Centre du village
12230 LA CAVALERIE
Latitude : (Nord) 44.008785°
Longitude : (Est) 3.152249°
Tarif : 2020
Stationnement, services, électricité : 10,89 €
Parking 5h + services : 5,50 €
Taxe de séjour : 0,50 €
Automate de paiement
Type de borne : EURO-RELAIS
Barbecues autorisés - Tables de pique-nique
Terrains de pétanque
Autres informations :
Ouvert toute l'année
32 emplacements
32 prises électriques 6 A
Tel : +33 1 83 64 69 21
Base de loisirs
82210 SAINT NICOLAS DE LAGRAVE
Latitude : (Nord) 44.08619°
Longitude : (Est) 1.026861°
Tarif : 2020
Stationnement, services, électricité : 11,88 à 14,30 €
Parking 5h + services : 5,50 €
Taxe séjour : 0,55 €
Automate de paiement
Type de borne : Autre
Acces Handicapes
Aire située sur la base de loisirs, l'une des plus grandes de Midi-Pyrénées
Piscine
Aire de pique-nique
Piste cyclable
Autres informations :
Ouvert toute l'année
18 emplacements
12 prises électriques 6 A
Tél : +33 1 83 64 69 21
Commune située en Rivière-Verdun au carrefour des provinces de la Gascogne, de la Guyenne et du Quercy. Bordé de vergers et de cultures, le village domine la plaine de la Garonne et de la Sère. Édifié sur la rive gauche de la Garonne, à proximité de son confluent avec le Tarn,
Durant la Révolution, la commune, alors nommée Saint-Nicolas, porte les noms de La Grave-Bec-du-Tarn, La Grave-du-Bec et La République.
En 1892, la terminaison de-la-Grave est ajoutée au nom de la commune3.
En occitan, la ville est nommée Sent Micolau de la Grava.
Ses habitants sont appelés les Nicolaïtes
C'est au xiie siècle que les moines de Moissac édifient un château sur la rive gauche de la Garonne, face au confluent du Tarn, sur le bord du plateau qui domine la plaine d'alluvions. Car le lieu est un carrefour stratégique et il leur est disputé par les vicomtes de Lomagne. Des souterrains permettent de sortir du château et de rejoindre l'abbaye de Moissac. Autour du château, une agglomération se développe peu à peu, avec un port au pied du château. En 1135, Guillaume, Abbé de Moissac s'associe au vicomte Saxetus de Lomagne et à la vicomtesse Sybille d'Auvillar pour accorder une charte à ce bourg qui devient la « sauveté » de Saint Nicolas (une sauveté est une agglomération fondée par les monastères antérieurement au mouvement de création des bastides) : les habitants sont libres dans l'enceinte de la ville. Dans un acte additionnel à la charte, le vicomte de Lomagne jure aux moines et aux habitants de Saint-Nicolas de ne jamais leur enlever leur ville ni leur château et de les protéger contre les envahisseurs.
Vers 1185, lors de sa campagne victorieuse en Quercy au cours de laquelle il conquiert seize châteaux, le roi d'Angleterre Richard Cœur-de-Lion aurait séjourné au château et y aurait fait construire la tour de devant dite tour des Anglais. L'abbé Bernard de Montaigu, qui occupe la chaire abbatiale de Moissac de 1260 à 1295, fait construire l'aile ouest du château et ses deux tours de quatre mètres de côtés et hautes de 25 et de 28 mètres.
À la fin du xiiie siècle, le château est donc achevé avec ses quatre tours ; il mesure 125 mètres dans son axe est-ouest et 100 mètres dans son axe nord-sud. Le plan du bourg est simple ; il s'agit d'un rectangle orienté est-ouest, de 440 mètres de long sur 200 de large, traversé par un axe principal et ceinturé de remparts (aujourd'hui disparus et remplacés par les boulevards) avec en son centre une vaste place.
Château des abbés de Moissac, (xiie siècle-xiiie siècle), actuelle mairie, inscrite au titre des monuments historiques en 1978
Construite vers 1685, l'église ferme à moitié la place centrale du bourg. Elle possède un porche et un clocher octogonal de style toulousain. Son portail comporte des éléments Renaissance. Elle contient la chasse de saint Ansbert, un abbé légendaire de Moissac.
Construite en 1898 à l'emplacement d'un édifice plus ancien, la halle est située face à l'église, sur la place centrale du bourg, la place Nationale, où se tient le marché. C'est un simple parapluie métallique qui repose sur des colonnes de fonte. Elle possède deux rangées de couverts en équerre, « les cornières ».
33710 BOURG
Latitude : (Nord) 45.040296°
Longitude : (Ouest) -0.564044°
Tarif : Gratuit
Services :
Aire de pique-nique
Autres informations :
Tél :+33 557 683 176
L'aire de vidange se trouve devant la camping
L’estuaire de la Gironde et ses rivières constituent très tôt un axe de communication et d’échange commercial entre la façade atlantique et l’intérieur du continent. La réputation d’abondance et de bien vivre lui fut souvent attachée et déchaîna toujours des envies et des appétits. Bourg est couvert des témoignages de ce riche passé.
Placée à l’origine au confluent de la Dordogne et de la Garonne, notre ville a joué un rôle fort dans l’histoire régionale tant sur le plan commercial que dans les faits de guerre.
Tout d’abord centre commercial très important, elle devient par la suite une ville fortifiée. Au début du Vème siècle, les Visigoths envahissent l’Aquitaine, et s’établissent très fortement à Bourg.
La ville de Bourg/Gironde, fondée par la famille Paulina au IVème siècle et souvent visitée par nos suzerains (Charles VII, Charles IX, Louis XIII, Louis XIV), suscite l’intérêt des touristes depuis plus d’un siècle : « Du lieu appelé Citadelle, écrivait J. Arago, le paysagiste peut enrichir ses cartons d’un site imposant auquel peu doivent être comparés ». Mais le fleuve majestueux, l’horizon immense et la végétation riante et vigoureuse ne doivent pas faire illusion : cette localité a toujours été une cité guerrière.
Dès la fin du IVème siècle, elle était fortifiée, mode d’habitat transitoire entre la villa gallo-romaine et le château féodal et elle devint une véritable forteresse au moment des grandes invasions, érigée en propriété royale au VIIIème siècle (avec l’église et l’Abbaye de Saint-Vincent en son sein) ; mais après le passage des Normands, on consolida encore ses murs d’enceinte. Passée sous la domination anglaise après le divorce de Louis VII et le mariage d’Éléonore de Guyenne (Aliénor d’Aquitaine) avec Henri Plantagenêt, elle fut le bouclier de Bordeaux pendant trois siècles, place de guerre très sollicitée par les deux puissances ennemies.
Il serait fastidieux d’énumérer ici les sièges, affrontements, combats divers, ainsi que les réparations de l’Abbaye et des fortifications auxquels elle dut faire face pendant toute cette période. Les campagnes du duc d’Orléans, du duc de Bourbon, des Anglais qui reconquirent la Guyenne, la bataille de Castillon ainsi que les guerres civiles et religieuses ensanglantèrent la région… Au point que la ville de Bourg fut exemptée de la taille pour un an (1571) et dut rester en alerte pendant des années, frappée, de surcroît par « la catastrophe du 1er février 1595 » : l’effondrement de l’église de l’Abbaye de Saint-Vincent…
Sans oublier les violences de la Fronde, Bourg livrée aux Espagnols, puis investie par les troupes royales (1653), avant de voir ses murailles démantelées et ses pièces de canon enlevées (1665). Dès lors, son rôle immémorial de poste avancé, élément fort de la stratégie régionale, avait cessé, mais son combat continua pour « les vieilles libertés provinciales contre le pouvoir central », elle accueillit la Révolution avec joie, en évitant bien des excès, et après la chute de l’Empire, « tout se transforme à Bourg ».
Aire municipale
17240 SAINT GENIS DE SAINTONGE
Latitude : (Nord) 45.4835°
Longitude : (Ouest) -0.56669°
Tarif : 2021
Electricite : 3.00 €
Forfait Emplacement Service Et Plein Deau : 7.00 €
Type de borne : autre
ATTENTION POUR RENTRER DANS LA RUE
PRENDRE BIEN LARGE.....
Boulangerie Ou Depot - Restaurant - Alimentation
Campingcar8 M
Electricité : 10 ampères, 20 prises
Autres informations :
Ouvert A l'année - 20 emplacements
Durée maxi: 3 jour(s)
Moyen de payment : CarteBancaire
Tel: +33 5 46 49 01 42
mairie-saint-genis@wanadoo.fr
A 15 km au sud de Royan, sur un promontoire rocheux surplombant l'estuaire de la Gironde, Talmont, a gardé son plan originel de bastide, édifiée en 1284 par Edouard Ier d'Aquitaine.
Dominant le village, la magnifique église Sainte-Radegonde, symbole de la région Poitou-Charentes, est encore fortifiée de remparts.
Dans le bourg, maisons aux façades blanches et volets bleus se dévoilent derrière les roses trémières.
Nichée sur son promontoire, à l’abri des regards et des voitures dans son enceinte fortifiée, la cité de Talmont-sur-Gironde se dresse face à la mer.
Un joyau classé « Plus beau village de France », « Petite cité de caractère » et « Village de Pierres et d’eau » !
Latitude : (Nord) 45.53763°
Longitude : (Ouest) -0.90552°
Tarif : 2020
Stationnement : 10 € Hors saison 5 €
Services :
Parking obligatoire à l'entrée du village
Poubelles
Autres informations :
Ouvert toute l'année
10 emplacements
Panorama sur l’estuaire
Talmont se mérite.
Pour y arriver, on s’éloigne des villes et des bourgs.
Du tumulte touristique de Royan, on se plonge dans la campagne de bord de mer, dans des champs à perte de vue.
Mais là, au bout de la route, la perspective qui s’offre à nous en arrivant sur cette « presque-île » (car elle en a été une) a un goût d’exceptionnel.
Plus que quelques mètres pour entrer dans l’enceinte fortifiée de la cité édifiée en 1284 par le roi d’Angleterre Édouard 1er et en découvrir ses trésors.
Il faut avant tout s’acquitter du péage : le parking situé à l’extérieur de Talmont est certes payant, mais c’est le prix à payer pour préserver ce joyau de l’estuaire.
Car les rues et venelles ne s’arpentent qu’à pieds : il n’y a bien que les locaux, les collectivités et les boutiques qui ont le sésame pour y circuler. Et c’est tant mieux !
D’une part parce que le bourg est suffisamment petit pour le parcourir sans avoir besoin de voiture.
La balade n’en est que plus apaisante et on s’émerveille à chaque coin de rue, se laissant guider par ses sens.
D’autre part pour profiter pleinement de la quiétude que cela confère au lieu (et c’est sans doute ça qui en fait l’originalité et toute la magie !).
Quel que soit l’endroit où l’on s’arrête, l’ambiance générale qui se dégage de Talmont est propice à la contemplation…
Talmont, un concentré de Charente-Maritime
Une fois les portes de l’enceinte franchies, on ne sait plus où donner de la tête.
Le village est un écrin préservé, hors du temps.
De vieilles pierres en roses trémières, de volets bleus aux carrelets, on se laisse guider pas à pas au gré des échoppes de produits locaux et traditionnels, aux enseignes à l’ancienne en fer forgé.
Dans chacune, souvenirs et saveurs régionales sont à déguster ou à emporter.
Tout y est pour se faire une idée des richesses du territoire : dans moins de 5km², toute la Charente-Maritime est là, dans un si beau résumé.
Talmont, un concentré de Charente-Maritime
Une fois les portes de l’enceinte franchies, on ne sait plus où donner de la tête.
Le village est un écrin préservé, hors du temps.
De vieilles pierres en roses trémières, de volets bleus aux carrelets, on se laisse guider pas à pas au gré des échoppes de produits locaux et traditionnels, aux enseignes à l’ancienne en fer forgé.
Dans chacune, souvenirs et saveurs régionales sont à déguster ou à emporter.
Tout y est pour se faire une idée des richesses du territoire : dans moins de 5km², toute la Charente-Maritime est là, dans un si beau résumé.
En passant par Sainte-Radégonde
Et puis on arrive à l’église Saint-Radégonde, au bout du bout.
Tant au bout qu’elle est sans cesse menacée par les tumultes maritimes, mais elle résiste !
La devise de la ville en témoigne : « Talmont au péril des flots ».
Majestueuse, l’église domine la falaise, gardienne de l’estuaire, bravant le temps et les marées.
Même si une partie de la nef a été emportée lors d’une violente tempête, l’édifice de pur style roman saintongeais séduit par sa rondeur et sa grâce.
Tout autour, le cimetière marin invite au silence et au recueillement.
En repartant de l’église, on chemine sur la promenade des remparts, avec un point de vue inédit sur l’estuaire et sur les côtes du Médoc, situé sur l’autre rive.
C’est à cet endroit que la Gironde atteint sa plus grande largeur (environ 12km).
Si le cadre est intimiste, la vocation touristique du lieu ne fait pas de doute : il suffit de voir la foule toujours plus nombreuse qui déambule dans les rues et venelles.
Il faut dire que chaque visite est extra-ordinaire : on y découvre à chaque fois de nouvelles choses, de nouveaux paysages. Quoi, il faut déjà partir ?
Peu importe, Talmont, on y vient mais aussi on y revient ! Aussi n’hésitez pas à varier les plaisirs : tôt le matin ou au crépuscule, en plein été ou à l’arrière-saison, chaque moment à ses charmes. Talmont s’apprécie au pluriel !
17132 MESCHERS SUR GIRONDE
Latitude : (Nord) 45.55639°
Longitude : (Ouest) -0.94468°
Tarif : 2020
Stationnement, électricité 16 A : 10 €
Services : 2 €
Type de borne : Autre
Tous commerces
Les services se font à la capitainerie
Autres informations :
Ouvert toute l'année
22 emplacements
4 bornes de 4 prises électriques
Tel : +33 546 027 039
Véritable balcon sur le plus vaste estuaire d’Europe, Meschers-sur-Gironde doit sa renommée à ses grottes troglodytiques. Venez apprécier la station balnéaire la plus au sud de notre destination qui multiplie les paysages : plages, forêt, falaises et marais.
La Réforme protestante s'implante très tôt en Saintonge. Les premières communautés se réunissent dans les grottes, où elles peuvent célébrer leur culte sans être trop inquiétées. En 1598, au sortir des Guerres de Religion, les Protestants peuvent enfin bâtir un premier temple, au bord du chemin qui mène du bourg au port.
Le temple protestant (1842).
En 1622, alors que la région est en pleine ébullition (Le roi Louis XIII en personne, après être venu mettre le siège sous Saint-Jean-d'Angély en 1621, dirige le siège de la place-forte de Royan), le duc d'Épernon fait incendier le temple, qui est reconstruit peu après. Il est de nouveau détruit en 168233, peu avant la promulgation de l'édit de Fontainebleau (1685) par lequel le roi Louis XIV révoque l'édit de Nantes accordé par son grand-père Henri IV. Les populations protestantes, fidèles à la « Religion prétendue réformée » (RPR) n'ont d'autre choix que d'abjurer, ce à quoi s'emploient avec zèle les Dragons du Roi, de s'exiler, ou encore de célébrer clandestinement leur culte dans des maisons particulières ou encore en pleine mer, sur de minces embarcations. C'est le début de « L'Église du Désert ». Pour autant, les persécutions deviennent moins actives dans la seconde moitié du xviiie siècle, et, tout comme à Royan, une maison d'oraison est même bâtie en 1755.
Le temple actuel est bâti à partir de 1842, dans un style rigoriste inspiré du néoclassicisme commun à nombre de ces édifices dans la région. Élevé sur un podium, il forme une simple salle rectangulaire, éclairée de part et d'autre par une série de baies en plein cintre. Le mur du fond, aveugle, est orné d'une grande croix en bois. Devenu trop exigu, il est doté d'une tribune en bois en 1863, œuvre du menuisier Félix Couzain
De l'édifice initial, détruit par des combats au début du xviie siècle, ne subsiste que le clocher, édifié au xve siècle. Le sanctuaire actuel, reconstruit dès la fin du xviie siècle et plusieurs fois remanié par la suite, forme un plan en croix latine.
La nef unique comprend trois travées, éclairées de baies en plein-cintre ornées de vitraux de facture récente. Le chevet, très sobre, est constitué d'un mur aveugle, de même que les deux croisillons. Des voûtes en plâtre ont remplacé à la fin du xixe siècle la charpente qui couvrait l'édifice.
La façade est caractéristique du style néo-classique, assez mal représenté dans la région. Elle se compose de trois portails en plein-cintre, encadrés de quatre pilastres doriques. L'ensemble est surmonté d'un vaste fronton triangulaire.
Le clocher borde la façade sur son côté gauche : des traces d'arcatures gothiques à sa base montrent que l'ancienne église était située un peu en retrait de l'actuel édifice, débordant probablement sur le parvis. Ce clocher carré et massif abrite trois cloches : Jeanne, un bourdon de 675 kilos sonnant le Fa, est la plus ancienne. Elle fut bénite en 1890, sous le pontificat de Léon XIII. Deux cloches plus petites, Lucie et Anne-Radegonde, furent installées dans le clocher le 6 décembre 2000. La première, pesant 96 kilos, sonne le Fa (une octave au-dessous de Jeanne ), la seconde, pesant 128 kilos, sonne le Mi-bémol.
Deux pinacles témoignent des dégâts infligés au clocher lors des combats de 1622. Avant cette date, il comportait deux pinacles supplémentaires, encadrant une flèche. Restauré par l'architecte Marc Roberti entre 1896 et 1898, ce clocher, qui est devenu l'un des symboles de la ville, est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1925
Fermée au public depuis 2020 a cause des risques d'éboulements !
Fermée cause COVID
Offrez-vous une visite unique sur les falaises calcaires de Meschers ! Anciennes cachettes, refuges et même guinguettes, ces grottes troglodytiques suspendues à flanc de falaises, sont aujourd’hui des musées qui recèlent bien des trésors. Vous y apprendrez les origines des noms Régulus et Matata, la légende de Cadet, la vie de Marie Guichard, les pêches traditionnelles…
Lieu de promenade, le port ouvre la vue sur la baie et les carrelets de Port Maran.
Au gré des marées, vous pourrez embarquer pour découvrir cette rive de l’estuaire, côté mer.
Vue imprenable sur les grottes garantie !
Le soir venu, dînez dans un des restaurants du port avant un concert en ville ou une soirée dans un des bars de plage.
Latitude : (Nord) 45.628294°
Longitude : (Ouest) -1.011957°
Tarif : 2020
Stationnement, services, électricité : 11 à 13,20 €
Parking 5h + services : 5,50 €
Taxe de séjour : 0,66 €
Automate de paiement
Type de borne : EURO-RELAIS
Tri sélectif
Discothèque à proximité parfois bruyante
Autres informations :
Ouvert toute l'année
40 emplacements
40 prises électriques 6 A
Tél : +33 1 83 64 69 21
Station balnéaire détruite et reconstruite.[Royan] Cette jolie station balnéaire de 30.000 habitants (agglomération) est incontournable en Charente Maritime. La ville, autrefois joyau de la Belle Époque, a été presque totalement détruite lors des bombardements de janvier 1945, mais la ville s'est reconstruite, résolument plus moderne, et elle n'a presque rien perdu de son charme d'autrefois. Elle jouit d'un climat doux presque toute l'année et d'une très longue plage de 2 km, avec tentes bleues, cafés, restaurants et baigneurs: ravissant!
Ses ours polaires vous attendent sur la banquise.
Le ravissant zoo de la Palmyre se déploie sur 18 hectares au beau milieu de la forêt et des dunes de sable blond.
Avec 600.000 visiteurs par an, le zoo de la Palmyre compte parmi les plus grands zoos d'Europe.
Le parc possède plus de 1.600 animaux de presque toutes les espèces: tigres, singes, reptiles, girafes, rhinocéros...
Dès l'entrée, d'élégants flamands roses accueillent les visiteurs.
Sur une belle banquise, les grands ours blancs sont certes moins élégants mais ne devraient pas vous laisser de glace pour autant!
Latitude : (Nord) 45.7075°
Longitude : (Ouest) -1.03044°
Tarif : Gratuit
Ouvert toute l'année
10 emplacements
Herbeux en bordure du Train des Mouettes
Tél : + 33(0)546 226 168
Ce petit village de 800 habitants fait partie des Plus Beaux Villages de France.
Situé sur les bords de Seudre, l'un des plus petits fleuves de France, cet ancien port a conservé tout son caractère.
Son petit port semble tout droit sorti d'un décor de cinéma.
Ses ruelles pavées, ses maisons blanches aux volets bleus, son église romane, ses halles médiévales... devraient vous laisser sous le charme.
Perdez-vous dans ses ruelles, et franchissez la porte de ses échoppes et de ses petits cafés et restaurants.
Entre deux averses j'ai visité ce petit village "frappé par le confinement" pas un chat dans les rues....
Ces halles sont situées à proximité de l'ancienne porte principale de la cité. La cité était contrôlée par un Seigneur qui vivait dans un château aujourd'hui disparu. Il ne reste qu'une tour intégrée à un bâti du 19e siècle.
Pendant des siècles, Mornac-sur-Seudre fut un port prospère et ces halles abritaient les foires au cours desquelles les pêcheurs vendaient leur production, de sel et de poisson.
Ces halles auraient ensuite abrité un théâtre de rue.
De nos jours, elles abritent un marché, le jeudi et le dimanche matin.
Cette église est de style roman, datant du 10e siècle. Elle a été construite sur une ancienne église mérovingienne datant du 6e siècle.
Dans les années 1950, on a retrouvé d'anciens sarcophages mérovingiens.
Le style roman court du 10e au 12e siècle, il se reconnait par ses murs épais et ses arcs ronds. Le style mérovingien est plus ancien, du 5e au 8e siècle, mais très peu d'édifices sont parvenus jusqu'à nous, car la plupart étaient construits en bois. Ils ont donc été détruits pour être remplacés par des églises romanes.
L'estuaire de La Seudre vit au rythme des marées. Mornac sur Seudre est le deuxième port ostréicole situé sur l'estuaire de Seudre, après Chatresac situé à 4 km plus en aval sur la Seudre.
Depuis le port vous pouvez embarquer, dans des kayaks, des paddles ou même des petits bateaux, pour naviguer sur les marais de la Seudre.
Sur la place, ne manquez pas l'ancien moulin à eau (aujourd'hui crêperie), qui utilisait autrefois la force marée-motrice. •••
Loupiotes de Mornac-sur-Seudre
Le village illuminé.
En juillet et en août, tous les jeudis soir, le village accueille un marché nocturne sous les halles, et également sur la place du port. Les échoppes restent également ouvertes jusqu'à 23 heures.
MARAIS DE SEUDRE.
l'affinage des huîtres fines de claire.
Le marais de Seudre est une zone humide salée qui s'étend sur près de 100 km2. Il a été conquis et façonné par l'homme à partir du 11e siècle. La zone était autrefois utilisée comme marais salant, pour la production de sel. La marée apportant de l'eau salée que l'on retenait dans des bassins. En s'évaporant, l'eau libérait son sel.
Aujourd'hui, les marais sont utilisés comme "claires", des bassins pour élever des huîtres "fines de claires", les meilleures. En partant du port, et en suivant le sentier balisé des "Taillées Piétonnes" vous pourrez approcher au plus près de la nature, dans une boucle de 5 km.
SEUDRE.
Mini fleuve à huîtres !
La Seudre mesure seulement 68 km de long. Dans sa partie amont, sur près de 30 km environ, jusqu'à Saujon, le débit de l'eau est très faible. En été, elle est d'ailleurs totalement sèche.
Dans sa partie aval, donc près de la mer, les choses sont différentes, car elle se "jette" dans les marais d'eau salée, dont le niveau fluctue avec les marées.
Ses marais étaient autrefois utilisés comme marais salants, pour récolter le sel. Aujourd'hui, les bassins, dit "claires", sont utilisés pour l'affinage des huîtres, dites Marennes-Oléron.
La particularité de ces huîtres est leur couleur bleu-vert, provenant d'une algue bleue qui prospère dans l'eau saumâtre. Si vous aimez les huîtres, sachez que beaucoup d'ostréiculteurs vous vendent leur production directement "au cul" des bassins.
Route des Écluses
Port de Ribérou
17600 SAUJON
Latitude : (Nord) 45.6753°
Longitude : (Ouest) -0.93172°
Tarif : 2021
Forfait Emplacement Service - eau et électricite : 12.00 €
Type de borne : urbaflux
Services :
Accessible Handicapes
Boulangerie Ou Depot - Restaurant
Pistes Cyclables - Peche - Supermarche
Electricité : 10 ampères, 24h, 20 prises
Plein d'eau : >200 l
Autres informations :
Ouvert A l'année - 20 emplacements
Durée maxi: 3 jour(s)
Moyen de payment : CarteBancaire
Tel: +33 5 46 02 80 07
SITE INTERNET
pres du centre ville
balades à velo le long de la seudre
Réputée pour ses thermes, Saujon est une ville pleine de charme au coeur du bassin de La Seudre. Non loin des plages, aspirez au calme et à la tranquillité de la campagne saintongeaise.
Une station touristique et thermale
Traversée par La Seudre, Saujon vit au rythme de l’eau. Le port de Ribérou, autrefois port de commerce et aujourd’hui port de pêche et de plaisance, a gardé tout son charme. Son pont à écluses marque la séparation des eaux douces et salées. Empruntez les sentiers bordant La Seudre et admirez au loin les carrelets.
Saujon est une station thermale réputée. Depuis la création du premier site thermal en 1860, l’activité n’a cessé de se développer : diversification des soins, cures libres ou complètes et création d’un centre de remise en forme, Philae, ouvert à tous. Pour votre prochain séjour thermal, vous pouvez trouver votre hébergement idéal parmi notre large sélection de locations pour curistes.
Des activités en pleine nature
En toutes saisons, le Val de Seudre offre de nombreuses balades. Sportif ou amoureux de la nature, prenez plaisir à sillonner les itinéraires balisés serpentant entre vignes, vallons, marais et forêts. À Saujon, des chemins de halage, les “taillées”, vous permettent de rejoindre la base de loisirs de La Lande. Un large choix d’activités vous y attend : piscine, tennis, pétanque, étangs de pêche ou encore téléski nautique. Pour découvrir toute la biodiversité de La Seudre, n’hésitez pas à louer un canoë-kayak ou montez à bord du Train des Mouettes qui vous conduira à toute vapeur jusqu’à La Tremblade !
Des villages riches en patrimoine
Chaque village regorge de richesses cachées : églises romanes, temples, halles, lavoirs, fontaines et moulins. Ne manquez pas les chapiteaux de l’ancien prieuré de Saujon, désormais conservés dans l’église Saint-Jean-Baptiste.
À ne pas manquer
La traditionnelle Foire de Saujon
Depuis deux siècles, elle a lieu le 2ème lundi de chaque mois
Chenal de la Cayenne
Cité de l'Huître
17320 MARENNES
Latitude : (Nord) 45.8129°
Longitude : (Ouest) -1.11334°
Tarif : Gratuit
Services :
Acces Handicapes
Campingcar8 M
Autres informations :
nom aire : MARENNES Cité de l'huître
Date d'ouverture inconnue
Durée maxi: 1 jour(s)
Tel: +33 5 46 36 78 98
http://www.cite-huitre.com/
Stationnement limité 24 h