de la noblesse de robe d'Aurillac. Il a ensuite été possédé par le baron Perret, maire d'Aurillac, puis par la famille du consul Roger Ducos.
Périodes de construction :
milieu XVIIIe siècle
Propriété privée
37 Rue Arsène Vermenouze
Historique :
Maison du président Maynard, un des premiers membres de l'Académie Française (1582-1646) , poète et courtisan. Le portail est constitué de deux pilastres ioniques très élancés supportant une corniche. Au-dessus, trois cartouches représentent des casques empanachés et des inscriptions. Escalier en bois à balustres, sur trois étages.
Périodes de construction :
XVIe siècle, XVIIe siècle
Propriété privée
5 Rue Arsène Vermenouze 15000 Aurillac
Eléments protégés :
Portail : inscription par arrêté du 30 avril 1946
Historique :
Portail du XVIIIe siècle, en pierre appareillée et constitué d'un arc surbaissé mouluré s'appuyant sur des jambages. Deux pilastres le décorent. Les chapiteaux et la clé de l'arc sont constitués par des consoles supportant le balcon du premier étage. L'immeuble possède en outre un escalier à balustres en bois et des boiseries Louis XV.
Périodes de construction :
XVIIIe siècle
Propriété privée
7 Rue Arsène Vermenouze
Eléments protégés :
Portail : inscription par arrêté du 30 avril 1946
Historique :
Portail à plate-bande en pierre appareillée, constitué par deux pilastres moulurés supportant un fronton. Ce fronton interrompu présente dans son centre une imposte rectangulaire. Cette imposte est elle-même surmontée et décorée d'un fronton circulaire.
Propriété privée
18 Rue Arsène Vermenouze
Eléments protégés :
Porte d'entrée : inscription par arrêté du 30 avril 1946
Historique :
Porte gothique moulurée avec tympan en accolade qui a dû recevoir un motif sculpté ou un fenestrage aujourd'hui disparus.
Périodes de construction :
XVe siècle
Propriété privée
situé square Arsène-Vermenouze
Description :
"Le 23 juillet 1925 est signé le traité de gré à gré entre le maire d'Aurillac, Louis Dauzier, et Henri-Raphaël Moncassin, statuaire, d'une part, et André Maurice, architecte, d'autre part, reçus vainqueur au concours lancé par la ville l'année précédente. Inauguré en grande pompe le 3 juillet 1927, ce monument prend la forme imposante d'un « mur », ainsi que le désigne Germain Pouget dans son étude sur les monuments du souvenir dans le Cantal. De fait, se dresse devant le passant une colossale stèle carrée dans laquelle s'inscrit une grande couronne qu'il convient davantage de lire comme un symbole mortuaire que comme un couronnement de victoire. A droite apparaît un groupe identifiant la cellule familiale : une fiancée ou une sœur offre un bouquet de fleurs. Elle tient par la main une petite fille qui lui demande la raison de son chagrin. Elle est également reliée à une figure maternelle plus âgée, gardienne du foyer. En arrière-plan, sur le côté de la stèle se dessinent des outils se référant au monde quotidien du travail. Cette femme mûre regarde dans la direction de la Paix parée de ses habits grecs de Justice, telle une Athéna. Cette dernière arbore les tables de la Loi. Elle retient également de la main la fougue guerrière, dont la présence peut être interprétée de diverses manières. Certes elle renvoie à la guerre qui vient de se terminer, mais elle peut aussi être considérée comme un moyen nécessaire à la paix et au maintien de l'ordre, à condition de la maîtriser. Le sculpteur, Henri-Raphaël Moncassin, est né à Toulouse en 1883 et mort en 1958 à Paris. Deuxième Premier Prix de Rome en 1905, il est l'auteur de 4 autres monuments aux morts, notamment à Fontenay-aux-Roses et Toulouse."
17 place du Square
Eléments protégés :
Façades et toitures : inscription par arrêté du 4 mai 1984
Périodes de construction :
2e moitié XIXe siècle
18 place du Square
Eléments protégés :
Façades et toitures : inscription par arrêté du 4 mai 1984
Périodes de construction :
2e moitié XIXe siècle
3 rue Henri-Mondor
Eléments protégés :
La villa en totalité, y compris ses décors intérieurs aux boiseries en pitchpin et son panneau issu de l'exposition universelle de 1937 (cad. AE 10) : inscription par arrêté du 23 décembre 2009
Historique :
Maison construite en 1903 pour et par l'architecte Casimir Croizet. La villa se présente comme une maison de faubourg en pierre blanche s'élevant sur deux niveaux et donnant sur cour et jardin. L'architecture éclectique est remarquable par l'influence Art Nouveau qui se traduit principalement dans la forme et l'ornementation de certaines des baies. L'intérieur conserve des menuiseries au dessin original, réalisées en pitchpin de Norvège, ainsi qu'un panneau peint provenant du pavillon du Massif Central de l'Exposition universelle de 1937. Des modifications ont été apportées par Pierre Croizet dans les années 60.
Périodes de construction :
1er quart XXe siècle
Avec plus de 135 années dédiées à la fabrication de parapluies et riche de son patrimoine, la société Piganiol a conservé son savoir-faire artisanal et ses valeurs. Cinq générations se sont succédé à sa tête pour en faire un des leaders européens du parapluie haut-de-gamme. Piganiol est désormais tourné vers l'avenir et innove dans le parapluie de luxe. Venez découvrir au fil des pages nos parapluies L'Aurillac, nos parapluies haut de gamme, alliant la tradition d'un savoir-faire séculaire et la créativité d'un accessoire de mode, ainsi que des parapluies femme et des parapluies homme originaux et raffinés.
Des parapluies fabriqués en France
Riche de son héritage, la Maison Piganiol, manufacture de parapluies, perpétue depuis 1884 un savoir-faire séculaire et s'engage pour maintenir une tradition en proposant des parapluies français uniques et créatifs. Le Ministère de l'Economie lui a d'ailleurs décerné depuis 2012 le label "Entreprise du Patrimoine Vivant".
Visite guidée d'une des plus anciennes fabriques de parapluies françaises.
Vous avez prévu de faire du tourisme à Aurillac, préfecture du Cantal, rendue célèbre pour son Festival du Théâtre de Rue ? Profitez de votre venue dans cette charmante commune pour visiter l’une des plus belles usines de France. La Maison Piganiol, fabrique de parapluie à Aurillac, vous ouvre ses portes et vous propose la visite de son usine avec un guide. Une idée de tourisme artisanal qui vaut le détour ! Découvrez un lieu historique datant de près de 140 ans, où perdure un savoir-faire unique : celui de la création de parapluies français haut de gamme, vendus dans toute la France ainsi qu’en Europe.
En 1 heure, toute la famille pourra découvrir les secrets de fabrication et le savoir-faire mis en œuvre par les différents métiers au sein d’une manufacture de parapluies : carcassier, piqueuse, patronnier… Dernière manufacture aurillacoise, la Maison Piganiol perpétue le savoir-faire séculaire d’Aurillac, capitale européenne du parapluie.
De 1884 à aujourd’hui, 5 générations de père en fils ont dirigé cette entreprise labellisée Entreprise du Patrimoine Vivant. Les emblématiques Parapluie de Berger et le modèle L’Aurillac sont les témoins de cet héritage et porteurs des valeurs d’une entreprise familiale française : qualité et durabilité. La belle histoire du parapluie à travers les siècles et à Aurillac vous sera également présentée, illustrée par des objets (parapluies anciens, outils…), documents et photos issus de la collection privée de la famille Piganiol.
Entrée Adulte : 10€ - Réservation obligatoire