De Chalons en Champagne à Chaumont

51 - Vitry le François

Accès rue Louis Rémy Aubert Roche

51300 VITRY LE FRANCOIS

Latitude : (Nord) 48.72449° Longitude : (Est) 4.57813° 

Tarif : Gratuit

 

 

Parking situé à 500 mètres du centre ville

 

15 emplacements non délimités.


La ville de Vitry-le-François, située dans la vallée de la Marne, est dotée d'un bel édifice religieux de style classique des XVIIe et XVIIIe siècles : la collégiale Notre-Dame. Au milieu de la place d'Armes se dresse une jolie fontaine surmontée d'une statue de la rivière Marne.

Un peu d'histoire... Autrefois, Vitry-en-Perthois, cette ancienne place forte, fut démantelée à la fin du XIIe siècle. A la suite de sa destruction totale par Charles Quint, François Ier fonda Vitry-le-François en 1545, lui donnant son nom et ses armes, "D'azur à une salamandre d'or, la tête contournée et couronnée de même, couchée dans un bûcher ardent de gueules ; au chef d'azur soutenu d'or et chargé de trois fleurs de lys de même" avec pour devise "Nutrisco et exstinguo" soit : "Je m'en nourris et je l'éteins".

La réalisation du nouveau Vitry fut confiée à l'architecte italien Marini. Au cours de la deuxième guerre mondiale, la ville fut rasée à 90%. Ville neuve, entièrement reconstruite, elle poursuit toujours son développement.

LA BATELLERIE

Le transport par eau a joué un rôle fondamental dans l’histoire de Vitry-le-François. En choisissant le site de Maucourt, François Ier et son architecte Marini, pensaient déjà à utiliser la rivière pour accroître le développement de la ville. Antérieurement à la fondation de Vitry, existait le petit port du Bas-Village. C’était le fief des bateliers de l’ancien Maucourt. La création et le développement de Vitry-le-François intensifièrent le trafic du Bas-Village, peuplé exclusivement de mariniers. Les trois canaux (latéral à la Marne, de la Marne au Rhin, de la Marne à la Saône) assuraient la liaison Seine-Rhin et Seine-Méditerrannée, via Vitry. Le transport par eau fut à Vitry-le-François le générateur de nombreux métiers et emplois. Avec le développement de la route et du rail, de ce centre batelier pendant des siècles, il reste aux Vitryats la nostalgie des canaux traversant la ville et des péniches amarrées le long des rues commerçantes. Mais le tourisme fluvial apporte désormais sa pierre à l'animation et à l'économie locales.

HOTEL DE VILLE

Place de l'Hôtel de Ville

Datant du XVIIe siècle, l'hôtel de ville fut d'abord l'ancien couvent des Récollets, incendié et très abîmé le 28 juin 1944. Sa restauration s’est achevée en 1962.

Dans ses grands jardins de 2,60 ha et qui sont un lieu de promenade avec leurs deux bassins, on peut voir, devenue théâtre de verdure, la façade de l’ancienne chapelle du collège des garçons incendiée en 1940, et qui se trouvait à l’emplacement actuel de la centrale téléphonique, ainsi que le groupe Adam et Eve, réalisé par le sculpteur Alphonse Terroir et donné à la ville de Vitry-le-François par la ville de Paris.

COLLÉGIALE NOTRE-DAME

Elle domine la place d'Armes avec son imposante façade à deux tours. Edifiée entre les années 1629 et 1754 sur le site d'une ancienne église à pans de bois, construite après l'incendie de la ville par les soldats de Charles-Quint en 1545, elle mobilisa plusieurs architectes et ne sera finalement terminée qu'en 1898.

Pendant votre visite, vous pourrez voir ses chapelles, un maître-autel à baldaquin du XVIIe siècle, une dalle funéraire sculptée et un superbe grand orgue.

LA PORTE DU PONT

Située aujourd'hui à l’entrée de la ville en venant de Châlons, elle fut édifiée en 1746, à l'entrée en direction de Paris.

La Porte du Pont fut nommée ainsi, car elle se situait à l'entrée d'un pont qui enjambait le bras de la Marne. En venant de Paris, elle donnait au voyageur un point de vue remarquable sur la ville en laissant voir l'enfilade de la rue du Pont, la Déesse, le Collégiale et dans le fond, l'hôtel de ville.

Constituant une gêne pour la circulation, elle fut démontée pierre par pierre en 1939.

C’est en 1983 qu’elle fut reconstruite à l’endroit actuel.

LA CHAPELLE SAINT-NICOLAS

Dans le quartier du bas village, à proximité des bords de la Marne, se trouvait, bien avant la fondation de la ville par François Ier, un village de mariniers qui s'est développé avec la création et le développement de Vitry-le-François. Les mariniers édifièrent cette chapelle en 1637 et la dédièrent à saint Nicolas, leur patron.

Décorée d’ancres marines à l’extérieur comme à l’intérieur, à pans de bois et pignon recouvert de petites lattes de hêtre, au clocher partiellement couvert d'ardoise, elle ne manque pas de pittoresque.

LA PLACE D'ARMES ET LA DÉESSE A LA MARNE

A l’intersection des quatre artères principales de la ville. Au fil des siècles, de nombreux édifices se sont greffés sur cette place : un Palais de Justice en 1548, puis une église en bois remplacée à partir de 1629 par la collégiale et par la suite plusieurs maisons.

Une belle fontaine, surmontée d’une statue à la gloire de la Marne trône aujourd'hui au centre. On l'appelle ici « la Déesse », suivant une belle tradition commune à la poésie et à la sculpture de personnification des rivières et des fleuves.

Sa construction date de 1842 et elle est attribuée au maître fondeur Muel. Posée sur un piédestal, cette statue en fonte représente une femme qui tient dans sa main une rame, symbole de la Marne navigable, et dans l’autre une corne d’abondance qui reflète certainement la richesse de la région vitryate au XIXe siècle.


La Route des Eglises à pans de bois de Champagne

Dans la région des grands lacs de Champagne, prenez la route et partez à la découverte d'un ensemble d'édifices religieux unique en France : dix églises et une chapelle édifiées entièrement en pans de bois, entre la fin du XVe et le XVIIIe siècle.

Entre Der et Forêt d’Orient, aux confins des départements de l’Aube, de la Marne et de la Haute-Marne, cet itinéraire emprunte des routes de campagne jalonnées d’étangs et de lacs et vous mène auprès des villages et de leur église, à l’architecture hors du commun.

Dans cette région de bocage et de forêt au sous sol constitué d’une épaisse couche d’argile et dépourvu de pierre à bâtir, on utilisa pour construire les édifices religieux les matériaux les plus usuels de l’architecture rurale : le bois et le torchis, mélange de terre argileuse et de paille. Maisons, fermes à cour carrée, pigeonniers, granges et églises, cet ensemble original de constructions en pans de bois se découvre en 11 étapes.


51 - Sainte Marie du lac Nuisement

Route des églises a pans de bois

AIRE CC

Rue du Port de Nuisement

GPS : N 48.602798, E 4.749280

Nombre de place(s) 6

Prix des services : Jeton 8-10 Minutes d’eau

45 Min. de recharge élec.

Prix du stationnement : gratuit

Au bord du lac avec borne de services, très sympathique. Possibilité de faire le tour du Lac en vélo (40 km), cadre magnifique, connu pour la migration des oiseaux.


Eglise de Sainte Marie du lac Nuisement

Parking 48.60663 4.77406

Le Village-Musée est ouvert tous les jours du 1er mars au 30 novembre. Fermeture possible certains jours de 12h00 à 13h30, contactez-nous avant de vous déplacer.

Elevée dans les premières années du XVIe siècle à proximité d’une motte castrale, l’église de Drosnay est un édifice de vastes dimensions qui doit son unité et son caractère à la grande toiture à double versant qui la recouvre en totalité. Ce système a sans doute remplacé au XVIIIe siècle une toiture étagée. Observez côté ouest, le haut et large pignon protégé de la pluie par un revêtement mixte associant de façon agréable bardage vertical et voligeage horizontal, désigné localement sous le terme de tavillons. A l’intérieur, vous pourrez admirer l’ensemble des lambris du XVIIIe siècle, ainsi que le maître-autel et son retable datés de 1667. > Info Plus Dans la fenêtre est du bas-côté sud, un beau vitrail du XVIe siècle, issu des ateliers troyens de peinture sur verre, représente l’Arbre de Jessé, ainsi que l’on désignait l’arbre généalogique du Christ. Châtillon-sur-Broué est l’une des plus originales églises champenoises élevées en pans de bois. Son originalité réside dans sa haute et large nef à laquelle est accolé le clocher qui surmonte le porche. L’église est également la seule à présenter un grand porche entièrement fermé dont l’éclairage ne repose que sur les deux larges ouvertures des côtés joliment décorées de balustres sculptés. L’essentiel de la construction date des deux premières décennies du XVIe siècle, le clocher ayant été reconstruit en 1822. Entrez à l’intérieur, le volume frappe en effet par son ampleur et son unité. > Info Plus Faites également le tour de l’édifice afin d’en découvrir le chevet polygonal dont les pans de bois forment harmonieusement des croix de Saint-André. Démontée pièce par pièce et remontée à cette place en 1970, cette église est celle du village de Nuisementaux-Bois, disparu lors de la mise en eau du lac du Der. Une partie de ses bois, datés de 1479, en fait la plus ancienne église à pans de bois de Champagne. Elle connut différents agrandissements au XVIIe siècle et sa disposition actuelle ne remonte véritablement qu’au XIXe siècle. A l’extérieur, les côtés sud et ouest, exposés à la pluie, sont protégés par des voliges ou par des essentes de bois visibles depuis les jardins.

> Info Plus

Tout au long de l’année, le Village-Musée organise des animations festives autour de journées thématiques : fête de l’ortie et du pissenlit en avril, la fête de la moisson en août, la fête de la pomme et des cucurbitacées en octobre, la fête et les journées de la grue cendrée en automne.


51 - Giffaumont Champaubert

 

Grand parking (65 places)

 

gratuit le jour (8h à 20h) et payant la nuit 6 €.

Aire de services extérieure au parking 2,50 € les 8 minutes d'eau Boulanger passe le matin .c'est à priori seule aire du lac adaptée pour les grandes unités et les remorques.

 

GPS : N 48.550098,  E 4.768840

Adresse :

32-71 La Cachotte

 

 

Nombre de place(s) 65

Prix des services : 2,50€ les 8 minutes

Prix du stationnement : 6,00€ , gratuit la journée

Ouverture/Fermeture : Ouvert toute l'année


Pourquoi le Lac du Der a-t-il été créé ?

Artificiel, et pourtant de la nature à l'état pur !

En 1974, après 10 ans de travaux gigantesques, le Lac du Der naît en plein coeur de la Champagne.

Le lac est avant tout un réservoir conçu pour réguler les niveaux d'eau de la rivière Marne qui alimente la Seine. Indispensable pour éviter les crues et nourrir les cours d'eau en période d'étiage, le Lac du Der vous offre au fil des saisons des paysages à couper le souffle.

Inédit dans sa conception et dans l'histoire qui a marqué sa construction, le Lac du Der est partie intégrante du paysage marnais et haut-marnais. Grâce à des passionnés d'Histoire et pour garder la mémoire du passé aussi, le Village Musée du Der a été créé pour vous permettre de tout apprendre sur les habitants, les villages et l'histoire étonnante de son patrimoine.

Vous êtes nombreux à être surpris par le spectacle de la nature au Lac du Der.

Accordez-vous une pause le long des pistes cyclables surplombant le lac ou en plein coeur d'une forêt de chênes tricentenaires pour la contempler.

Quand le Lac du Der se remplit totalement dès le printemps, ses couleurs reprennent un ton bleuté jusqu'au turquoise. Le vert des arbres éclate au grand jour...

Prenez un bon bol 'Der' en traversant la forêt par les nombreuses pistes cyclables ou succombez aux plaisirs nautiques dès le mois d'avril. En été, vos enfants apprécieront les 27°C de l'eau aux abords des 6 plages de sable aménagées.

Autre temps fort du Lac du Der, quand il se vide à la fin de l'automne et que la nature s'approprie les moindres recoins couverts par les flots au printemps.

Le spectacle est au rendez-vous dès le lever du jour avec l'envol de dizaines de milliers de Grues cendrées qui caressent le ciel encore endormi. Le lac est artificiel, pourtant il a bien aidé la nature avec des zones de quiétudes réservées aux 300 espèces d'oiseaux recensées à ce jour.

Partagez ces moments inouïs avec nos experts ornithologues qui vous accompagnent toute l'année pour les espionner.


 

Chatillon sur Broué

48.54579 4.70444

Route des églises a pans de bois


Châtillon-sur-Broué est l’une des plus originales églises champenoises élevées en pans de bois. Son originalité réside dans sa haute et large nef à laquelle est accolé le clocher qui surmonte le porche. L’église est également la seule à présenter un grand porche entièrement fermé dont l’éclairage ne repose que sur les deux larges ouvertures des côtés joliment décorées de balustres sculptés. L’essentiel de la construction date des deux premières décennies du XVIe siècle, le clocher ayant été reconstruit en 1822. Entrez à l’intérieur, le volume frappe en effet par son ampleur et son unité.

> Info Plus

Faites également le tour de l’édifice afin d’en découvrir le chevet polygonal dont les pans de bois forment harmonieusement des croix de Saint-André. 


 

Outines

48.55445 4.65033

 

Route des églises a pans de bois


Par ses dimensions, l’église d’Outines est le plus monumental et le plus vaste de tous les sanctuaires champenois à pans de bois. Sa construction très soignée remonte au début du XVIe siècle : ses bois les plus anciens ont été datés de 1512. L’église prend modèle sur les grandes halles de la région. A l’extérieur, observez la façade recouverte d’écailles de bois destinées à la protéger des intempéries et sa curieuse rosace. Entrez et découvrez les épais piliers et les poutres massives, donnant l’impression d’une véritable forêt. L’église conserve une belle statue de saint Gond du XVIe siècle et un Christ en croix du XIVe siècle.

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Vous pourrez prolonger la visite de l’église par celle du village dont les rues offrent un bel ensemble de maisons elles aussi à pans de bois.


Dronay

Route des églises a pans de bois

Elevée dans les premières années du XVIe siècle à proximité d’une motte castrale, l’église de Drosnay est un édifice de vastes dimensions qui doit son unité et son caractère à la grande toiture à double versant qui la recouvre en totalité. Ce système a sans doute remplacé au XVIIIe siècle une toiture étagée. Observez côté ouest, le haut et large pignon protégé de la pluie par un revêtement mixte associant de façon agréable bardage vertical et voligeage horizontal, désigné localement sous le terme de tavillons. A l’intérieur, vous pourrez admirer l’ensemble des lambris du XVIIIe siècle, ainsi que le maître-autel et son retable datés de 1667.

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Dans la fenêtre est du bas-côté sud, un beau vitrail du XVIe siècle, issu des ateliers troyens de peinture sur verre, représente l’Arbre de Jessé, ainsi que l’on désignait l’arbre généalogique du Christ.


Saint Léger  sous Margerie

48.53097 4.48819

Route des églises a pans de bois


Saint-Léger est l’une des plus anciennes églises champenoises à pans de bois, datée de 1492. Elle connut différentes transformations qui aboutirent à son aspect actuel et elle comporte aujourd’hui deux parties bien distinctes. Dans la dernière décennie du XVe siècle, furent édifiés le chœur à six pans et l’extrémité de la nef accompagnée de bas-côtés. Deux siècles plus tard, toute la partie occidentale de la nef fut profondément remaniée et percée de hautes fenêtres. Le clocher est de la même époque.

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Pénétrez et découvrez l’intérieur dont les murs et plafonds recouverts de plâtre dissimulent l’ossature à pans de bois. Avant les restaurations de la fin du XXe siècle, c’était le cas de toutes les églises de ce type. Une multitude de petites étoiles dorées illuminent le ciel bleu de la voûte. L’autel retable porte la date 1719.

Ouverture : le week-end en période estivale. Hors saison, sur rendez-vous.

Renseignements : T (0)3 25 27 70 18 (mairie) 


Morembert

48.50187 4.33142

 

Route des églises a pans de bois


Niché dans un cadre verdoyant et tranquille, ce sanctuaire aux dimensions modestes fut édifié dans les années 1530 pour être une chapelle seigneuriale. Lorsqu’il devint église paroissiale en 1841, on lui adjoignit, en le fermant, le porche - dénommé localement halloy - ainsi qu’une sacristie en prolongement à l’est. Ces transformations expliquent le manque d’unité, observable en particulier dans les ouvertures. Son toit à croupes est surmonté d’un joli clocheton octogonal recouvert d’ardoises, quant à lui édifié au XVIIIe siècle et plusieurs fois remanié.

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A l’intérieur, vous pourrez admirer les fonts baptismaux ainsi que les deux statues, l’une en bois représentant saint Claude, l’autre en pierre une Vierge de pitié. Ces différentes œuvres datent du XVIe siècle.


 

Longsols

Route des églises a pans de bois

Parking stabilisé

2 Rue du Pont

 

GPS : N 48.430316,  E 4.289213

Nombre de place(s) 1

pas de service

Prix du stationnement : gratuit

Ouverture/Fermeture : Ouvert toute l'année

Parking stabilisé, idéal pour visiter église à pans de bois de LONGSOLS. Pas d'interdiction. Fontaine contre l'église.


Longsols est l’une des plus pittoresques églises à pans de bois de Champagne, située un peu à l’écart des vastes forêts de chêne de la Champagne humide. La datation de ses bois révèle qu’elle fut édifiée entre 1483 (chœur) et 1493 (nef). Son transept important lui donne une forme de croix latine. Observez à l’extérieur l’élévation pyramidale, articulée en trois étages. D’abord, les bas-côtés couverts d’un toit en appentis qui rejoint celui du porche, puis le haut vaisseau central, ajouré de baies étroites et surmonté par une toiture à double pente et enfin, l’imposante flèche revêtue d’ardoises.

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A l’intérieur, vous pourrez apprécier le remarquable travail de charpenterie ainsi que le bel ensemble d’autels retables polychromes de la fin 


Mathaux

48.37325 4.47648

Route des églises a pans de bois


La commune doit son nom aux seigneurs de Mathaux qui sont cités dans des documents du XIIème siècle. Au milieu du XVIIIème siècle, le château de Mathaux, propriété de Claude de Lavaux, baron de Mathaux, abrita une faîencerie. Il fut vendu à la Révolution comme bien national et détruit en 1821. Au début du XIXème siècle, une poterie remplaça la faïencerie. Mathaux fait partie du circuit des églises à pans de bois.

En effet, l'église du XVIIIème siècle à pans de bois, dédié à Saint Quentin a été édifiée en 1761, sur les bords de l'Aube et construit par un maître Charpentier de Dienville.

Anecdote : Les habitants de Mathaux n'ont pas de nom !

Situé à 121 mètres d'altitude, la rivière Aube, le ruisseau du Temple, la rivière Amance sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Mathaux.

Patrimoine culturel :

L’église de Mathaux est le plus tardif des édifices champenois élevés entièrement en pans de bois. Elle fut construite en 1761 par un charpentier de Dienville, dans un style inspiré de l’architecture religieuse en pierre de l’époque. De cette église en forme de croix latine, avec sa nef sans bas-côtés et ses larges croisillons, l’élément le plus original est le clocher, implanté sur la première travée de la nef, à l’imposante tour carrée entièrement recouverte d’écailles de bois et surmontée d’un élégant lanternon. Abattu, ainsi que la nef, par une tempête en 1983, il fut reconstruit à l’identique. L’intérieur conserve un autel néo-gothique en bois et son tabernacle aux formes originales, ainsi qu’un tableau du XVIIe siècle représentant le Christ au pressoir


52 - Chaumont

Port fluvial de La Maladière

52000 CHAUMONT

Latitude : (Nord) 48.11833°  Longitude : (Est) 5.15416° 

Tarif : 2021

Forfait Emplacement Service Et Plein D'eau Et Electricite : 7.65 €

Services : 0.40 €

Eau : 5.50 €

Taxe De Sejour Par Personne : 0.22 €

Type de borne : artisanale

Services :

Electricité : 10 ampères, 24h, 10 prises

Wifi gratuit : oui

Plein d'eau : >200 l

Autres informations :

Ouvert du 01-04 au 31-10

10 emplacements

Durée maxi: 7 jour(s) ou plus

Moyen de paiement : Espèces

Tel: +33 3 25 31 61 09 Tel: +33 3 25 32 11 98

SITE INTERNET

 

 

Pour le paiement et l'utilisation de la borne, s'adresser à la capitainerie ouverte de 9h à 12h et 16h à 20h


 

LE VIADUC DE CHAUMONT

48.11110 5.12337

Ce viaduc incroyable est LA fierté chaumontaise ! Cet ouvrage réalisé au milieu du XIXe siècle, a été conçu par l'ingénieur Étienne Decomble.

Avec ses 600 m de long et ses 50 arches à 50 m de haut, cette immense construction bâtie en un temps record de 15 mois a mobilisé 2 500 ouvriers qui ont travaillé nuit et jour.

Le soir, il bénéficie d'une mise en lumière grâce à 430 projecteurs à diodes électroluminescentes.

Prenez la voie piétonne qui le traverse au premier étage, l'étage supérieur étant réservé aux trains.

Magnifique panorama sur la belle vallée la Suize.

LES TOURELLES

Place de la Concorde 

Dans la vieille ville, où demeurent de beaux hôtels particuliers des XVe et XVIe siècles, on verra que ces maisons bourgeoises sont généralement agrémentées de tourelles en encorbellement.

De ces tourelles, fleuron de l’architecture chaumontaise, on peut encore en voir une quarantaine.

Elles contiennent l’escalier à vis desservant les étages. L’encorbellement laisse apparaître quelques marches au-dessus de la porte. Selon les maisons, on verra des blasons sculptés ou des niches.

LE DONJON

23, rue du Palais

Bâti aux XIe et XIIe siècles sur un éperon rocheux qui domine la vallée de la Suize de plus de 45 m, il demeure, avec les salles basses voisines, le seul vestige de l’ancien château des comtes de Champagne. Inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques, cette tour carrée de 18 m de hauteur garde une apparence médiévale, malgré les transformations au cours des siècles

À la base, le donjon constituait le logement du seigneur et de ses soldats, avant de servir de prison jusqu'en 1866.

Depuis sa galerie, on jouit d'une point de vue exceptionnel sur Chaumont. 

HOTEL-DE-VILLE

10, place de la Concorde 

Il fut construit par François Nicolas Lancret entre 1787 et 1790 dans le style Louis XVI avec un toit à la Mansart. Vous remarquerez sur le fronton triangulaire la figuration des armes de la ville. Le hall offre de belles proportions, vous noterez un superbe escalier à double révolution.

Tout près, vous pourrez découvrir les halles de la ville, très belles représentantes de l'art Baltard. Longtemps cachées au public, elles ont été restaurées, on peut visiter l'intérieur notamment les jours de marché, le mercredi et le samedi.

 

LES HALLES

Tout près, vous pourrez découvrir les halles de la ville, très belles représentantes de l'art Baltard. Longtemps cachées au public, elles ont été restaurées, on peut visiter l'intérieur notamment les jours de marché, le mercredi et le samedi.

De type Baltard, les halles sont bien caractéristiques de cette époque : l’utilisation d’un nouveau matériau, la fonte, permet de grandes portées et la réalisation de vastes édifices largement vitrés. Cet édifice occupe l’emplacement d’une ancienne halle au blé, elle-même construite sur le site de l’église Saint-Michel (1500-1800). L’église Saint-Michel, d’une longueur de 31 m, était constituée de trois nefs. Tout près se trouvaient le premier cimetière ainsi que l’Hôtel-Dieu, premier hôpital de la ville, démoli en 1765. Pendant la Révolution, l’église sert d’abri aux prisonniers puis de magasins militaires. En 1800, le Gouvernement la cède à la ville qui la rase complètement.

Rénovées en 2004