Projet le Vaucluse

Test du Chausson 660


Jeudi 18 Avril

Alès

La Roque sur Cèze

Au nord du département du Gard, La Roque-sur-Cèze s'est construit sur un piton rocheux en surplomb de la Cèze qu'enjambe un vieux pont à douze arches. Dominé par les vestiges d'un ancien château et sa chapelle romane, le village aux calades pentues et maisons de pierres blondes à génoises offre une vue imprenable sur les cascades du Sautadet, un site naturel exceptionnel qui ajoute à l'attractivité du lieu.

Le bouche à oreille

L’arrivée dans le village de la Roque-sur-Cèze se fait par un étonnant pont, si étroit que deux véhicules ne peuvent absolument se croiser. L’ouvrage d’art daterait du 12ème siècle et est classé Monument Historique depuis 1980. Il se compose de dix arches en plein cintre et accuse un léger dos d'âne en son milieu. Malgré des avant-becs triangulaires protégeant les piles contre la force du courant, le pont est mis à rude épreuve par les différentes crues affectant La Cèze et notamment celles de 2002. Des travaux menés en 2014 ont permis de remettre en valeur cet élément patrimonial remarquable.

Les Cascade du Sautadet

sont situées à La Roque sur Cèze. Formées par la Cèze, les Cascades sont une série de chutes d'eau impressionnantes !

 

Un site emblématique à découvrir 

Ainsi se dessinent les Cascades du Sautadet, un lieu d'une grande beauté et de ce fait très photogénique, cadre idéal pour une pause nature. Attention toutefois ce site est strictement interdit à la baignade. 

 

Cascades du Sautadet et baignade

Les Cascades du Sautadet sont extrêmement dangereuses et strictement interdites à la baignade 

 

car la force des courants et les tourbillons générés par le relief accidenté provoquent régulièrement des accidents quelquefois mortels chez des baigneurs imprudents.

Elles ont d'ailleurs pour surnom « le saut du diable » et un dicton dit « à la roque le diable s'y croque » en référence aux nombreux accidents par imprudence qui ont lieu depuis des années. 

Un peu plus en aval des Cascades, une plage sans dangerosité permet de se baigner et de profiter d'une pause rafraîchissante !


Site du Sautadet : une rivière et des cascades

A hauteur de La Roque sur Cèze, la Cèze a creusé une série de chutes d'eau d'un niveau progressif allant jusqu'à 15 m ! La Cèze a creusé des chenaux et des cavités qui finissent par se rejoindre et forment des crevasses et des rapides dans lesquels la rivière s'engouffre.

Les éléments les plus spectaculaires sont les marmites de géants. Ce sont des cavités cylindriques (certaines ont quelques mètres de diamètre) creusées dans le lit rocheux de la rivière par le mouvement tourbillonnant des galets. Ces roches calcaires ont 5 millions d'années...


Vendredi 19 Avril

Beaumes de Venise

(N° 3698)

 

120 chemin des Moulins

Camping municipal de Roquefiguier**

84190 BEAUMES DE VENISE

Latitude : (Nord) 44.1225° Longitude : (Est) 5.03444°

 

 

Tarifs saisons 2024

Adulte : 3,88 €

Mineur de 10 à 18 ans : 3,80€

Enfant de 5 ans à 10 ans : 2.00 €

Véhicule : 2,50 €

Emplacement : 4,30 €

Chien : gratuit

Redevance branchement électrique : 5.00 €

Taxe de séjour : 0.22€ par jour et par adulte

Type de borne : Autre

Services :

 

Lave-linge

 

Autres informations :

 

65 emplacements

Tel : +33 490 629 507

@MAIL

SITE INTERNET

Le camping ouvrira lundi 18 mars 

D'avril à Septembre : de 8h30 à 12h30 et de 14h00 à 19h00. /

Octobre : de 8h30 à 12h00 et de 14h00 à 18h30


(N° 25824)

PARKING

Place du Marché

84190 BEAUMES DE VENISE

Latitude : (Nord) 44.1206° Longitude : (Est) 5.02775° 

Tarif : Gratuit

 

 

 

Services :

Acces Handicapes

 

Autres informations :

SITE INTERNET


Une situation exceptionnelle au pied des Dentelles de Montmirail

Niché au pied des Dentelles de Montmirail qui lui servent de rempart naturel contre le mistral, le village de Beaumes de Venise doit son nom aux nombreuses grottes creusées dans la colline des Courens à laquelle il est adossé.

« baumo » qui signifie « grottes » en provençal et la contraction du mot « venaissin » en « venisse » puis « venise ». Les « grottes du Venaissin » se sont transformées en poétique « Beaumes de Venise ».

Ce petit bourg est l'endroit idéal pour se ressourcer et bénéficie d’un climat doux et ensoleilé. Sa situation exceptionnelle au pied des Dentelles de Montmirail, près du Mont Ventoux attire de nombreuses personnes qui délaissent le monde au bord des côtes du littoral pour venir se reposer au calme et au vert.

Il est le départ de nombreuses randonnées qui font découvrir le cœur ancien du village, la garrigue environnante couverte d’essences méditerranéennes, les vergers d’oliviers inondés de soleil et les célèbres vignobles réputés.

A voir dans le village de Beaumes de Venise

 

Une balade sur le plateau de Courens, accessible à pied, s'impose. Il vous offrira un superbe panorama sur les Dentelles de Montmirail et sur le village qui s'étend à ses pieds. Lieu stratégique et défensif, on retrouve des traces d'occupation depuis la Préhistoire :

 

A voir dans le village de Beaumes de Venise

 

Occupé depuis l'Antiquité, le village de Beaumes est surmonté par les ruines d'un château du XIIe siècle. Notre Dame d'Aubune à Beaumes de Venise,(1,9 km du camping) joyau de l'art roman, est l'un de ses prestigieux témoignages du passé.



Samedi 20 Avril

Malaucène

Malaucène est situé dans une riante vallée entourée de montagnes, au nord du département de Vaucluse et limitrophe avec la Drôme provençale.

Grand bourg chargé d'histoire, la commune de Malaucène est comme une poupée russe. Couche par couche, après les quartiers plus modernes de l'extérieur, on trouve ensuite les grands boulevards, à l'emplacement des anciens remparts. Bordés de restaurants, cafés et de platanes centenaires qui procurent de l'ombre, c'est là, sur la Cours des Isnards, que tous les mercredis matins a lieu le marché. Et ce depuis sept siècles. L'un des plus anciens marchés de Provence, c'est aussi une véritable vitrine des produits frais locaux: les fameuses cerises, asperges, abricots. 

Des anciennes fortifications, quelques portes médiévales subsistent encore comme la Porte Soubeyran, jadis le gibet. En les franchissant, on découvre le centre-village, très vieux et animé autrement avec ses échoppes à l'ancienne. Continuer encore et par la Grande Rue, la Rue du Château, le rang semi-circulaire de maisons qui ont fait du village un lieu fortifiée au XIVe siècle, on pénètre dans le Moyen Age, et dans son for intérieur.

Bien que Malaucène ne soit pas un village perché, il a sa colline, pile au coeur du centre ancien et autour de laquelle il s'est développé au XIIe siècle.

A l'époque, un château-fort fut érigé tout en haut. Abandonné puis démonté pierre par pierre au XVIIIe, le château a cédé la place à trois croix. Un chemin caladé ponctué de 13 oratoires mène au sommet, appelé aujourd'hui le Calvaire. Là un paisible lieux verdoyant vous attend et vous offre un panorama sur le village, ses toits en tuiles rouge et ses monuments.

La dédale de ruelles étroites recèle de belles maisons aux portes anciennes, des chapelles du XVIIe et plusieurs fontaines et lavoirs du XVIe au XIXe siècle. L'église Saint Michel fut édifiée au XIVe siècle sous l'ordre du pape Clément V. Assez austère de l’extérieur mais avec un joli clocher, l'intérieur est orné de sculpture sur bois hautement travaillé. Accolé à la face sud, un banc de pierre a la réputation d'être le plus long d'Europe.

Le beffroi avec son campanile en fer forgé, construit entre 1482 et 1532 et rehaussé en 1762, servait comme tour de guet. L'ancienne horloge a été définitivement remplacée dans les années 1980 mais l'originale peut être vue à la mairie.

A quelques centaines de mètre du village sur la route du Ventoux se trouve la chapelle Notre Dame du Groseau, seul vestige d'un monastère fondé en 684.  On croit que ses fresques furent exécutées par le pape Clément V même qui y séjourna entre 1308 et 1314. Un peu plus loin, une esplanade précède la source du Groseau qui doit son nom au dieu celte Groselos et aux nymphes Grisélidis. Au moyen d'un imposant aqueduc, dont on peut toujours voir des vestiges, le Romains ont détourné des eaux pour alimenter Vaison-le Romaine.

Il y a aussi de nombreuses grottes dans le coin, dont la Grotte de Notre-Dame-des-Anges avec 110 m de galeries accessibles et un lac et une source souterrains.

Le beffroi

Situé en contrebas du Calvaire, la construction du Beffroi décidée en 1482 ne fut terminée qu'en 1532. Il donne l'heure aux habitants depuis plus de 5 siècles.

En 1678, l'horloge fut dotée d'un "repicq". Après de nombreuses réparations, le mécanisme de l'horloge fut remplacé par Cosme Brachet un spécialiste de Séguret et on en profita pour rehausser le beffroi en 1762. En 1910, le mécanisme et le cadran en fer (aujourd'hui exposé dans la mairie) ont été remplacés. Enfin, en 1985, un mouvement électrique a définitivement mis fin à la fonction séculaire de "gouverneur de l'horloge".

Le Calvaire

C'est un site unique en son genre. N'hésitez pas à y faire étape!

Abandonné puis démonté pierre par pierre au XVIIIe, le château a cédé la place à trois croix.

Un chemin caladé ponctué de 13 oratoires mène au sommet, appelé aujourd'hui le Calvaire. Là un paisible lieux verdoyant vous attend : le Calvaire s'avère une superbe promenade avec une vue panoramique exceptionnelle sur le village, ses toits en tuiles rouge, ses monuments et le Ventoux.

Bien que Malaucène ne soit pas un village perché, il a sa colline, pile au coeur du centre ancien et autour de laquelle il s'est développé au XIIe siècle.

A l'époque, un château-fort fut érigé tout en haut.

le Château, mais aucun texte n'atteste de la présence d'une demeure seigneuriale sur ce promontoire dont les murs de pierre attestent de sa présence passée, reste mystérieux du point de vue de son utilisation passée et de ses occupants.

"L'ancien château" dont on pense qu'il s'agit plutôt d'un donjon ou d'une tour de guet carrée (et peut-être une geôle), mesurait 22 m de haut; Elle occupait le sommet de la colline de safre qui a donné son nom à la ville : safre "malaussena" en provençal, le tout ceinturé de rempart et d'un chemin de ronde

Une légende raconte qu'on enfermait les brigands et les ennemis sans les nourrir et quand les villageois s'endormaient, on entendait ces malheureux crier de faim, en provençal"brama fan". D'où le nom légendaire de la tour du calvaire.

En 1750, les habitants craignant un effondrement de la tour sur les habitations obtiennent sa destruction.

En 1828, on aménage une sorte de plateforme qui conserve une partie des fortifications avec une large rampe caladée bordée de cyprès, un calvaire occupe le centre avec le crucifix et les deux croix des Larrons, enfin des grilles ponctuées de 13 oratoires encerclent le tout au niveau de l'ancien chemin de ronde

Entre 2007 et 2009, dans les niches créées à cet usage au XIXe s, l'artiste plasticien Luc Ta-Van-Thinh a réalisé un Chemin de Croix contemporain et original en céramique, composé de plaques gravées, à la fois original, puissant pour remplacer les œuvres anciennes abîmées ou détruites.

La fontaine Du Teron

En 684, Pétronius, petit fils d’Arthémius, nouvel évêque de Vaison, fonde le monastère du Groseau dédié à St-Victor et St-Pierre, pillé en 739 par les Sarrasins. En 998, un moine nommé Richaud fait donation à l’ordre de Cluny des terres au “castrum de Malaucène”. En 1059, Pierre de Mirabe évêque de Vaison, donne le monastère de Groseau à l’ordre de St-Victor de Marseille. Au 11ème et 12ème siècle, les moines s’installent à Malaucène.

A l’origine, la ville n’était desservie en eau que par un simple canal venu de la source du Groseau. La première fontaine construite fut celle du Théron, à laquelle s’ajouta au 15ème siècle, la fontaine Picardie. Mais il faudra attendre la fin du 18ème et le 19ème siècle, pour que le réseau des fontaines connaisse une extension. En 1955 avec l’installation de l’adduction d’eau, certaines de ces fontaines furent fermées et même démolies, d’autres ont été conservées et restaurées, comme celle située à l’angle de la rue de Guimety et de la Place des Anciens Combattants d’Afrique du Nord, espace antérieurement appelé le Portail Filiol. La fontaine est accompagnée d’un lavoir, l’ensemble fut inauguré en 1879, il a longtemps abrité l’alambic communal dans lequel les propriétaires de vignes venaient faire distiller le marc de leurs raisins (le mou) pour en recueillir l’eau de vie.

Le Portail Filiol dont l’appellation est très ancienne, doit son nom vraisemblablement à un habitant de l’endroit. Il était la porte inférieure du bourg, l’aboutissement septentrional de la Grande-Rue. Flanqué d’une tour précédée d’un ravelin (petit bastion de défense en forme de demi-lune), il mettait en communication le village et le grand chemin vers Vaison. Au cours des siècles de nombreuses modifications lui ont été apportées, jusqu’à ce que les remparts perdent leur utilité. C’est en 1658 que le pont-levis est supprimé, le mur s’effondre en 1719. Il ne reste aujourd’hui aucune trace de ce portail si ce n’est le nom.

 

Chapelle Saint Alexis

Oeuvre de l’artiste anglais Michael Bastow, les cycles des dessins dans la chapelle, privée et désacralisée, Saint Alexis, à Malaucène en Provence, sont conçus comme des fresques éphémères, des fresques en évolution constante.

Prenant comme point de départ des cartons préparés pour une fresque permanente, un projet abandonné à cause de l’humidité des murs, le premier cycle a eu pour thème les sept ages de la femme, de la naissance jusqu’à la mort. Dessiné au fusain et pastel sur sept panneaux de papier kraft, avec des lavis de couleurs et des collages de papier-calque.

Église Saint Michel

Témoin privilégié de notre histoire et de note identité

Edifice de caractère, imposant et magnifique, l'église saint Michel a été classée monument historique par arrêté du 4 novembre 1982. C'est à la fin du XIIIème siècle que débuta sa construction dont on attribue l'origine au pape Clément V. Les travaux restent inachevés au milieu du XIVème siècle, seules les quatre premières travées occidentales ayant été construites.

La fortification de l'église (XIVème, XVIème)

Le Grand Schisme d'Occident (fin XIVème - début XVème), puis les guerres de religion laissent le Sud de la France dans un climat politique et religieux instable. Cette période d'incertitude a des conséquences sur Malaucène qui fortifie son église : mâchicoulis à l'Ouest, casemates en façade Sud, chemin de ronde....

En 1433, des travaux sont exécutés sur les portes de la ville et sur l'église pour faire, semble-t-il (ou refaire) sur 25 mètres de long les " guachili " (ce terme peut désigner un chemin de ronde à merlons et créneaux qui devient une sorte de bretèche à mâchicoulis au dessus de la porte de l'église.) 

En 1560, on mure la grande porte et on construit une porte située en façade Nord. Mais la ville est prise par les Huguenots qui profanent les tombeaux et pillent l'église et son mobilier. Ils y établissent leur culte, ce qui lui évita es destructions plus importantes. Ils quittent finalement la ville sous la pression des troupes royales et pontificales. " (Cf. Thèse Francesco Flavigny)

En 1579, on construit pour des raisons de défense des casemates au Sud de l'église, entre l'espace des contreforts. Ces structures étaient sans doute complétées par une coursive à merlons et créneaux. (Cf. Joseph Guinier historien de la Ville de Malaucène au XVIIIème siècle)

En 1635, on rouvre la grande porte occidentale (Cf. Thèse Francesco Flavigny).

La chronologie des travaux entrepris de la fin du XIVème jusqu'au début du XVIème n'est pas facile à établir, toutefois la majeure partie des installations de fortifications pourraient avoir été en place dès la première moitié du XVème. Deux styles constructifs peuvent être observés pour ces éléments de fortification. Le premier représenté par le mâchicoulis situé en façade Ouest, dont le style soigné peut s'apparenter au XIVème. Le deuxième, très rustique, préservé au droit des casemates de la façade Sud, pourrait correspondre aux travaux entrepris en 1433.

 

Les XVIIème et XVIIIème siècles

Après de nombreuses discussions et projets, l'église Saint-Michel est finalement agrandie au début du XVIIIème. On poursuit la nef par une cinquième travée et on construit le chœur avec déambulatoire. La disette de 1709 et des problèmes avec les entrepreneurs stoppent le chantier provoquant en 1711 l'effondrement de la voûte de la cinquième travée.

La consécration a finalement lieu le 29 avril 1714. A la fin du XVIIIème siècle, les deux versants de toiture donnent sa forme définitive à l'église. Cet édifice construit conserve le principe des églises à nef unique, en berceau brisé, fréquentes en Provence.

L'église Saint-Michel domine le bourg et forme l'angle des murs d'enceinte. Le plan présente une grande régularité de distribution. Le vaisseau principal compte 5 travées délimitées par 4 puissants contreforts délimités par des chapelles ouvertes par de grandes arcades sur la nef. Le clocher est implanté sur la travée au Nord.

La couverture du chœur et de la nef est constituée de dalles de pierre calcaire de Beaumont-du-Ventoux. Celle du clocher, certainement en pierre à l'origine, a ensuite été revêtue d'une couverture en tuiles canal vernissées de couleur verte. Au XXème siècle, les tuiles ont été remplacées par des ardoises de fibrociment posées sur la diagonale. Lors des travaux de 1975, faute de moyens pour restituer la couverture en pierre, une dalle de béton lisse a été réalisée, assurant l'étanchéité du clocher jusqu'à maintenant.


Dimanche 21 Avril

Villa antique des Bruns 

à la fois exploitation agricole, habitation avec des thermes, possède plusieurs particularités qui en font un site archéologique d'une grande valeur historique et patrimoniale.

Un peu d'histoire

Les fouilles archéologiques

Découverte lorsque des travaux de construction ont été entrepris sur ce terrain situé à la sortie du hameau des Bruns, sur la gauche de la route qui monte au Ventoux, des fouilles de sauvegarde ont commencé en 1995.

Elles se sont poursuivies par un programme mené entre 1996 et 2000 et ont permis d'identifier :

l'existence d'une petite construction rurale au 1er siècle de notre ère ;

la construction de la villa gallo-romaine au 2e siècle ;

un abandon du site au 3e siècle.

Les travaux archéologiques effectués nous donnent des indications sur la vie quotidienne des habitants du piémont du Ventoux au début de notre ère.

La villa

Cette villa gallo-romaine correspondrait de nos jours à une ferme avec une pars rustica correspondant à l'exploitation agricole, et une pars urbana qui n'est autre que l'habitation, entre lesquelles se trouvaient des thermae, les thermes.

D'une superficie d'environ 1 000 m2, elle comportait 27 pièces dont, notamment, un tablinum (bureau du maître de maison qui contenait les archives de la famille), deux cubiculum (chambres), un triclinium (salle à manger) que l'on peut situer sur place.

Son organisation toute en longueur (80 m X 11 m) est, semblerait-il, unique dans tout le sud-est de la France. Les habitations gallo-romaines étant toujours organisées autour de l'atrium (pièce centrale de l'habitation). Cette construction en longueur et en terrasses est peut-être due à son implantation sur ce terrain qui est en pente.

La villa gallo-romaine des Bruns possède plusieurs particularités qui en font un site archéologique d'une grande valeur historique et patrimoniale.

De nos jours

Un espace d’accueil culturel et touristique dédié au thème de la « Romanité » dans le village

Dans le cadre de son projet de la Romanité intitulé « Réhabilitation de l’ancienne caserne des pompiers et la mise en valeur de la villa Gallo-Romaine des Bruns », la projection en 3D dans la salle multimédia de l’espace culturel réhabilité permettra aux habitants du territoire et aux nombreux visiteurs de se représenter le site à l’époque romaine.

Ce film sera animé avec des personnages et des objets d’époque de la villa Gallo-Romaine des Bruns et il sera complété par un film immersif sur le patrimoine historique et naturel de Bédoin.

Le Ventoux

En raison du fort Mistral nous ne l'avons pas grimpé....cette fois ci !

Par contre je me suis arrêté à la CAVE BEAUMONT DU VENTOUX !

Bédoin

Le Mistral a eu raison de notre courage à sortir visiter Bédouin 

Une prochaine fois peut être


Lundi 22 Avril

Pernes les Fontaines

(N° 27865)

 

Cours Frizet

Place Frédéric Mistral

84210 PERNES LES FONTAINES

Latitude : (Nord) 43.9993° Longitude : (Est) 5.05665° 

Tarif : Gratuit

Services :


Autres informations :

 

Ouvert A l'année

10 emplacements

Durée maxi: 7 jour(s) ou plus

Tel: +33 4 90 61 31 04

mairie@ville-pernes-les-fontaines.fr

https://porteduventoux.com/camping-cars

Attention : marché de Avril à Octobre le mercredi de 15h à 20h et samedi de 7 à 13h


(N° 25032)

 

Camping municipal Coucourelle **

485 avenue René Char

84210 PERNES LES FONTAINES

 

Latitude : (Nord) 43.99964° Longitude : (Est) 5.06768° 

 

Tarif : 2023

Electricite : 3.50 €

Emplacement : 12.50 €

Taxe De Sejour Par Personne Ou Campingcar : 0.22 €

Type de borne : plateforme

Services :

 

 

Informations Touristiques

 

Electricité : 10 ampères, 24h, 40 prises

Wifi gratuit : oui

Plein d'eau : >200 l

 

Ouvert du 01-04 au 30-09

40 emplacements

Moyen de payment : Especes Cheque ChequeVacances

Tel: +33 4 90 66 45 55

@MAIL

SITE INTERNET

 


Canal de Carpentras

De sa collégiale romane aux 14 anciens hôtels particuliers, en passant par le panorama au sommet de la Tour de l’Horloge (ancien château des Comtes de Toulouse) sans oublier les fresques du XIIIe siècle de la Tour Ferrande !

Vous allez en prendre plein les yeux !!

La collégiale

Située dans la plaine fertile des Monts de Vaucluse adossés au Mont Ventoux, entre Carpentras et l'Isle sur la Sorgue, Pernes-les-Fontaines est également appelée « la Perle du Comtat ». Ancienne capitale du Comtat Venaissin, avant de passer sous le dominion des papes, elle conserve de cette période un patrimoine historique exceptionnel. Avignon et le Luberon sont à moins d'une demie-heure, sa situation est idéale pour rayonner sur la Provence.

D'abord Paternus, puis Paternae et Pernes, la ville qui bénéficiait d'une source naturelle et comptait 36 fontaines en 1936, est devenue « Pernes-les-Fontaines ».

Et des fontaines, il y en a ! Pas moins de 40 - deux fois plus si on compte les fontaines privées - datant du XVIIIè siècle et dont plusieurs sont classées aux Monuments Historiques. Recouvertes de mousses ou de mascarons, monumentales ou minuscules, vous pourrez les admirer à votre rythme en vous laissant guider par le bruissement de l'eau ou en suivant "le Circuit des Fontaines".  Parmi les plus belles, la fontaine du Gigot au pied de la Tour Ferrande, ou la fontaine du Cormoran prés du marché couvert.

Tour de l'Horloge

La halle

Les portes

Découvrez les 40 fontaines dans le village. Certaines sont évidentes : Fontaine du Cormoran, Fontaine du Gigot, Fontaine Reboul, Fontaine de l'Ange.... d'autres sont de véritables surprises, Font de la Lune... Certaines vous demanderont plus de patience et de perspicacité. A faire à pied, en famille, avec un plan du village.

 

ITINÉRAIRE

La balade démarre à partir de la Mairie du village. On peut commencer par la Fontaine du Gigot et la Tour Ferrande où l'on découvrira des peintures murales du XIIIe siècle (visite guidée avec l'Office du Tourisme).

Ensuite flâner le long de la Nesque jusqu'à la Porte Notre-Dame, l'église Notre-Dame de Nazareth, puis les magnifiques halles à côté de la fontaine du Cormoran.

 


Un peu de courage pour monter jusqu'au sommet de la Tour de l'Horloge, ancien château des comtes de Toulouse, qui vous permettra d'admirer la plaine du Comtat Venaissin, le Mont Ventoux et les Monts de Vaucluse.

En redescendant, vous chercherez la Font de la Luna, puis regagnerez la Mairie en passant devant le lavoir et la fontaine de l'Ange.

Beaucoup d'autres fontaines sont plus cachées mais méritent aussi votre regard, alors n'hésitez pas à les chercher, il y en a 40 dans le village ! Bonne balade !


Les fontaines

Au détour des ruelles


Mardi 23 Avril

Alès